lundi 2 décembre 2024
Anne-Laure Bonnel invité de Eric Morillot sur "Les Incorrectibles" le 1er décembre 2024
dimanche 1 décembre 2024
vendredi 29 novembre 2024
Intervention militaire en Ukraine : la Macronie plus va-t-en-guerre que jamais
La France va-t-elle envoyer des troupes en Ukraine ? Une question lancinante depuis des mois qui revient au premier plan alors que le conflit russo-ukrainien, sur fond d’arrivée aux affaires de Donald Trump, le 20 janvier prochain, s’intensifie. À cette question, lors d’une interview donnée à la BBC, Jean-Noël Barrot, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, qui venait de rencontrer son homologue britannique, répondait, la semaine dernière : « Nous n’écartons aucune option. » En clair, la France n’exclut pas d’envoyer des troupes au sol. Une prise de position qui n’est pas nouvelle – on se souvient de la déclaration, en février, dernier d’Emmanuel Macron qui avait pris à contre-pied nos alliés – mais qui prend un tour particulier, aujourd’hui.
Mais au fait, qu’en pensent les Français ?
Selon un sondage réalisé par l’institut CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD, publié ce 28 novembre, la majorité des Français est opposée à ce que « la France intervienne militairement pour défendre l’Ukraine ». 68 % ! Certes, depuis que la guerre existe, c’est-à-dire depuis toujours, cela se saurait si l’on demandait l’avis des opinions publiques avant de partir au casse-pipe, la fleur au fusil. Néanmoins, on n’imagine pas qu’un pouvoir raisonnable ne tienne pas un minimum compte de son opinion publique. Cela dit, faudrait-il encore qu’il y ait un pouvoir et que ce pouvoir soit raisonnable ! La dissolution, genre « coup d’un soir », décidée par Emmanuel Macron le 9 juin dernier ne peut pas ne pas nous interpeller sur ce sujet.
Une majorité de Français opposée à une intervention militaire
Déjà en février 2022, alors que la menace d’invasion de l’Ukraine se faisait imminente, les Français, selon le même institut de sondage, étaient défavorables à 70 % à une intervention militaire française. La proximité de ces deux pourcentages (70 % en 2022, 68 % en 2024) montre, finalement, une grande stabilité de l’opinion française sur cette question, alors même que la situation entre 2022 et 2024 a profondément évolué. À l’époque, qui croyait vraiment à une invasion russe ? Aujourd’hui, on sait qu’une guerre particulièrement meurtrière, comparable à celle de 14-18 (la technologie en plus), a bien lieu sur le flanc est de l’Europe. Que traduit ce refus majoritaire et constant des Français d’un engagement, sur le terrain, de nos troupes ? Crainte d’un engrenage qui nous conduirait vers une Troisième Guerre mondiale, mais aussi, à tort ou à raison, que ce conflit n'est pas le leur ? Et ce, en dépit - ou à cause ! - des nombreuses déclarations d'Emmanuel Macron depuis le début du conflit. Peut-être aussi, plus profondément, parce que les Français ont renoncé à l'idée même de faire la guerre. Tant que cela se passait « loin de chez nous, en Afrique », tout allait bien, si l'on peut dire. On connaît cette phrase de Thucydide : « La force de la cité ne réside ni dans les remparts ni dans les vaisseaux, mais dans le caractère de ses citoyens »...
Des différences selon les opinions politiques
Quoi qu'il en soit, si cette opposition à une intervention militaire est majoritaire chez nos compatriotes, il convient cependant de la moduler selon le positionnement politique des sondés : ainsi, 84 % des proches du RN s’opposent à l’envoi de troupes, contre 63 % pour les LR, 51 % chez les macronistes, 52 % chez les socialistes, 55 % chez les écolos et 73 % chez les Insoumis. Un positionnement qui a d’ailleurs sensiblement évolué par rapport à février 2022, avant l’invasion russe. À l’époque, LR, RN et Reconquête avaient une position quasi similaire : respectivement 76 %, 78 % et 79 % étaient opposés à une intervention militaire. Il en était de même, à gauche, entre LFI, PS et écolos, opposés respectivement à 61 %, 66 % et 66 %. Les macronistes, eux, étaient alors opposés à 63 %. Le « front » des opinions sur ce sujet s'est donc figé et traduit globalement la partition de la France politique en blocs décidément irréconciliables.
Aujourd’hui, les macronistes – ou, tout du moins, ce qu’il en reste –, avec 49 % d'opinion favorable à une intervention militaire (contre 31 %, seulement, pour l’ensemble de la population), seraient donc plus va-t-en-guerre que le reste des Français ? On notera, d’ailleurs, que les cadres supérieurs plus (CSP+) ne s’opposent qu’à 64 % à l’envoi de troupes, contre 68 % pour l’ensemble de la population.
