Affichage des articles dont le libellé est Valeurs actuelles. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Valeurs actuelles. Afficher tous les articles

vendredi 20 janvier 2023

Congrès PS : après une bataille de chiffres, Olivier Faure déclaré vainqueur


Le 20 janvier 2023

Olivier Faure a été reconduit à la tête du Parti socialiste (PS). Le parti a annoncé les résultats dans un communiqué publié ce matin, vendredi 20 janvier, et relayé par franceinfo. Le premier secrétaire sortant a remporté le scrutin interne avec 50,83 % des suffrages contre 49,17 % pour Nicolas Mayer-Rossignol. Ces chiffres sont issus des fédérations et ont été transmis à la commission d’organisation du congrès. La désignation du leader du PS fut, en tout cas, ubuesque. Dans la nuit du jeudi 19 au vendredi 20 janvier, les deux candidats au congrès PS, Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, avaient tout deux annoncé leur victoire, relate Le Figaro.

Vers 1h30 du matin, le maire de Rouen avait fait savoir à la presse qu’il avait gagné le scrutin : « Nous avons remporté ce résultat à hauteur de 53,47 % des voix sur 90 % des dépouillés. » Mais quelques minutes plus tard, le Premier secrétaire sortant avait fait de même sur YouTube. Olivier Faure s’était, en effet, félicité de la volonté des militants du PS « de poursuivre le rassemblement de la gauche et des écologistes en (lui) renouvelant leur confiance ». Finalement, en début de matinée, ce vendredi, le PS a bel et bien annoncé dans un communiqué la victoire d’Olivier Faure. Dans la matinée, une commission de recollement des résultats du scrutin devait se réunir.

Une « déstabilisation inadmissible »

Le camp d’Olivier Faure s’était particulièrement insurgé de cette situation. La numéro 2 du parti, Corinne Narassiguin, avait indiqué que le Premier secrétaire sortant arrivait en tête à environ 52 %, selon de premières estimations. Le mandataire d’Olivier Faure, Pierre Jouvet, avait de son côté dénoncé une « déstabilisation inadmissible » de la part du camp de Nicolas Mayer-Rossignol. « Olivier Faure a remporté le scrutin avec certitude », assurait-il comme le relaie Le Figaro. Du côté du maire de Rouen – réticent à l’alliance faite notamment avec La France insoumise (LFI) à travers la Nupes – il était dit que Nicolas Mayer-Rossignol obtiendrait au moins 50,5 % des voix.

Les deux candidats s’accusaient mutuellement d’irrégularités dans les votes, relaie Le Figaro. Aussi bien Olivier Faure que Nicolas Mayer-Rossignol avaient réclamé des recours et l’annulation de vote dans certaines sections. L’élu normand demandait plus particulièrement l’annulation de ceux de la section de Liévin, dans le Pas-de-Calais, comprenant quelque 300 voix. Le Figaro relaie que des scrutateurs auraient été écartés de ce bureau de vote par la police municipale dans cette section. Pourtant, Corinne Narassiguin avait justifié que ces scrutateurs ne figuraient pas sur les listes des bureaux de vote, accusant certaines personnes de tenter « de discréditer ce scrutin ».

Lire la suite sur Valeurs actuelles

vendredi 16 décembre 2022

La Fifa refuse que Zelensky prononce un discours lors de la finale de la Coupe du monde



La Fifa ne veut pas qu’il s’exprime. Vendredi 16 décembre, CNN a affirmé que la Fifa a refusé que le président ukrainien Volodymyr Zelensky fasse une intervention sur écran géant lors de la finale de la Coupe du monde de football, dimanche 18 décembre. Cette finale va opposer l’équipe de France, tenante du titre, à celle d’Argentine. Le président ukrainien souhaitait que soit diffusé en ouverture de la rencontre, un message vidéo appelant à la paix. Une initiative purement et simplement refusée par la Fédération internationale de football, organisatrice de la compétition, qui se déroule cette année au Qatar.

Des discussions seraient en cours

Pour autant, d’après CNN, des discussions seraient toujours en cours pour que le chef d’Etat ukrainien puisse apparaître sur les écrans géants du stade Lusail de Doha et délivrer son message.

Lire la suite sur Valeurs actuelles

samedi 10 décembre 2022

Soupçons de corruption : de l’argent liquide retrouvé au domicile d’Eva Kaili, vice-présidente du Parlement européen



Le 10 décembre 2022

C’est une affaire qui devrait faire beaucoup de bruit. 

