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dimanche 29 octobre 2023

Le 3 avril 1987... Il y a mille ans



La liberté d’expression est morte depuis qu’elle est devenue, pour les tenants du gauchisme culturel, la liberté d’interdire d’expression quiconque ne pense pas comme eux. On ne compte plus les atteintes à cette liberté : interdiction à tel ou tel de donner une conférence, défense de réunir ses lecteurs dans une salle publique, une bibliothèque, une librairie, à l’École normale supérieure, à Science Po, dans des universités.

Le service public, payé par le contribuable, propose des plateaux et des tables rondes où débattent blancs bonnets et bonnets blancs. Les contradicteurs sont des faire-valoir. Questions perfides aux Rebelles, ronds de jambe de connivence pour les Soumis, proscriptions des Résistants. Ceux qui en appellent à la liberté d’expression l’interdisent au nom de la liberté d’expression. À Bordeaux, on interdit Sylviane Agacinski qui s’élève contre la traite négrière moderne qu’est la vente d’enfants ; et on invite Judith Butler qui œuvre à la marchandisation des corps et on lui décerne le titre de docteur honoris causa à l’Université de... Bordeaux. On interdit Alain Finkielkraut à Science Po Paris ; et on sollicite Houria Bouteldja, racialiste, antisioniste et décolonialiste à l’Université de Limoges. On détruit quatre cent cinquante livres de François Hollande à l’Université de Lille ; et on déroule le tapis rouge de l’Université de... Bordeaux à Jean-Marc Rouillan, d’Action directe, bien qu’il ait tué deux personnes et fait l’apologie du terrorisme en 2015 – bien que, ou peut-être plutôt parce que.

J’ai souvenir, pour ma part, qu’une pétition lancée par les freudolâtres, Élisabeth Roudinesco en tête, avait été envoyée à France Culture pour interdire la diffusion de mon séminaire de l’Université populaire de Caen consacré à Freud. Cette demande de censure avait été effectuée « au nom de la liberté d’expression » ! Le directeur de l’époque, Olivier Poivre d’Arvor, n’y a pas consenti, qu’il en soit ici remercié. La besogne fut exécutée il y a six ans par Sandrine Treiner. Je suis toujours interdit de service public, y compris dans cette maison qui affiche sans rire un slogan à se tordre : « France Culture, l’esprit d’ouverture ». C’est probablement au nom de l’esprit d’ouverture qu’ils décrètent tant de fermetures !

L’impossible débat

Le débat démocratique n’existe plus. Quant, à Front populaire, nous avons organisé une rencontre avec Éric Zemmour, qui n’était pas encore candidat, devant quatre mille personnes au palais des Congrès de Paris, L’Obs a fait paraître un article expliquant ce que cette rencontre avait donné... une heure avant qu’elle ait eu lieu ! Incestueuse, la presse maëstrichienne a ensuite fait savoir que j’étais aligné sur lui.

Quelque temps plus tard, l’Agence France Presse annonça que « j’envisageais de voter Zemmour » en oubliant que j’avais ajouté une condition : « S’il muscle son bras gauche ! » Il ne l’a pas musclé, c’est le moins qu’on puisse dire, il n’y eut donc pas de compagnonnage. Mais débattre avait suffi pour anathématiser. Peu importe que j’aie fait savoir partout que je souscrivais à son diagnostic d’une France qui allait mal, mais pas à ses solutions ; il croit à l’homme providentiel, moi au peuple providentiel ; rien n’y a fait. Nous avions débattu, nous nous sommes parlé, nous avons ferraillé et bataillé sans nous insulter, mais j’étais un allié du diable du simple fait d’avoir échangé avec lui !

