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vendredi 16 août 2024

Macron aux 80 ans du débarquement en Provence : une récupération politique



C’est plus fort que lui. En déplacement dans le Var a l’occasion des 80 ans du Débarquement des alliés en Provence, Emmanuel Macron n'a pas pu s’empêcher d’y prononcer un discours très politique, riche d’allusions à ses marottes idéologiques. Il en a donc profité pour vanter les beautés de la France plurielle et multi-ethnique, et pour en remettre une couche sur la dette qu’aurait notre pays envers ses anciennes colonies. « C’était l’armée la plus bigarrée et la plus fervente », a déclaré le chef de l’État, au sujet des troupes qui ont participé au Débarquement. Un éloge qui ne pouvait que plaire aux franges racialistes de la gauche. Ravi, Libération a ainsi félicité le président d’avoir rappelé « à l’extrême droite que la France avait été libérée en 1944 par des soldats africains ».

Notre pays aurait été sauvé des mains de l’occupant nazi par des combattants africains ? On finirait par le croire, tant les hommages qui leur sont rendus ces dernières années semblent se multiplier.

Une réécriture historique

Cette folle propagande avait connu un pic en 2006 avec la sortie du film Indigènes. L’acteur vedette, Jamel Debbouze, se répandait alors dans les médias pour en développer l'argument : « C’est l’histoire de tirailleurs qui se sont battus pour la mère patrie mais qui, le jour de la victoire, n’ont pas eu le droit de défiler sur les Champs-Élysées parce qu’ils étaient arabes ou noirs ». C’est parfaitement faux. Les troupes coloniales ont défilé sur les Champs-Élysées avec le reste de l’armée française le 11 novembre 1944, le 8 mai 1945 et le 14 juillet 1945, mais l’occasion de se poser en victimes et faire pleurer dans les cités HLM était trop belle.

Il faut dire qu'un an plus tôt, en 2005, des émeutes avaient mis les banlieues françaises à feu et à sac, faisant trembler un pouvoir qui découvrait, effaré, l’échec cuisant de la France « black-blanc-beur » qu’il avait applaudie quelques années plus tôt. Il ne fallait donc pas lésiner sur les moyens - ni se soucier de l’exactitude historique - pour faire passer les pères et grands-pères des « enfants de l’immigration » pour des héros qui avaient libéré la France. Tant pis si ces Africains n’avaient en réalité été ni seuls, ni décisifs. Tant pis si les pieds-noirs (français !) avaient été au moins aussi nombreux dans l’armée d’Afrique que leurs frères d’armes maghrébins et africains. L’histoire officielle ne devait retenir que le sacrifice des combattants non-blancs.

Une récupération immigrationniste

Le discours prononcé par Emmanuel Macron à Saint-Raphaël le 15 août comporte cette autre phrase problématique : « Tous ceux qui se reconnaissent comme Français ont vocation à être ensemble ». Qu’entend-il par là ? Que tous ceux qui se sentent Français ont le droit de vivre en France ? Que tous ceux qui partagent les très vaporeuses « valeurs de la République » méritent de recevoir un titre de séjour ? Pardon de ne pas partager cette conception de la nationalité. De la même manière qu’il ne suffit pas de s’identifier comme femme pour être une femme, il ne suffit pas de « se reconnaître comme Français » pour le devenir. Être Français, c’est d’abord appartenir à un peuple, être l’héritier d’une longue lignée, s’inscrire dans une continuité.

À défaut d’être un Français « de souche », on peut certes être un Français « de branche », c’est à dire un enfant adopté par la famille France à la suite d’un long et ardu processus d’assimilation. Mais, ce procédé a été copieusement calomnié par la gauche avant d’être totalement abandonné devant l’impossibilité d’acculturer des populations si nombreuses et venant de civilisations si éloignées, voire opposées à la nôtre. Il n’est d’ailleurs même plus question d’ « assimilation », ni même d'« intégration » mais d’ « inclusion » des immigrés. C’est aux Français de s’adapter et de se sacrifier afin d’accueillir au mieux « celles et ceux » qui ont le désir de vivre chez eux...

