Le député européen allemand Nicolaus Fest vient de révéler que la Commission européenne finance de nombreux ateliers « drag queen » pour les jeunes, via le programme Erasmus+ dédié au soutien à l’éducation. Ce n’est pas tant une surprise, venant de la Commission qui pavoise en permanence des drapeaux arc-en-ciel sur ses bâtiments ou ses réseaux sociaux, et a lancé le 1er juin dernier - avec la bénédiction de sa présidente Ursula von der Leyen - une campagne « Le futur est queer ».
Rien qu’en 2021, au moins 220 000 euros de subventions ont été accordés à « TransYouth », « Au-delà du genre » ou encore « Drag it up », afin d’apprendre à des jeunes « la marche en talons hauts et d’autres méthodes pour brouiller les rôles de genre binaires traditionnels ». Certains projets sont régulièrement reconduits, tel « Dragtivism » qui a reçu plus de 105 000 euros pour organiser, entre 2018 et 2022, quatre sessions de dix jours pour une trentaine de personnes « à partir de seize ans »…
Cela n’est qu’une minuscule partie de la galaxie militante LGBT, financée par notre argent grâce à quelques fonctionnaires européens complaisants. Au total, ce sont plusieurs millions voire dizaines de millions d’euros qui ont été dilapidés ainsi, faisant vivre une myriade de groupuscules propagandistes comme l’International Lesbian and Gay Association, au service de l’idéologie du genre et de la transidentité expliquées aux enfants.
La Commission européenne se veut à la pointe de ce combat supposé « progressiste », qui vise en réalité à tout déconstruire, des modèles familiaux naturels au sexe des individus, et à pousser des enfants à questionner leur « genre ».
Il est grand temps que Bruxelles et les activistes LGBT cessent d’interférer avec l’éducation, notamment sexuelle, qui doit rester la prérogative des parents : pas touche à nos enfants !
Communiqué de Nicolas Bay, Vice-Président de Reconquête ! du 15 juillet 2022
Facebook de Nicolas Bay
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