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samedi 12 octobre 2024

Marseille : les enfants tueurs défient l’Etat désarmé



Dans le séparatisme qui vient, Marseille a juste une longueur d’avance. La ville fétiche d’Emmanuel Macron, qui veut en faire avec la Seine-Saint-Denis le symbole de la diversité heureuse, n’en finit pas de sombrer dans le communautarisme criminalisé. Cette fois, ce sont des enfants tueurs, à la solde de narco-trafiquants, qui sèment l’horreur. Leur dernière victime était un paisible chauffeur VTC, Nessim Ramdame : il a été exécuté d’une balle dans la tête par un adolescent de 14 ans. 

L’assassin avait été recruté par un dealer, de sa prison grâce à l’un de ses quatre téléphones portables, pour liquider un concurrent en échange de 50.000 euros. Le jeune sicaire n’a pas supporté que son conducteur, étranger au trafic de drogue, ait refusé de l’attendre, le temps qu’il aille tuer comme il irait livrer une pizza. La génération des mineurs isolés, venus du Maghreb, est devenue le vivier des cartels, installés sous la protection des banlieues islamisées. Une ubérisation du crime s’y développe, sans rencontrer l’obstacle de la République désarmé. Ces bombes inhumaines, dénuées de toute empathie, pourraient aussi bien prendre les armes, demain, pour affronter les forces de l’ordre ou les gêneurs. Si une partie de Marseille est prisée pour ce qu’elle est encore dans sa diversité chaleureuse, force est de constater qu’une autre moitié de la ville s’est perdue dans une immigration de masse devenue incontrôlable. 

Deux mondes s’y affrontent désormais. Non seulement s’observe une libanisation de Marseille, mais la cité prend bien des aspects qui se retrouvent dans les pires narcos-Etats d’Amérique du Sud.

Ce naufrage marseillais préfigure celui de la France. Il ne peut être évité que si l’Etat décide d’entrer en guerre contre ses ennemis intérieurs. Un désarmement est assurément nécessaire. Mais c’est dans les cités qu’il devrait s’appliquer. La loi des truands s’accorde avec celle de l’islam subversif. Au Liban, le Hezbollah pratique ce même mélange des genres. 

Le gangsterrorisme en est le produit. Ce qui arrive à Marseille, avec ces démons recrutables sur l’internet, se retrouvera dans d’autres villes atteintes par la même gangrène de la lâcheté, qui affaiblit les autorités publiques. Mais ce naufrage marseillais est également celui du chef de l’Etat. Macron a échoué à faire de sa « ville de cœur » la pointe avancée et exemplaire de sa France de demain. Les envolées du président sur « Marseille en grand » et ses promesses de « Place nette XXL » sont restées des mots creux. Idem pour les engagements de Gérald Darmanin à « tuer la pieuvre » (voir mon blog du 21 mars 2024). 

Ici comme ailleurs, le récit officiel, qui voudrait faire croire en une cohabitation harmonieuse des cultures, est contredit par les réalités. La fracture identitaire du pays, que votre serviteur décrivait en 2007 (1), a pris des proportions dramatiques. C’est à Tourcoing, fief de Darmanin, qui se flattait de son action contre le séparatisme islamiste, qu’une élève voilée à frappé une enseignante qui lui demandait d’ôter son signe d’appartenance à l’islam. C’est à Sciences-Po Paris et dans certaines universités cornaquées par LFI que sont lancés des appels à l’intifada en France, c’est-à-dire à la guerre civile. Pour l’instant, rien n’arrête la dislocation de la nation. Le monde politique, qui s’empoigne actuellement sur le prix de l’électricité, n’est pas à la hauteur.

(1) La fracture identitaire, Fayard

Par Ivan Rioufol le 9 octobre 2024


lundi 12 septembre 2022

Les réglements de compteà Marseille ? On ne les compte plus !



Communiqué de  Jean-Paul GarraudDéputé français au Parlement européen, président de la délégation du Rassemblement National au Parlement européen du 12 septembre 2022

Inutile puisque tout ceci reste impuni depuis des lustres. Ces truands qui tirent à l'arme lourde n'ont que faire de la police et de la Justice. Ce sont souvent justement des récidivistes, qui connaissent le mieux le système pénal et qui ont bien compris qu'ils n'avaient rien à craindre. Plus ils connaissent le système pénal et moins ils le redoutent, tous les professionnels sincères de la sécurité vous le diront.

Par contre, les gens honnêtes craignent encore la police et la Justice, ce sont les seuls.

Et pendant ce temps, la violence explose, sur tout le territoire, à l'encontre des vieux et des jeunes, à la ville et à la campagne, dans la rue et chez soi, avec une recrudescence à l'encontre des forces de l'ordre.

Que faut-il faire? c'est simple.

Des peines planchers, des peines incompressibles, la perpétuité réelle et ainsi de suite... En finir avec cette philosophie pénale qui fait du délinquant une victime de la société qu'il faut d'abord aider.

Des moyens, bien sûr.

Réformer les procédures pour qu'elles soient moins complexes et plus efficaces. Et, dire à M. Dupond-Moretti qu'il reparte d'où il est venu. Il aura du travail !

Mais rien de tout ceci ne sera fait par le gouvernement en place. Ce ne seront que poudre aux yeux, ravalements de façade, discours grandiloquents et creux, déplacements sur les lieux de ministres, de 1er ministre et même Président.

On connaît, c'est du déjà vu, là aussi, on ne compte plus!