On imagine - cela va sans dire - qu’en cas d’intervention militaire française dans les plaines d’Ukraine, ces braves gens seraient les premiers à encourager leurs enfants à laisser tomber leurs études pour s’engager immédiatement sous nos trois couleurs... et, bien sûr, sous la bannière étoilée de l'Union européenne...
Par Georges Michel le 28 novembre 2024
mercredi 27 novembre 2024
Lettre ouverte à Emmanuel Macron, président de la République, cosignée par Jacques Cheminade, Nicolas Dupont-Aignan, Dominique Jamet, Philippe Murer, Florian Philippot, Jean-Frédéric Poisson, à l’initiative du Mouvement Politique Citoyen
Paris, le 23 novembre 2024
Lettre ouverte à Emmanuel Macron, président de la République
Objet : Appel à une politique française pour la paix en Ukraine
Monsieur le Président de la République,
La France traverse un moment critique, où son rôle historique en tant que puissance d’équilibre et de paix est mis à l’épreuve face au conflit en Ukraine. Les récents événements, dont l’autorisation donnée par les États-Unis à l’Ukraine de frapper la Russie en profondeur avec des missiles de moyenne portée américaine, marquent une escalade qui pourrait précipiter le monde dans une troisième guerre mondiale.
Nous, signataires de cette lettre, tenons à exprimer notre profonde inquiétude devant cette situation qui engage non seulement l’avenir de la France, mais également la sécurité mondiale. Ces décisions, bien que prises par nos alliés, n’impliquent pas automatiquement l’adhésion de la France, nation souveraine et attachée à la diplomatie. L’escalade militaire, sous quelque prétexte que ce soit, n’apportera qu’une intensification des souffrances humaines et un chaos géopolitique incontrôlable.
En particulier, nous avons été interpellés par vos récentes déclarations, dans lesquelles vous avez qualifié de « tout à fait bonne » la possibilité pour l’Ukraine de frapper la Russie en profondeur avec des missiles de moyenne portée fournis par les États-Unis. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot déclarait lundi que l’utilisation de nos missiles sur le sol russe reste une « option ». Mardi, nous apprenions que l’Ukraine a tiré ses premiers missiles américains en profondeur sur la Russie. Mercredi, l’Ukraine utilisait pour la première fois des missiles britanniques Storm Shadow pour viser le territoire russe.
Votre position est, à notre sens, extrêmement préoccupante. Elle dénote une indifférence face aux risques d’une confrontation directe entre puissances nucléaires, qui pourrait, à terme, mener à une guerre mondiale. Comment peut-on qualifier une telle escalade de « tout à fait bonne » alors même que le monde entier redoute à juste titre une guerre de cette ampleur ?
La France, forte de son histoire et de son indépendance stratégique, doit se positionner comme un acteur de dialogue. À ce titre, nous vous exhortons à :
- Vous opposer à toute participation de la France à des opérations militaires offensives, en particulier celles utilisant des armes de longue portée susceptibles de frapper des territoires russes.
- Appeler publiquement à un cessez-le-feu immédiat et à la reprise de négociations sous l’égide de l’ONU, dans un cadre garantissant les intérêts légitimes de toutes les parties.
- Promouvoir une conférence internationale pour la paix, impliquant les grandes puissances, mais aussi des pays non alignés, afin de poser les bases d’une désescalade durable.
En tant que Président, vous portez la voix de la France et de son peuple, attaché à la paix. L’Histoire jugera avec sévérité toute décision qui pourrait nous entraîner dans une guerre mondiale, au mépris de nos principes et de nos intérêts fondamentaux.
Monsieur le Président, vous avez aujourd’hui l’opportunité de réaffirmer la grandeur de la France en prenant l’initiative d’une politique véritablement pacifique. Ne laissez pas la logique des blocs nous enfermer dans une spirale belliciste. Nous vous appelons, au nom de notre nation, à agir avec la sagesse et le courage que requiert la situation.
Dans l’espoir que cet appel soit entendu, nous restons à votre disposition pour échanger sur ces propositions.
Respectueusement,
Jacques Cheminade, Nicolas Dupont-Aignan, Dominique Jamet, Philippe Murer, Florian Philippot, Jean-Frédéric Poisson.
lundi 25 novembre 2024
Ukraine : l’appel pour la paix des souverainistes - La matinale du 25 novembre de Radio Courtoisie
vendredi 22 novembre 2024
mercredi 6 novembre 2024
Victoire de Donald Trump : réveil difficile et gueule de bois pour la gauche
« Nuit blanche, nuit sombre ».
Ce 6 novembre au matin, alors que les premières estimations sur le résultat de l’élection présidentielle nous parviennent des Etats-Unis, la gauche française se réveille avec une « grosse gueule de bois ».