Comme le rapporte L’Echo, cinq personnes ont été interpellées vendredi 9 décembre à Bruxelles, la capitale belge. Des arrestations qui se sont déroulées en lien avec une enquête concernant des soupçons de corruption – au sein du Parlement européen – par le Qatar, précisent nos confrères. Dans ce contexte, plusieurs sacs contenant de l’argent liquide ont été découverts au domicile de la vice-présidente du Parlement – la sociale-démocrate grecque Eva Kaili –, qui devait donc passer la nuit dernière en cellule.

Eva Kaili arrêtée en flagrant délit

Cette enquête a été ouverte pour des faits de blanchiment et de corruption, poursuit le quotidien belge. Elle est conduite par l’Office central de répression de la corruption, le parquet fédéral, ainsi que Michel Claise, juge d’instruction. Les cinq arrestations à Bruxelles ont eu lieu à l’issue de seize perquisitions. Dans le même temps, deux autres arrestations ont eu lieu en Italie, observe le même journal. Des précisions qui viennent confirmer les informations du Soir et du média Knack. 

Lire la suite sur Valeurs actuelles

jeudi 17 novembre 2022

Louis Boyard, faux rebelle, vrai bouffon


Le député insoumis Louis Boyard était jeudi soir l’invité de Cyril Hanouna. L’altercation entre le jeune parlementaire et l’animateur a suscité l’une de ces controverses dont le ventre de la médiasphère ne manque jamais de se repaitre. Si l’incident traduit la dégradation continue d’un débat public affamé de clashs et d’esclandres, il est tout aussi instructif sur ce qu’il dit des pratiques de la radicalité gauchiste, laquelle trouve dans le jeune Boyard l’une des illustrations les plus triviales de son absence d’inhibitions et de sa saturation idéologique.

L’insoumission marketée de LFI a ceci de profondément factice intellectuellement qu’elle joue sur tous les tableaux en se prétendant l’expression d’une morale dont elle s’affranchit par ailleurs

Par Arnaud Benedetti le 14 novembre 2022

Lire la suite sur  Valeurs actuelles


mercredi 19 octobre 2022

L’ancien Premier ministre Jean Castex recasé comme PDG de la RATP



Le 19 octobre 2022

L’ancien chef du gouvernement, Jean Castex, va être nommé PDG de la RATP. La Haute autorité de transparence de la vie publique (HATVP) a rendu un avis en ce sens, rapporte Le Figaro. Mercredi 19 octobre, l’Élysée a confirmé dans un communiqué qu’Emmanuel Macron « envisage(ait) » de nommer son ancien chef de gouvernement à la tête de la RATP. Son dossier doit maintenant être validé par les commissions parlementaires puis par le Conseil des ministres.  

L’ex-Premier ministre d’Emmanuel Macron devrait succéder à Catherine Guillouard, qui avait remis sa démission à la rentrée pour motif personnel.

Lire la suite sur Valeurs actuelles

dimanche 16 octobre 2022

Militante condamnée pour avoir profané l’église de la Madeleine : la CEDH condamne la France… et s’enfonce dans l’ignominie


Par Grégor Puppinck le 13 octobre 2022

La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) s’est placée une nouvelle fois du côté des blasphémateurs antichrétiens, en défendant la « liberté d’expression » de la militante femen qui avait profané l’église de la Madeleine à Paris en 2013. Cette femme s’était exposée, devant l’autel et le tabernacle, seins nus, tatouée, les bras en croix, portant une couronne d’épines et le voile bleu de la Sainte Vierge, et tenant « deux morceaux de foie de bœuf dans les mains, symbole du petit Jésus avorté ». Sur sa poitrine étaient inscrits les slogans « Christmas is canceled » et « 344ème salope » en référence au manifeste des 343 féministes pro-avortement en 1971.

Vous avez dit abject ? Pas pour la CEDH, qui n’a vu dans cette mise en scène macabre que l’action d’une courageuse militante féministe injustement condamnée, dont le « seul objectif » était très noble : contribuer « au débat public sur les droits des femmes, plus spécifiquement sur le droit à l’avortement ». La Cour a jugé que la protection « de la liberté de conscience et de religion » ne pouvait pas justifier cette condamnation, feignant en outre de reprocher aux juridictions françaises de ne pas avoir « recherché si l’action de la [femen] avait un caractère “gratuitement offensant” pour les croyances religieuses, si elle était injurieuse ou si elle incitait à l’irrespect ou à la haine envers l’Église catholique ». Bilan : la France est condamnée à lui verser 9800 euros.

