Tornade sur la Haute-Saône et le Doubs !

Dans le Jura, on prends les mêmes et on recommence puisque LR garde ses deux députés (Justine Gruet est élue avec 59, 3% sur la troisième circonscription et Marie-Christine Dalloz pour la seconde avec 62, 10%) et le parti du Président de la République conserve la région lédonienne avec la victoire de Danielle Brulebois avec 56, 22 %.

Géraldine Grangier est l'élue RN du département du Doubs, elle a battue sur la 4 ème circonscription l'ex-socialiste macroniste Frédéric Barbier avec 50, 99 %.

Pour la Haute-Saône ce sont deux députés RN qui vont à l'Assemblée nationale représenter les habitants du département avec Antoine Villedieu et Emeric Salmon. ils ont battus respectivement les élus sortants d'Ensemble ! Christophe Lejeune (54, 38%) et Barbara Bessot-Ballot (54, 50 %).

Malheureusement le Territoire-de-Belfort reste entre les mains de la fausse droite LR pour la 1ére circonscription et passe à l'extrême-gauche dans la seconde.

Félicitations aux élus comtois du Rassemblement National !

Steph FG

Messieurs les censeurs

Messieurs les censeurs,

Curieuse conception de la démocratie de la part des syndicats FO, FSU et CGT de Haute-Saône qui interrogent les candidats sur un sujet majeur : les retraites, et qui ostracisent volontairement les candidats de Reconquête et du RN, dans l'Est Républicain de ce jour .

Ces associations de retraités qui décident qui est candidat légitime et qui ne l'est pas, outrepassent leurs prérogatives syndicales, bafouent le cadre républicain et démocratique et conchient le droit fondamental de la liberté d'expression. Ils démontrent ainsi leur absence d'éthique et leur défaut d'équité.

A Reconquête nous dénonçons solennellement ces pratiques dignes du soviet suprême d'autant que nous comptons parmi nos adhérents un grand nombre de retraités dont certains sont également adhérents à ces associations.

«Volontairement écartés» nos candidats Reconquête et ceux du RN qui représentent un corps électoral de plus de 40% de la population de Haute-Saône n'ont donc pas pu s'exprimer sur ces questions très préoccupantes que sont le pouvoir d'achat, la santé, le bien vieillir, et les services publics notamment ceux inhérents aux personnes âgées.

Ces questions cruciales méritent un vrai débat de la part de tous les candidats ce que ne jugent pas utile les auto-proclamés censeurs syndicalistes. Lesquels se plaignent que l'on ne parle pas assez de ces sujets, allez les comprendre...

Ces mêmes syndicats dont la plupart ont appelé par deux fois à voter Macron rentrent donc dans l'arène politique en choisissant leurs candidats.

Est ce leur rôle ?

Avec de pareilles méthodes de censure et de parti pris il ne faut pas s'étonner que la France soit le dernier pays de l'union européenne en terme de représentativité syndicale laquelle est en complet déclin.

Par Marc Mantovani le 9 juin 2022

Responsable Reconquête 70

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