L’administration a donc décerné la nationalité française à tour de bras et distribué des papiers d’identité comme des cadeaux Bonux, mais ce n’est toujours pas assez. Encore trop excluante, la citoyenneté doit être bradée, mise en libre accès et offerte à ceux qui « se reconnaissent comme Français », selon Macron. Autant dire que les flux entrants ne sont pas prêts de se tarir. Nos élites fêtent la libération du territoire... mais organisent son invasion.

Par Jean Kast le 15 août 2024

Boulevard Voltaire

samedi 7 octobre 2023

Proposition de résolution à l'occasion de la ournée nationale des aidants



Communiqué de Marine Le Pen, député RN du Pas-de Calais et de Laure Lavalette , député RN du Var du 6 àctobre 2023

A l’occasion de la journée nationale des aidants, ce vendredi 6 octobre 2023, Marine Le Pen, présidente du groupe Rassemblement National et Laure Lavalette, députée du Var, déposent une proposition de résolution invitant le Gouvernement à accélérer et faciliter la création de structures d’accueil temporaires adaptées aux personnes malades et en perte d’autonomie.

Les proches aidants seraient 15 millions en France. Près d’un Français sur cinq assisterait quotidiennement un proche en perte d’autonomie. Ce don de soi au profit du bien-être d’un proche, l’État doit l’encourager mais surtout le soutenir, et permettre à ces aidants d’aider sans se délaisser. Pourtant, leur détresse ne trouve pas d’écho suffisant auprès des pouvoirs publics alors qu’un proche aidant sur trois meurt avant la personne aidée. Lorsque l’espérance de vie d’une population diminue du fait d’un acte de solidarité de tous les instants, il est grand temps d’agir.

C’est ce qu’entend faire notre proposition de résolution en invitant urgemment le Gouvernement à permettre la réalisation du droit au répit pour les proches aidant, créée par la loi du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement.

Constatant le manque cruel de structures d’accueil de courte durée, de jour ou à la nuit, le Rassemblement National souhaite permettre aux millions d’aidants de bénéficier d’au moins une structure d’accueil temporaire et adaptée aux besoins réels de répit dans chaque département. Nous demandons également que soit facilitée la création de ces structures qui ne trouvent pas toujours de financements au motif que des places en EHPAD seraient disponibles.Alors que l’offre d’accueil temporaire en EHPAD est fortement contraignante et ne correspond pas à la réalité des aidants, ni à celle des personnes jeunes en perte d’autonomie, il est nécessaire de changer notre logique du « tout-EHPAD ». 

Rendons enfin possible le droit au répit et vite.

RN

mercredi 7 décembre 2022

Maroc-Espagne : Un quartier de Fréjus privé d'aides suite à des affrontements entre la police et des supporters marocains



A situation extrême, mesure radicale prise par Frédéric Masquelier, président d’Estérel-Côte d’Azur Agglomération

En effet, selon nos confrères de Nice Matin, l'élu a décidé de suspendre les aides accordées au quartier de la Gabelle à Fréjus suite à des affrontements survenus mardi 6 décembre dans la soirée, après la victoire du Maroc face à l'Espagne lors de la Coupe du monde au Qatar.

Frédéric Masquelier a déclaré sur Facebook que "les aides de l’agglomération sont immédiatement suspendues"."Les équipes et les moyens mis sur place seront réaffectés vers d'autres quartiers", a-t-il indiqué. 

Le 7 décembre 2022

TV Libertés

vendredi 11 novembre 2022

Arrivée le l'Océan Viking à Toulon : Reconquête s'impose comme le premier opposant à Macron sur l'invasion migratoire

 




Eric Zemmour (Reconquête!)sur Cnews le 11 novembre 2022

 

Communiqué de David Rachline, Maire de Fréjus,vice-président du Rassemblement National



La décision du gouvernement et de la présidence de la République française d'accueillir, contrairement à l'Italie, le bateau Ocean Viking, à Toulon, marque un nouveau renoncement des dirigeants français.

En théorie garant des intérêts supérieurs de la France et des Français, le pouvoir macroniste a une nouvelle fois choisi de céder aux injonctions idéologiques et/ou intéressées d'organisations acquises au globalisme et au libre-échangisme débridés.