Pour condamner la France, la Cour s’est déclarée « frappée de la sévérité de la sanction », qui n’était pourtant que d’un mois de prison avec sursis et 2000 euros d’amende. Elle a déploré que cette peine soit inscrite au casier judiciaire de la militante — comme si sa réputation avait à en souffrir — et que le sursis puisse devenir une peine de prison ferme dans l’hypothèse où elle serait une nouvelle fois condamnée pour l’exercice de sa « liberté d’expression ».

Cela devient une habitude, à la CEDH, de défendre ces attaques proférées dans les églises et contre l’Eglise. En 2018, elle avait déjà jugé que la provocation blasphématoire du groupe punk féministe des Pussy riots dans le chœur de la Cathédrale orthodoxe de Moscou était une forme d’expression protégée par la Cour. L’avocat des Pussy riots, par ailleurs cadre de l’Open Society de George Soros, est depuis devenu juge à la CEDH. La même année, la Cour avait aussi condamné la Lituanie pour avoir sanctionné des publicités blasphématoires mettant en scène le Christ et la Vierge Marie.

Islam et christianisme ne sont pas à la même enseigne

Mais sa position est toute différente s’agissant de l’islam. Souvenons-nous en, en 2018, la CEDH a soutenu la condamnation pénale d’une conférencière autrichienne à qui il était reproché d’avoir assimilé à de la « pédophilie » la relation sexuelle de Mahomet avec Aïcha, alors âgée seulement de 9 ans. La CEDH jugeait que cette conférencière n’avait pas cherché à informer objectivement le public, mais à « démontrer que Mahomet n’est pas digne d’être vénéré ». À l’appui de cette condamnation, la Cour avait considéré que parler de « pédophile » serait une « généralisation sans base factuelle », de « nature à susciter une indignation justifiée » des musulmans. Ces propos constituaient, selon la Cour, « une violation malveillante de l’esprit de tolérance à la base de la société démocratique » susceptible « d’attiser les préjugés » et « de mettre en danger la paix religieuse ».

Comment ne pas voir dans cette différence de traitement un “deux poids deux mesures”, doublé d’un coupable aveuglement ? Comment ne pas y voir les propres préjugés de la Cour ? La conférencière n’a fait que dire la vérité, avec décence et discrétion, tandis que la Femen avait pour objectif de blesser et d’offenser. Jamais la Cour n’aurait soutenu une telle mise en scène macabre si elle avait eu lieu dans une mosquée ou dans l’enceinte d’un Palais de Justice. Pourquoi condamner la première et défendre la seconde ?

Lire la suite sur Valeurs actuelles


samedi 24 septembre 2022

Nantes : une femme violée à plusieurs reprises par trois clandestins soudanais



Une abominable agression a eu lieu à Nantes (Loire-Atlantique), très tôt ce samedi 24 septembre. Selon les informations de France Bleu, une jeune femme a été violée à plusieurs reprises alors qu’elle circulait au niveau des Machines de l’île, non loin du centre-ville de l’ancienne capitale des ducs de Bretagne.

La jeune femme circulait à pied lorsqu’elle a été repérée par trois hommes, tous d’origine soudanaise et présents sur le territoire national en situation irrégulière. Les trois hommes se sont alors emparés du téléphone de la jeune femme avant de la violer à plusieurs reprises sur la voie publique.

Le 24 septembre 2022

Lire la suite sur Valeurs actuelles

mercredi 21 septembre 2022

Guillaume Peltier : “Pour nos campagnes, des enfants, pas des migrants !”



Repeupler nos campagnes par une meilleure répartition des étrangers. Quel terrible aveu. Le grand remplacement n’aura donc finalement jamais été aussi abouti et assumé que dans la bouche d’Emmanuel Macron, jeudi 15 septembre. Dans son argumentaire, le président de la République l’affirme sans rougir : il faut désengorger les quartiers pauvres et, pour palier à désertification des zones rurales, accueillir les migrants dans nos villages au mépris des besoins impérieux de leurs habitants, portés par des élus locaux à bout de souffle et de pouvoir. Le flux migratoire serait-il donc si incontrôlable que l’on soit désormais contraint de répartir au lieu de réguler ? De remplacer les futures générations au lieu d’encourager notre propre natalité ? Est-il là, le destin de notre France des provinces, rurale et oubliée ?

