Affichage des articles dont le libellé est Bourgogne-Franche-Comté. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Bourgogne-Franche-Comté. Afficher tous les articles

mercredi 5 octobre 2022

Avec la gauche : l’abondance pour les migrants, la sobriété pour les Bourguignons et les Francs-Comtois !


Communiqué de Julien Odoul, Président du groupe RN au CR de Bourgogne-Franche-Comté du 3 octobre 2022

Lors de la commission permanente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, les élus du Rassemblement National ont dénoncé le double discours de la majorité socialo-écolo-communiste de Marie-Guite Dufay. Dans sa conférence de presse de rentrée fin août, la présidente de la région a annoncé une situation gravissime pour la collectivité avec un trou de 80 millions d’euros à trouver et une probable cure d’austérité à venir. Si les élus du Rassemblement National actent la nécessité d’une réduction de la voilure en matière de dépenses, qui résulte autant de la crise inflationniste que de la gestion socialiste calamiteuses avec l’argent des contribuables, ils dénoncent le deux poids deux mesures inacceptable lors des votes de cette séance.

Ainsi, après avoir préféré maintenir l’aide à la formation des migrants de 5 millions d’euros par an, somme prise ensuite aux familles avec la hausse des tarifs de cantine des lycées, l’exécutif décide notamment d’une rallonge du soutien financier à la formation des migrants de 1,5 million d’euros. Cela accompagné de subventions accordées façon arrosage automatique à des « œuvres culturelles » pro-migrantes, politisées ou encore au Festival des Solutions Ecologiques qui fera la promotion de la nécessaire sobriété sauf pour son propre financement. Dans le même temps, l’exécutif socialiste participe à diriger pour 63 millions d’euros de fonds européens vers les plus grosses agglomérations et la politique de la ville alors que nos communes rurales doivent fermer des services publics pour payer les factures d’énergie.
A l’heure de la crise des prix, le groupe Rassemblement National fait le seul choix responsable possible : faire de nos collectivités des boucliers pour les Français les plus fragiles. Conscients des économies à faire, les élus régionaux RN de Bourgogne Franche-Comté réitèrent leurs propositions faites en début d’année à l’occasion de la session budgétaire à savoir des économies immédiates de 32 millions d’euros sur l’immigration, les éoliennes, la communication et l’art contemporain et s’opposent à toute attaque sur les principaux postes comme l’enseignement, l’aide aux entreprises, le soutien au pouvoir d’achat et à la rénovation thermique.
La priorité régionale est l’antidote à la sobri-austerité !

mercredi 31 août 2022

Guerre des trafiquants de drogue à Besançon : stoppons l’impunité des criminels !




Communiqué des élus régionaux RN de Bourgogne-Franche-Comté Olivier Damien, Géraldine Grangier, Jacques Riccadietti, Nathalie Fritsch et Thomas Lutz du 31 août 2022

En cette fin de mois d’août, le quartier de la Planoise à Besançon vient d’être le théâtre d'un nouveau règlement de compte entre trafiquants de stupéfiants. Deux adolescents de 16 et 15 ans ont ainsi été victimes des tirs d'une bande rivale.


Cette situation qui devient endémique dans la cité bisontine est le fruit d'une dégradation profonde des conditions de sécurité que connaît notre région, à l'instar de l’ensemble de notre pays.

Les solutions de circonstances apportées par l'envoi de forces mobiles sur place ne résoudront en rien ces problèmes de délinquance qui sont aujourd’hui solidement installés dans nos quartiers.

C’est en effet une solution globale qu’il faut désormais envisager pour que la sécurité revienne dans nos villes et nos villages. D’abord, en sanctionnant lourdement les criminels interpellés par la police. En donnant ensuite aux forces de l’ordre les moyens matériels et juridiques nécessaires pour lutter efficacement contre ce fléau. En déterminant enfin au niveau national une vraie politique de sécurité publique seule à même d’endiguer le développement du crime et de la violence auquel nous assistons aujourd’hui.

Face au laxisme des pouvoirs en place, le Rassemblement National est porteur de propositions concrètes et efficaces pour que les françaises et les français puissent enfin retrouver la paix et la sécurité. Il est grand temps qu’il soit entendu. 