Ces élus, du Parti socialiste à la France insoumise, qui, pendant des mois ont brossé un portrait diabolique de Donald Trump, peinent à comprendre qu’une majorité d’électeurs américains aient pu voter en faveur du candidat républicain. Pire, l’annonce définitive du résultat, aux alentours de 11 heures 30 (heure française), donnant la victoire électorale et populaire au camp MAGA, a fini par agacer cette gauche bien-pensante qui refuse de saluer la victoire démocratique du candidat.
Amère face au come-back historique de Donald Trump, la gauche française s’enferre dans des reductio ad hitlerum. En vain, l’argument ne fonctionne plus.
« Backlash climato-sceptique, masculiniste et raciste »
« Grosse gueule de bois ce matin ». Yannick Jadot, à peine réveillé, n’en revient pas. Donald Trump, que la gauche française n’a cessé de conspuer depuis des mois voire des années, est donné gagnant par les principaux analystes et semble en passe de remporter à la fois une majorité de grands électeurs, mais aussi le vote populaire.
Au lieu de saluer ce résultat historique et cette élection démocratique, le sénateur écologiste choisit de revenir encore et toujours à la diabolisation du candidat républicain. « Tous les pouvoirs fédéraux (présidence, Sénat, Cour Suprême) aux mains de Trump, s’inquiète l’élu français. Je pense aux futures victimes des délires trumpistes, du fond des Etats-Unis au front ukrainien ».
Même son de cloche du côté de Marine Tondelier. Sur X, la patronne d’Europe Ecologie les Verts, abonde : « Cet enfer qui se profile… Courage aux Américaines et Américains qui seront en première ligne des politiques de Trump. » Oublie-t-elle que ce sont ces Américaines et Américains qui, dans leur majorité, ont voté en faveur de Donald Trump ? Toujours dans les rangs des écolos, Sandrine Rousseau, connue pour son manque de mesure, ne fait pas défaut à sa réputation.
« Les Etats-Unis sont les théâtre d’un backlash climatosceptique, masculiniste et raciste, soutenu et encouragé par les acteurs d’une économie libérale avides de profits. Angoisse. » écrit-elle sur son compte X. Sa collègue, Marie Toussaint, surenchérit : « Cette nuit, c’est la brutalité, le mépris, le chaos. Tenons-nous prêts à nous battre pour la démocratie, la justice et l’égalité ».
Surenchère insoumise
Chez les Insoumis aussi, le réveil semble avoir été difficile. Malgré l’écrasante victoire populaire et électorale de Donald Trump, la France insoumise continue de rabâcher les mêmes arguments. Chacun y va ainsi de son superlatif pour s’alarmer du résultat de l’élection américaine. « C’est un drame, commence Clément Guetté, députée LFI. […] Notre pays doit se tenir auprès de celles et ceux qui souffriront de sa politique ». « Victoire de Donald Trump, ennemi des femmes, des personnes racisées, de la liberté de la presse et du climat. J’ai une pensée pour toutes celles et ceux qui subiront les effets de ses politiques dévastatrices » ajoute Manon Aubry, eurodéputée insoumise. Et Carlos Bilongo, député insoumis, de qualifier Donald Trump de « très dangereux ». « Son premier discours laisse déjà présager les pires scénarios possibles pour l’avenir et l’écologie » poursuit-il.
Jean-Luc Mélenchon craint, quant à lui, que « le monde monte en tension » tandis que Raphaël Arnault déclare être dans « une colère immense ». Mais la palme de la surenchère revient sûrement à Clémentine Autain qui va jusqu’à parler de « catastrophe planétaire ». D’autres, à l’instar d’Aymeric Caron ou encore Raphaël Arnault et Manon Aubry, tentent une analyse du scrutin et expliquent la défaite de Kamala Harris notamment par son manque de soutien à la cause ukrainienne ou palestinienne…
Côté socialiste, on ronge son frein en silence. A la surenchère des Insoumis, des élus du Parti socialiste préfèrent l'absence de commentaires ou la prise de recul. Pierre Moscovici, ancien ministre sous François Hollande, choisit quant à lui, l'option pseudo-poétique avec un commentaire laconique : « Nuit blanche, nuit sombre ». Histoire, peut-être, donner l'illusion qu'il reste dans sa réserve de Premier président de la Cour des comptes.
Plutôt que de se fourvoyer dans la dénonciation (facile) d'un fascisme qui n'existe pas, la gauche française devrait plutôt écouter les conseils de l'un des ses siens, Julien Dray, ancien député socialiste : « Quand le peuple vote, on commence d’abord par le comprendre, et donc qu’une partie de la gauche bien pensante prenne enfin le temps de réfléchir et se garde de voir le fascisme partout lui fera le plus grand bien… ».
Par Clémence de Longraye le 6 novembre 2024
lundi 28 octobre 2024
France 5 lance son opération « Trump fasciste » !