Nous aurions tant aimé que le président de la République s’émeuve d’abord de la condition de notre propre peuple, de notre propre pays, en agissant pour la revitalisation de nos centre-bourgs, pour le maintien des services publics, pour l’implantation de nouveaux médecins, pour la sauvegarde de notre patrimoine millénaire… Mais non, les migrants avant tout. Les migrants avant nous.

Maire, député puis conseiller départemental, je suis un élu de la France rurale depuis dix ans et je me suis bien souvent heurté à la surdité, à l’ignorance, à l’incapacité de ces politiciens hors-sol et obnubilés par une seule campagne, celle qui les mènerait un jour au pouvoir. Mais eux, que savent-ils de cette France ? Que savent-ils de nos déserts médicaux, de nos communes sans école, de nos commerces abandonnés, de nos clochers muets, de nos volets fermés, de nos agriculteurs essorés ? Que savent-ils de nos familles françaises qui ignorent si leurs enfants pourront être scolarisés dans la même école, à la rentrée prochaine ? Ou s’ils devront côtoyer de nouveaux petits camarades migrants, au risque de devoir s’adapter eux-mêmes à leur culture ? Ils ne savent rien. Ils caricaturent, ils prétendent, ils se détournent du réel et nous imposent leur nouveau monde, leurs nouveaux mots, leur nouveau peuple.

Prétendant à un projet de maîtrise de l’immigration, Emmanuel Macron nous impose, à l’inverse et à l’envers, son extension qui conduira à la dilution de notre peuple, en confisquant aux Français nos derniers territoires refuges. Sous couvert d’humanisme, il nous contraint à payer son ingérence et à subir, nous aussi, les conséquences de cette immigration massive, jusqu’aux confins de nos départements où, déjà, des voix s’élèvent et des résistants se lèvent.

A Callac, dans les Côtes d’Armor, à l’initiative de Reconquête !, des centaines d’habitants se sont réunis pour s’opposer à la construction d’un centre d’accueil pour réfugiés. Un acte de survie qualifié de soulèvement extrémiste par quelques “journalistes” de bureau… Et nous continuerons. Nous nous opposerons de toutes nos forces à ce funeste projet, à ces manipulations politiques et morales, à la banalisation de cette immigration illégale, à la pression des lobbies, à la lâcheté de l’État, au grand renoncement, au grand remplacement. Nous ne participerons pas au camouflage de cette politique désastreuse menée par des dirigeants pyromanes depuis des années, car nous refusons de voir nos communes se transformer en ghettos. Avec Éric Zemmour, nous porterons une autre politique, celle de la civilisation et du repeuplement de nos campagnes par la natalité française et la considération retrouvée de nos terroirs. Car notre avenir, ce sont nos enfants, pas les migrants.

La France doit rester la France, notre France rurale doit rester française.

Par Guillaume Peltier, vice-président exécutif de Reconquête ! le 19 septembre 2022

Valeurs actuelles

jeudi 1 septembre 2022

Affaire Iquioussen : une manifestation de soutien à l’imam et contre « l’islamophobie d’Etat » organisée à Paris



L’imam Hassan Iquioussen, qui semble avoir pris la fuite vers la Belgique afin d’échapper à une expulsion forcée, peut compter sur quelques (rares) soutiens en France. Si une partie de la gauche s’est opposée à une telle expulsion, au nom de sa vision de l’État de droit, c’est aussi le cas d’une partie des musulmans de France. En témoigne l’organisation d’une manifestation de soutien à Hassan Iquioussen, malgré le lourd passif du prédicateur.

La manifestation est organisée par l’association « Perspectives musulmanes », qui appelle d’une part à s’opposer à l’expulsion du prédicateur, et d’autre part à manifester contre « l’islamophobie d’Etat ». Le rendez-vous est donné pour le samedi 3 septembre à 15h, place de la République à Paris.

Tous les musulmans sont visés

Le 30 juillet dernier, Perspectives musulmanes avait déjà réagi à l’annonce de l’expulsion de l’imam. Dans un communiqué, l’association dénonçait « une mesure d’exception, (…) visant à démanteler le tissu associatif musulman, et son expression cultuelle ou politique ».  Le 30 août suivant, dans la foulée de la décision du Conseil d’Etat, l’association affirmait également qu’à « travers H. Iquioussen, ce sont toutes les personnes musulmanes qui sont visées ».

Lire la suite sur Valeurs actuelles

La FRANCE est-elle INSIGNIFIANTE à l'international ? VA + Avec François Asselineau (UPR) le 27 août 2022