Nul ne s'étonnera de trouver parmi celles-ci la Commission européenne, présidée par l'inénarrable Ursula von der Leyen, plus préoccupée par les désidératas des puissants de ce monde que par les intérêts vitaux des peuples européens. On s'étonnera davantage hélas, de trouver parmi ces lobbyistes du capitalisme mondialisé, les héritiers - d'aucuns diraient les résidus -  de la gauche française, jadis en charge de la défense des intérêts du monde du travail et des catégories populaires.

Car si tout un chacun peut évidemment être sensible à la détresse de ces migrants économiques, fuyant autant la pauvreté que l'absence de perspectives, il faudrait être aveugle pour ignorer la situation dramatique dans laquelle se trouve notre pays, en tous domaines ou presque. Le chômage de masse, la pauvreté grandissante, la paupérisation générale, y compris des catégories sociales autrefois aisées, la violence qui gangrène les quartiers populaires, la crise énergétique, que nul n'ignore, devraient conduire tout gouvernement un tant soit peu responsable à faire preuve de fermeté.

Il en va des intérêts vitaux de notre pays et de notre peuple !

Las, de Macron à Darmanin, nos dirigeants ne semblent désormais plus capables que de gesticuler pour parvenir, une fois encore, à tromper les Français. Ou, comme on l'a vu récemment, d'utiliser la moindre maladresse pour tenter de discréditer leurs adversaires politiques.

Il est plus que temps pour la France de se doter d'un gouvernement et d'une présidence responsables et déterminés, faisant primer en toutes circonstances les intérêts du peuple, contre la tyrannie du libre-échangisme et du profit, et ses charognards sans scrupules que sont les passeurs et autres trafiquants d'êtres humains.

C'est notre responsabilité d'élus et dirigeants du Rassemblement National, que de nous préparer à assumer ces responsabilités, au service des Français.

RN

Communiqué des élus RN du Var



Communiqué de Laure Lavalette, Stéphane Rambaud, Philippe Lottiaux, Julie Lechanteux, Franck Giletti, Frédéric Boccaletti, Philippe Schreck, députés du Var du RN le 10 novembre 2022

Nous avons appris par voie de presse l’arrivée du bateau “Ocean Viking” sur la commune de Toulon.

Cette arrivée, prise sans aucune concertation avec les élus, découle d’une succession de décisions politiques qui mettent la France au pied du mur. Face à ce fiasco et devant la détresse d’êtres humains, personne ne peut rester insensible et une assistance alimentaire, sanitaire et médicale doit être apportée aux femmes et aux hommes qui sont à bord.

Le gouvernement français porte une lourde responsabilité dans les drames qui surviennent en Méditerranée depuis bientôt dix ans. Les passeurs criminels qui exploitent la misère humaine savent qu’ils peuvent compter sur l’absence totale de fermeté de l’Etat et le soutien d’associations telles que SOS Méditerranée qui viennent parfois à quelques milles des côtes libyennes pour recueillir ses embarcations et les amener vers l’Europe, au mépris de toutes les conventions internationales en vigueur. Cet état de fait crée un appel d’air migratoire et encourage de plus en plus de personnes à prendre les mêmes risques.

Les élus varois du Rassemblement National seront très attentifs à la gestion de cette crise et aux décisions qui en seront tirées pour qu’elle ne se reproduise plus. Le modèle de l’Australie rappelle que seule la fermeté en matière migratoire peut mettre fin aux traversées de la Méditerranée et aux drames qui s’y jouent. Enfin, nous demandons au gouvernement de mettre enfin en place les politiques de coopérations essentielles à la stabilisation des pays de départ.

RN


mardi 25 octobre 2022

OQTF : stop aux mensonges du gouvernement !


Communiqué de Frédéric Boccaletti, député RN du Var du 24  octobre 2022

Le 19 octobre 2022 dès 6h à La Seyne-sur-Mer, s’est déroulée une opération d’expulsion de logements squattés, dans la cité Berthe. Et cela à grand renfort de communication !