Il est loin le temps béni où l’excellent Bernard Pivot pouvait inviter sur le plateau d’Apostrophes Maurice Bardèche, fasciste revendiqué, et Bernard-Henri Lévy, sans que la presse du gauchisme culturel ne titre le lendemain que BHL souscrivait à ses thèses antisémites. Il y avait aussi, sur ce plateau, un certain Gabriel Matzneff. Quelle était la thématique ? La responsabilité des intellectuels. Bardèche, l’un des inventeurs du négationnisme, y défendait un livre sur Céline, et BHL son Éloge des intellectuels. Personne n’a estimé que, par capillarité, Bernard-Henri Lévy soit devenu négationniste, ni même que Bardèche fût converti aux idéaux de BHL. Il y avait juste eu débat. C’était le 3 avril 1987, il y a mille ans.

Ces débats ne sont plus parce que la gauche culturelle voit son pouvoir menacé par une presse et des médias vraiment libres qui n’appartiennent ni à l’État ni à des milliardaires alignés sur son idéologie nihiliste.

De Gaulle avait, après-guerre, donné la culture, l’éducation, la recherche, l’université à la gauche avec laquelle il gouvernait – difficile de confier l’Intérieur, les Affaires étrangères, l’Armée aux communistes qui prenaient leurs ordres à Moscou...

Mai 68 a généré une gauche soixantaine-huitarde qui s’en est donnée à cœur joie en se recasant chez Mitterrand, grand recycleur de trotskistes. Ceux-là ont détruit ce qu’ils ont touché. On commence à le dire, ça commence à se voir, à se savoir : ils défendent leur peau de chagrin idéologique comme des satrapes le dos au mur. 

Quand ils entendent une voix qui ne vient pas de leur meute, ils sortent leur revolver.

Par Michel Onfray le 29 octobre 2023

Le JDD


mercredi 4 janvier 2023

De Yaël Goosz à Thomas Legrand, une certaine idée du pluralisme



Yaël Goosz est le chef du service politique ouvertement de gauche de France Inter. Son édito du 30 décembre a été un magnifique exemple de désinformation et d’orientation politique assumée. Yaël Goosz ne se démarque donc en rien de son prédécesseur, Thomas Legrand, lequel continue de sévir sur la radio publique tout en délayant sa prose ultra-gauchisante dans Libération – mince feuille de chou bénéficiant sur France Inter d’une publicité quotidienne et gratuite grâce à la revue de presse de Claude Askolovitch qui n’oublie jamais de citer un, deux ou trois des laborieux articles qui composent ladite feuille.

Feux nourris contre Jean-Claude Dassier et Michel Houellebecq

Yaël Goosz débute donc cet édito en rappelant l’intervention de Jean-Claude Dassier sur CNews à propos des musulmans qui ignoreraient ce que le mot « république » veut dire. Je ne sache pas que le chroniqueur de CNews ait appelé à la haine ; il a donné son point de vue sur ce qu’il croit être une difficulté pour l’intégration de certains Français de confession musulmane, à savoir une envahissante revendication religieuse amplifiée par des prédicateurs fréristes ou salafistes engageant leurs coreligionnaires à ne pas se soumettre aux lois républicaines. Le fait que Jean-Claude Dassier ait, dans le feu de la discussion, généralisé son propos à l’ensemble des musulmans était certes maladroit, cela n’était pour autant pas « honteux » (Yaël Goosz) et encore moins « raciste » (Thomas Legrand). Déchaîné, Yaël Goosz ose faire un parallèle entre ce « dérapage verbal » et le « crime raciste » qui a touché la communauté kurde à Paris. Du grand n’importe quoi.