Page Facebook du RN Bourgogne-Franche-Comté

mercredi 20 juillet 2022

Quand un député macroniste fait le salut nazi à l’Assemblée nationale…



La récente  a manifestement eu des effets secondaires inattendus, touchant même l’Assemblée nationale. Ainsi, ce 12 juillet, Rémy Rebeyrotte, député  de Saône-et-Loire, s’y est-il fendu d’un salut nazi très remarqué, s’attirant au passage les reproches d’un de ses collègues, Marc Le Fur, des LR : « Ne recommencez plus. Ce n’était pas beau, monsieur Rebeyrotte. » Il est un fait que ce geste était pour le moins « inapproprié », pour reprendre l’actuelle vulgate progressiste.

Il y a néanmoins une raison à tout, même aux comportements les plus inattendus. Explications du présumé coupable, dès le lendemain, sur son compte Facebook, qui assure avoir « subi la pression physique de trois fachos », à la buvette de l’Assemblée. On ne sait ce qu’on y sert ; mais ça doit être du lourd… Interrogé le 20 juillet par le site Creusot-Infos, Rémy Rebeyrotte en dit plus : « Lors d’un des deux votes sur le passe sanitaire, un élu du Rassemblement National, qui est en haut de l’Hémicycle et qui doit être du nord de la France, a fait un salut nazi. Je lui ai alors fait le même signe pour très clairement lui signifier que ce n’est pas possible. »

Au-delà de cet échange de politesses, on n’en saura pas plus sur l’élu incriminé ; pas plus, d’ailleurs, que sur les « trois fachos » plus haut évoqués. Ayant retrouvé à la fois sa mémoire et ses esprits, au moins se rappelle-t-il ceci : « Monsieur Chenu, dans un couloir, a cherché à m’intimider. Mais il va avoir du mal. » Le député  Sébastien Chenu, en revanche, ne voit pas en quoi il aurait incriminé quiconque, et surtout pas le très fantasque Rémy Rebeyrotte, qui n’en est pas à sa première tocade.

En effet, cet ancien socialiste est connu, à en croire France Info, pour souvent s’adresser hors micro à ses collègues lepénistes en ces termes : « Je vous trouve un peu socialiste-national. » Ou encore ce très finaud : « On dirait Nuremberg aux heures de pointe. » Encore un qui a manqué une belle carrière dans le stand-up, et dommage que Jamel Debbouze ait laissé passer un tel talent : Rémy Rebeyrotte aurait sûrement fait un tabac à la dixième édition du Marrakech du rire.

Car il est vrai que ses sketches sont depuis longtemps fort bien rodés, tel qu’en témoigne sa prestation au palais Bourbon, le 18 novembre 2020, lors d’une proposition de loi relative à « la France des accents », durant laquelle il fait l’apologie de la chanteuse Aya Nakamura, affirmant qu’elle « est en train de réinventer un certain nombre d’expressions françaises […] et de porter au niveau international de nouvelles expressions ».

Exemple à l’appui, avec sa chanson « Pookie » : « Blah blah blah d’la pookie. Ferme la porte, t’as la pookie dans l’side. Blah blah blah d’la pookie. Ferme la porte, t’as la pookie dans l’sas. » À côté, JoeyStarr, c’est Alfred de Musset.

Mais il en faudrait plus pour arrêter cet homme qui enseigne l’économie à la Sorbonne. Une chance qu’il ne fasse pas de même de la langue française. Quoiqu’un cours de sémantique comparée sur les blagues Carambar™ aurait pu lui aller comme un gant bien taillé à une main joliment faite.

En attendant, Rémy Rebeyrotte a été convoqué par la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, tandis que Marine Le Pen exigeait? ce même jour? qu’il soit entendu pour répondre, pas forcément de ses faits, mais au moins de ses gestes déplacés. Et le salueur impromptu de continuer à revendiquer son salut à l’AFP « pour montrer à un élu  qu’il ne devait pas lui-même le faire »;

Quand Rémy Rebeyrotte voudra lutter contre le sexisme, il n’aura donc plus qu’à pincer les fesses de Sandrine Rousseau en expliquant que c’est très mal de le faire. On lui souhaite bien du courage pour la suite, personne n’ayant forcément envie de se faire trépaner avec un crayon à Rimmel™ ou égorger à grands coups de sac à main.

Par Nicolas Gauthier le 20 juillet 2022

Boulevard Voltaire