150 policiers étaient mobilisés pour cette intervention qui a permis l'évacuation de 21 logements occupés illégalement.

26 occupants auraient quitté les lieux selon la Préfecture et les familles seraient relogées à l’hôtel.

Voici ce qui est caché dans la communication du gouvernement et que nous confirme une note confidentielle : sur ces 26 individus, originaires du Kosovo et du Nigéria, 2 ont été placés en garde à vue pour maintien irrégulier sur le territoire français et 12 se sont vu délivrer une Obligation de Quitter le Territoire Français...mais laissés libres.

Encore une fois, 12 étrangers en situation irrégulière se retrouvent dans la nature avec leur OQTF dans la poche, alors qu’ils n’ont rien à faire sur notre sol !

Un nouvel exemple de mensonges sur l’action menée par Gérald Darmanin concernant la gestion catastrophique et incontrôlée de l’immigration illégale…

Nous demandons l'expulsion immédiate de ces clandestins délinquants, et à Monsieur Darmanin, de cesser les effets d'annonce mensongers et de se mettre enfin au travail !

RN

jeudi 29 septembre 2022

Délinquance des mineurs : mensonges ou déni ministériel ?



Communiqué de presse de Julie LechanteuxDéputée RN du Var du 29 septembre 2022

Mardi 27 septembre, j’ai participé à l’audition de monsieur le garde des Sceaux en Commission des Lois et le thème de ma question l’a visiblement dérangé, tant l'insécurité est particulièrement symptomatique des manquements de son ministère. En effet, les jours se suivent et se ressemblent, le ministre des détenus continue de voir la France comme un pays épargné par la violence de plus en plus radicale.

Je l'ai donc interrogé sur ses projets en matière de traitement de la délinquance des mineurs, celle-ci ayant nettement explosée durant les dernières décennies et plus particulièrement avec l’arrivée de milliers de mineurs étrangers isolés sur notre territoire. Monsieur le ministre a alors rétorqué que : « il semble que la délinquance des mineurs soit en baisse ».

Dans sa déconnexion avérée de la réalité du terrain, Éric Dupond-Moretti semble oublier que les chiffres existent, et qu’ils lui donnent tort. Aujourd’hui encore, de nouvelles données statistiques, étayées dans un article du Figaro, viennent infirmer les propos du ministre, davantage dans l’autosatisfaction que dans l’étude de solutions pour protéger l’intégrité des Français. Ainsi, s’appuyant sur un rapport sénatorial récent, l’article vient rappeler de tristes réalités au ministre.

À la baisse évoquée par le garde des Sceaux, les faits répondent que les mineurs délinquants sont surreprésentés pour certains crimes, en étant responsables de 40% des vols violents, et représentant 20% des mis en cause pour trafic de stupéfiants.

L’article stipule également que si la délinquance des mineurs n’a pas augmenté de façon faramineuse ces dernières années, cela n’est dû qu’à l’explosion de la violence des majeurs, venant minorer celle des plus jeunes.

Face à ce déni avéré, allié à une incompétence probable, les députés du Rassemblement National continueront à rappeler à monsieur le ministre que la soumission de son ministère à des doctrines comme celle du « pas de vague » est nuisible pour la sécurité de nos concitoyens.

Le laxisme judiciaire ne saurait conditionner l’avenir de la France, l’insécurité sur notre territoire repoussant tous les jours des limites qui nous paraissaient infranchissables il y a encore quelques années.

RN

samedi 14 mai 2022

Zemmour relève le défi des législatives dans le Var : les raisons d’un baroud d’honneur



Éric  aurait pu rester à la tête de Reconquête et jouer les invités vedettes pour soutenir ses 550 candidats dans les circonscriptions et galvaniser ses militants partout, comme il sait le faire. Il aurait pu rester au-dessus de la mêlée, comme Jean-Luc Mélenchon, par exemple, qui ne se présentera pas. L’ancien journaliste a décidé, au contraire, d’entrer dans la bagarre. Il sera candidat dans la quatrième circonscription du Var. Il a peu de chances de l’emporter.

 a obtenu dans cette circonscription 13,25 % des voix au premier tour de la présidentielle, il est arrivé en quatrième position. Il affrontera une députée sortante macroniste et un candidat RN bien implanté. Le vote utile va à nouveau jouer contre lui, au niveau local cette fois. La marche est vraiment très haute.