Sur sa lancée, le journaliste falsifie le sens des propos tenus par Houellebecq dans Front populaire : « L’écrivain prédit l’avènement d’une guerre civile en France, des “actes de résistance” contre une domination islamique, actes qu’il qualifie de “Bataclan à l’envers”. C’est une expression qui vire à l’incitation au grand défoulement. » Cette dernière assertion est un artifice mensonger qui détourne le sens réel des propos de l’écrivain. Voilà ce que dit Michel Houellebecq : « Des gens s’arment. Ils se procurent des fusils, prennent des cours dans les stands de tir. Et ce ne sont pas des têtes brûlées. Quand des territoires entiers seront sous contrôle islamique, je pense que des actes de résistance auront lieu. Il y aura des attentats et des fusillades dans des mosquées, dans des cafés fréquentés par les musulmans, bref des Bataclan à l’envers. » 

En aucun cas Houellebecq n’incite ou n’appelle à la guerre civile ou au « grand défoulement » ; il envisage, avec l’œil de l’écrivain qu’il est, une triste réalité pouvant advenir ; il ne l’espère pas mais ne s’interdit pas de considérer son éventualité. Pour tenter de donner du poids à son approximation mensongère, Yaël Goosz n’hésite pas à faire un rapprochement douteux entre les propos de Houellebecq et l’interpellation de quelques militants d’ultra droite à Paris. La boucle est bouclée ? Non, pas tout à fait. M. Goosz évoque ensuite, pêle-mêle, Éric Zemmour, le RN, la polémique concernant le député Grégoire de Fournas, le racisme, le fascisme, le GUD. Le courageux journaliste est prêt à offrir son corps pour barrer la route au monstre fasciste ; il bombe le torse et avertit vouloir demeurer le téméraire adversaire de « l’extrême droite » qu’il a toujours été : « Malgré tout ça, il faudrait corriger le langage des journalistes, ne plus parler d’extrême droite, simplement de “droite” ou de “mouvement national”. Ben voyons ! » Car, pour Yaël Goosz, le seul et unique danger vient des « deux faces de l’extrême-droite », celle du RN qui cherche à se normaliser et celle des « groupuscules identitaires » de l’ultra droite. « En politique, conclut l’éditorialiste, il ne faut jamais avoir la mémoire courte. Sous le vernis de la normalisation, il y aura toujours une histoire, un passé qui ne passe pas. » Étonnamment, les histoires trotskiste, stalinienne ou maoïste semblent devoir échapper à cet appel solennel de résistance à l’amnésie. Les doctrines politiques des mouvements totalitaires qui ont ruiné les pays dans lesquels elles se sont imposées et qui imprègnent encore l’extrême gauche française n’intéressent visiblement pas ce journaliste prêt à accepter quelques principes de base des régimes autoritaires de gauche, à savoir la convocation abusive devant un tribunal ou le brutal rappel à l’ordre via la censure ; aussi voit-il d’un bon œil la plainte déposée par le recteur de la Grande Mosquée de Paris contre Michel Houellebecq et ne pleurerait-il pas de voir CNews se faire sévèrement gronder, voire plus si affinités, par l’Arcom (ex-CSA) pour les propos de Jean-Claude Dassier.