RN

vendredi 27 mai 2022

Marseille : le père de famille attaqué au couteau devant l'école de ses enfants est décédé


Le 27 mai 2022
Déjà connu des services de police, mais pas du renseignement territorial, le suspect aurait selon plusieurs témoins déclaré «avoir agi au nom de Dieu» au moment de l'agression.
Le père de famille qui avait été poignardé à une dizaine de reprises au niveau de la gorge, le 10 mai dernier devant le collège de ses enfants, dans le 13e arrondissement de Marseille, est décédé des suites de ses blessures dans la nuit de jeudi à vendredi 27 mai. Ce médecin militaire radiologue à l'hôpital Laveran, âgé de 40 ans, laisse derrière lui une femme et trois enfants.
«À sa femme, ses enfants, sa famille, ses amis et ses frères d'armes, j'adresse mes plus sincères condoléances. Je suis avec vous», a réagi Marion Bareille, la maire des 13e et 14e arrondissements de Marseille, par voie de communiqué. «J'espère que la justice se prononcera avec une extrême sévérité, car je ne saurais accepter qu'un tel drame reste impuni», a-t-elle ajouté. Sur Twitter, le député (LR) des Alpes-Maritimes Eric Ciotti a de son côté fait part de sa «vive émotion au moment d'apprendre la disparition d'Alban Gervaise, médecin militaire attaqué au couteau à la sortie de l'école devant ses enfants à Marseille.» Le député plaide pour que «le motif terroriste [soit] retenu dans cette affaire.»
Les faits avaient eu lieu à proximité du groupe scolaire catholique Sévigné, chemin du Merlan à la Rose. La victime avait été attaquée alors qu'elle était sur le point de reprendre sa voiture stationnée à une cinquantaine de mètres de l'école. Elle était accompagnée de ses deux enfants de 3 et 7 ans, scolarisés en maternelle et en CP dans l'école catholique, qu'il venait de récupérer. Assis sur un banc à proximité, l'agresseur avait surgi par-derrière avant de s'acharner sur le médecin, lui assénant plusieurs coups de couteau dans le thorax.
Maîtrisé et désarmé par quatre passants, l'agresseur avait été interpellé par les policiers avec un couteau suisse en sa possession. Il s'agit de Mohamed L., 23 ans, né à Brignoles (Var). Déjà connu des services de police, mais pas du renseignement territorial, le suspect aurait crié des allégations religieuses pendant l'agression, selon plusieurs témoins. Il aurait notamment déclaré «avoir agi au nom de Dieu». Placé en garde à vue, ce dernier avait tenu des «propos délirants», évoquant «Dieu» et «le diable».
Lire la suite sur Le Figaro


mercredi 11 mai 2022

Marseille : Un homme armé mortellement neutralisé par balles par les policiers, à la Valentine



Un homme a été mortellement neutralisé par balles par des policiers de la police-secours à Marseille ce mercredi en début d'après-midi, vers 13 heures, près du magasin Cultura situé dans le quartier de la Valentine (11e).

L'agresseur était armé d'un grand couteau d'une vingtaine de centimètres, et non d'une machette comme indiqué dans nos premières informations. L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années, a d'abord menacé un couple dans une voiture qui se trouvait sur le parking du centre commercial, puis a pénétré dans le magasin Cultura. "L'agent de sécurité est intervenu et a réussi à échanger avec lui, ce qui a permis de temporiser", confie une source proche de l'enquête. L'agresseur a foncé sur les policiers lorsqu'il les a vus arriver. Il a refusé de lâcher son arme et les forces de l'ordre ont ouvert le feu à quatre ou cinq reprises pour le neutraliser précise notre source.

Il n'y a pas d'autre blessé à déplorer. Selon cette même source, un "suicide by cop" est l'une des pistes étudiées par les enquêteurs. Il s'agit d'un mode opératoire qui consiste à attaquer les forces de l'ordre pour mourir lors de leur riposte. L'agresseur n'aurait tenu aucun propos à connotation religieuse. Une cellule psychologique a été ouverte pour les personnes qui ont été témoins de la scène.

Une enquête du chef de "tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique" a été ouverte et confiée à la police judiciaire. Une seconde enquête a été ouverte et confiée à l'inspection générale de la police nationale (IGPN) afin de déterminer les circonstances exactes qui ont conduit aux tirs des policiers.

Gérald Darmanin réagit

"Merci aux policiers courageux qui ont neutralisé un individu menaçant, muni d’un couteau, dans une zone commerciale à Marseille", réagit le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, sur Twitter. "L’assaillant est décédé. Aucun autre blessé".

Les faits se produisent au lendemain d'une tentative d'homicide sur un père de famille devant un collège catholique du 13e arrondissement de la cité phocéenne. La victime a reçu plusieurs coups de couteau au niveau de la gorge. Elle est toujours hospitalisée entre la vie et la mort ce mercredi. Son agresseur qui a hurlé avoir agi "au nom d'Allah" selon une source proche de l'affaire, est toujours en garde à vueCe lundi, une femme de 56 ans qui sortait d'un parking du 10e arrondissement a été battue à mort par un sans domicile fixe de 39 ans.

«La police a été irréprochable lors de ces trois interventions»

"La police marseillaise a encore prouvé son efficacité. Trois jours de suite, nos collègues ont interpellé deux "déséquilibrés" qui venaient de tuer ou de tenter de tuer", réagit Rudy Mana, secrétaire départemental des Bouches-du-Rhône du syndicat Alliance Police Nationale. "Et aujourd'hui, c'est un homme dangereux qui a été neutralisé et il n'y aucun autre blessé. La police a été irréprochable lors de ces trois interventions".

Par Stéphane Cazeaux le 11 mai 2022