Le président de Reconquête a longuement hésité. Son entourage était partagé. Certains le poussaient. D'autres estimaient qu'il avait d'autres moyens de montrer son engagement en mettant sur pied, par exemple, un laboratoire de réflexion et de formation des jeunes, en se ménageant pour les élections européennes. Et qu'il courait le risque de se carboniser.  avait, en réalité, toutes les raisons de ne pas y aller… C’est un Parisien pur sucre : il a parlé de son enfance en banlieue et de ses attaches dans la capitale mille fois pendant la campagne. Il a fait, du reste, son meilleur score à la présidentielle non pas dans le Sud mais à Paris, dans le 16e arrondissement. Il bascule à 878 kilomètres de Paris : impossible de trouver plus loin !  n'a pas l’accent du Midi et n’a aucune expérience politique locale. Il sera guidé par le maire de Cogolin, mais il n’a pas la connaissance directe des réseaux d’influence locaux, des baronnies et il retrouvera son adversaire principal : le vote utile en faveur du candidat RN.

Le RN ne lui fera aucun cadeau. Mercredi, son président Jordan Bardella, devant la presse réunie pour la publication des listes des candidats, a eu ce petit mot d’accueil : « S’il essuie un nouvel échec, il sera obligé d’en tirer les conclusions. » Bardella a insisté sur la marginalisation de Reconquête, comme de la NUPES de Mélenchon, dans le jeu politique : « Il n’y a que nous pour nous opposer à Emanuel Macron. » Bardella ne voit toujours « aucun intérêt » à tout accord d’appareils et pense que « beaucoup d’électeurs de Zemmour se pencheront dès le premier tour sur le RN ». Bref, il a beaucoup de coups à prendre.

Mais l’ancien polémiste aime cette région. Il y passe ses vacances depuis vint ans. Surtout, « il veut montrer que le général peut monter au front, se battre sur le terrain », explique, à Boulevard Voltaire, Stanislas Rigault, le président de Génération Z, lui-même candidat aux élections législatives dans le Vaucluse. « Il veut encourager les jeunes candidats de Reconquête par l’exemple. » C'est une nouvelle bataille qu'il veut mener de face.

Zemmour l’a dit, sur place, avec ses mots. « Je ne me voyais pas mener le combat de l'arrière, je le mènerai à la tête de mes cinq cent cinquante candidats Reconquête, et il faudra, ici comme partout, répandre nos idées qui sont celles de l'avenir », a lancé le candidat à la députation. « On m'a beaucoup dit que la présidentielle était dure. C'est vrai, c'était un combat redoutable, cruel, parfois injuste. Mais j'aime aussi ce combat et je reviens ici pour le mener. »

Zemmour n’a jamais été élu : la défaite dans ce fief indéboulonnable pendant cinq mandats du maire de Saint-Tropez Jean-Michel Couve, un RPR devenu LR qui a régné 24 ans avant de laisser son fauteuil à la députée En marche ! en 2017, est logique, attendue. L’ancien journaliste ne peut donc avoir que de bonnes surprises. « Je suis venu dans le Var parce que j'aime le Var et les Varois, et mon petit doigt me dit qu'ils me le rendent bien », a-t-il encore lancé à ses partisans.

Il aurait peut-être perdu davantage en image, s’il avait filé à l’anglaise. Il y a, dans cette démarche, un baroud d’honneur, pour l’exemple, qui ne manque pas d’un certain panache. Il va tenter de montrer qu’on peut être perdant mais courageux. Il sculpte son personnage, son image, sa stature de chef de parti politique. 

Une démarche d’avenir. Un premier pas.

Par Marc Baudriller le 13 mai 2022

jeudi 12 mai 2022

Éric Zemmour est candidat aux législatives



Éric Zemmour est officiellement candidat aux législatives dans la 4ème circonscription du Var.

Il mènera la Reconquête aux côtés des 550 candidats de notre mouvement.