Un pluralisme nettoyé, propre, de gauche

Comme Yaël Goosz, Thomas Legrand est pour le pluralisme, mais un pluralisme ciblé, nettoyé, propre, de gauche. Lors de l’intervention de J.C. Dassier sur CNews, l’historien Jean Garrigues était présent sur le plateau. Cet universitaire prudent, courtois, apte à soutenir la contradiction et à défendre sereinement ses positions, se revendiquant d’une gauche sociale-démocrate, s’est fait remonter les bretelles par un Thomas Legrand très énervé qui a twitté : « Qu’alliez vous faire @jeangarr78 sur cette chaîne ? Qd est-ce que les vrais universitaires et journalistes comprendront qu’il faut déserter cette chaîne faites [sic] pour polariser et faire advenir la guerre civile qui affirment prévoir [resic] ? Ils la veulent ! Vendez vos livres autrement ! » Le culot de Thomas Legrand n’a d’égal que celui de Yaël Goosz. Officiant sur une radio publique entièrement noyautée par la doxa wokisto-gauchiste, ces journalistes ont un mépris total pour ceux qui ne partagent pas leurs idées comme pour ceux qui, les partageant, tentent de les défendre dans les émissions d’une chaîne privée. Ainsi, Thomas Legrand réprimande Jean Garrigues comme un enfant et l’incite vivement à ne pas remettre les pieds sur le plateau de cette chaîne diabolique – en le traitant au passage de camelot prêt à tout pour vendre ses livres. Legrand aimerait que Jean Garrigues ait, comme lui, peur. Il y a de quoi, écrit-il (Libération du 1er janv. 2023) dans le style conformiste des petits-bourgeois médiatiques espérant effrayer les masses. D’après lui, « le spectacle obscène des médias bollorisés » laisse craindre « le risque d’un glissement général vers l’extrême droite ». Dès l’introduction, le style gauchiste pompier de cette chronique illustre la véritable crainte de Thomas Legrand, celle de voir le magistère moral de la gauche perdre de sa superbe : « C’est comme une lente glissade, une douce accoutumance, un progressif état général de léthargie démocratique. Ça passe par d’incessants débats sur l’identité, la religion, sur le moyen d’être toujours plus en sécurité. C’est ne plus faire la différence entre un éditorialiste conservateur et un polémiste populiste et d’extrême droite, c’est continuer à inviter sur les antennes des prétendus philosophes qui se complaisent à décrire un monde terrible et des villes pleines de “no go zones” pour transformer leur trouille en clairvoyance, c’est le délire “woke” surestimé décrit en puissant terrorisme par des réacs en pleine panique. C’est considérer Greta Thunberg comme plus dangereuse qu’Éric Zemmour. » Eh oui, M. Legrand, en certains endroits ça débat, ça se dispute, ça discute, ça invite des gens qui ne pensent pas la même chose, ça n’évite aucun sujet, ça punchline, ça se chamaille et parfois même ça pousse le bouchon un peu loin, jusqu’à dire que Greta Thunberg est une cruche. Ça porte deux noms : pluralisme et liberté d’expression.

Thomas Legrand et Yaël Goosz, ces deux prêtres de la nouvelle église wokiste ne doutent de rien. Ils distribuent les bons et les mauvais points. Ils désignent les bonnes et les mauvaises personnes, félicitent les premières et chapitrent les secondes. Ces dernières, qu’elles le sachent, seront dénoncées et excommuniées si elles persistent dans leurs mauvais penchants. Ces deux journalistes ne supportent pas d’entendre, même de loin, une contradiction. Celle-ci est immédiatement extrême-droitisée par nos Torquemada modernes qui sermonnent, promettent des bannissements médiatiques, espèrent des convocations juridiques, envisagent des bûchers politiques. Cette nouvelle inquisition médiatico-politique est le résultat achevé d’un bon demi-siècle de domination et de propagande des idéologies de gauche, lesquelles ont naturellement abouti aux « avancées sociétales » que l’on sait et au wokisme, à la morale punitive de l’écologisme, au racialisme raciste, à un islamo-gauchisme qui ne dit pas son nom, en même temps qu’à une ferveur redoublée pour interdire, bâillonner, censurer, au moment où elle sent bien qu’elle n’impose plus totalement sa loi. Pourtant, de France Inter à Libération, de France Info au Monde, de Yaël Goosz à Thomas Legrand, le rouleau compresseur de la grossière propagande de gauche et d’extrême gauche reste d’une redoutable efficacité. Il serait illusoire de penser que la machine d’endoctrinement est définitivement enrayée – l’Éducation nationale, l’École normale supérieure, les écoles de journalisme, les chaires de sciences sociales et les instituts d’études politiques sont entre les mains de « scientifiques » de l’éducation, de recteurs, d’universitaires et de professeurs majoritairement de gauche et d’extrême gauche ; ils forment tout à la fois les futurs citoyens embrigadés par les médias dominants et la caste politico-journalistique chargée de rééduquer cette partie de la population qui résiste encore en s’informant ailleurs que sur l’audiovisuel public, notamment grâce à des médias numériques indépendants, des journaux dissidents ou des chaînes privées, de Livre noir à CNews, de TVLibertés à Sud Radio, de Causeur à Boulevard Voltaire. 

Ces médias réfractaires empêchent Thomas Legrand et Yaël Goosz de dormir en paix ? Tant mieux ! Devenir le cauchemar de ces sinistres censeurs devrait être le rêve de tout média qui se respecte.

Par Didier Desrimais le 4 janvier 2023

Causeur

dimanche 4 septembre 2022

Affaire Iquioussen : non, Gérald Darmanin n’a pas la main ferme



Le Conseil d’État, que l’on a connu plus libéral, a donc confirmé l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen. Gérald Darmanin a fanfaronné sur cette décision, qui est une bonne nouvelle il est vrai, mais on a le sentiment légitime qu’il ne fait que tenter de suivre l’avis de la majorité des Français, avec mollesse et toujours un temps de retard. Il continue donc de courir derrière le Rassemblement national qui propose des solutions réalistes.

L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration

D’abord, comment expliquer que cet imam qui sévit depuis des années soit en fuite ? Que n’a-t-il été surveillé en attendant la décision du Conseil d’État ? Quelle passivité incompréhensible et inexcusable ! Cela donne vraiment le sentiment d’un manque de fermeté, d’autant que l’on reste passif devant les dizaines d’autres imams étrangers ou français et que personne n’ose s’en prendre au noyau dur des « frères musulmans » islamistes que sont les « musulmans de France », ex-UOIF, qui a pignon sur rue et continue à parader chaque année dans une grande manifestation au Bourget ! Si l’on remonte en arrière et pour donner quelques exemples de passivité de l’État, il aura fallu attendre deux ans avant que l’État ne dissolve le groupuscule radical islamiste « Forsane Alizza » qui prônait la lutte armée entre 2010 et 2012. L’ONG BarakaCity, nez creux des « frères musulmans » a existé de 2008 à 2020. Pour sa part, le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), les amis de Mélenchon, créé en 2003 n’a été dissout qu’en 2020.

La loi aussi a toujours un temps de retard comme celle de 2021… sur le respect des valeurs de la République, qui intensifie le contrôle de l’État, mais ne lutte pas vraiment contre le séparatisme islamiste. Ce n’est pas la signature facultative d’une charte par les associations musulmanes qui va faire peur aux réseaux islamistes ! L’autorisation du financement étranger des associations à hauteur de 10 000 euros n’est pas non plus à la hauteur de l’enjeu. C’est l’interdiction totale qui fallait voter. Il va falloir remettre l’ouvrage sur le métier… Il en est de même pour ce qui concerne le contrôle de l’immigration : une loi a été votée en 2018 pour une immigration maîtrisée, un droit d’asile effectif et une intégration réussie et Gérald Darmanin en prépare déjà une nouvelle à l’automne !... Cela donne vraiment l’impression de toujours courir derrière le Rassemblement National qui propose des solutions plus abouties sur ces sujets !

Le propre du politique c’est d’avoir toujours un temps d’avance

Le Rassemblement National a déposé en 2021 une proposition de loi visant à combattre les idéologies islamistes, allant de l’interdiction de leur financement à celle des tenues dans l’espace public ainsi qu’à l’accès à la fonction publique. Marine Le Pen a également proposé un référendum constitutionnel sur l’immigration contenant des propositions relatives à la priorité nationale, à l’instauration de quotas ou à un bouclier constitutionnel, refondre l’ensemble du droit applicable aux étrangers et l’abrogation du droit du sol. Comme il se disait il y a peu, les Français préféreront encore plus l’original à la copie.

Par Philippe Franceschi le 3 septembre 2022

Front Populaire

En toute vérité - Michel Onfray : Front populaire présentera une liste souverainiste aux Européennes, Sud Radio avec Michel Onfray le 4 septembre 2022