« Donald Trump remplit quasiment toutes les cases du fascisme. » L’élection américaine approche à grands pas, Kamala Harris et Donald Trump restent au coude-à-coude dans les sondages et, en France, l’ombre d’une possible victoire du leader Républicain effraie l'audiovisuel public. Ce dimanche 27 octobre, deux émissions diffusées sur France 5 se sont ainsi emparées du sujet pour alerter sur le « danger Trump ». Pendant plus d’une heure, les invités de C Politique ont débattu de la prétendue menace fasciste que représenterait l’ancien président des Etats-Unis. Quelques minutes plus tôt, sur le plateau d’En Société, toujours sur France 5, les invités avaient abordé la même thématique. Et la semaine précédente, la discussion portait sur la folie de Trump.
A chaque fois, le débat tourne rapidement court. Jamais il n’a été question, au cours des deux émissions de ce 27 octobre, du programme économique de Donald Trump, de ses velléités géopolitiques ou de ses prises de position sociales. Seule la comparaison avec Hitler semble servir d’argument.
"Inapte et dangereux »
Sur le plateau d’En Société, diffusé sur France 5 à partir de 18h40 les dimanches, le sommaire donne le ton. La première partie de l’émission est consacrée à l’élection américaine. Mais les questions posées par la présentatrice - « Une campagne très virile ? » et « Donald Trump : la menace fasciste ? » - ne laissent pas de doute quant au parti pris de la séquence. En à peine quinze minutes de discussion, le nom d’Adolf Hilter est cité. Objectif : tuer le débat. Dominique Bourg, présenté comme un simple philosophe, assume la comparaison, « sans aucun problème » : « [Donald Trump], c’est un fauteur de haine. Comme Hitler, il fascine les foules et il produit un phénomène religieux. » Sur le plateau, personne ne bronche.
Ce qu’oublie de préciser la chaine du service public, c’est que Dominique Bourg est un philosophe engagé qui a conduit une liste écologiste aux élections européennes de 2019 et qui n'hésite pas à classer Emmanuel Macron à l’extrême droite. Face à lui, Anne Sinclair abonde dans le même sens et agite les mêmes craintes. « J’ai beaucoup plus peur qu’en 2016, déclare-t-elle à propos de Donald Trump. On sait qui il est. […] Cet homme est inapte et dangereux ». Une fois encore, tout le monde autour de la table approuve. La conclusion du débat est simple : Donald Trump serait, à en croire France 5, un dangereux fasciste.
Reductio ad hitlerum
On aurait pu imaginer que l’émission C Politique, diffusée en début de soirée sur France 5, prenne le contre-pied et apporte un peu de nuance à ce débat. Il n’en est rien.
Autour de la table, tous les invités (essayistes, journalistes, juristes, linguistes…) sont d’accord pour dire que le candidat des Républicains est un homme dangereux. « Un personnage éminemment problématique », « il donne la priorité à la force sur le droit », « il est très dangereux », « on a raison d’avoir peur »…
A nouveau, la reductio ad hitlerum intervient au bout de quelques minutes seulement. Olivier Mannoni, traducteur, compare à plusieurs reprises Donald Trump et le dictateur nazi. Pour Mannoni, la prise du Capitole, le 6 janvier 2021, n’est rien d’autre qu'une réécriture de la marche sur Rome de Mussolini en 1922 ou du putsch manqué d’Hitler en novembre 1923. Pire, il accuse le candidat républicain de « remplir quasiment toutes les cases du fascisme ». Selon lui, Donald Trump, dans ses discours, emploierait des « mots directement [tirés] de Mein Kampf », des « termes nazis typiques ». Dernier argument pour appuyer sa thèse : « Quand Trump atterrit en avion face à la foule, c’était Hitler qui le faisait en 1932. Quand on utilise une gestuelle, on ne fait pas abstraction de l’histoire ».
Face à lui, si certains déclarent que cette comparaison n’est pas des plus pertinentes pour analyser le débat américain, aucun ne la réfute pour autant. Et d’Hitler à Trump, Orban ou Meloni, il n’y a qu’un pas que France 5 semble franchir avec effarante simplicité…
« Quand Trump atterrit en avion face à la foule, c'était Hitler qui le faisait en 1932. Quand on utilise une gestuelle, on ne fait pas abstraction de l'Histoire. »@OlivierMannoni, directeur de l'école de traduction littéraire
La suite :
➡️ https://t.co/iQ3wYJssjQ pic.twitter.com/dvOzDowDuz— C Politique (@CPolF5) October 27, 2024
Il faut dire qu’autour de la table, les profils sont assez similaires. France 5 omet à chaque fois de préciser l’engagement politique marqué à gauche de ses invités, comme cette historienne spécialiste du fascisme invitée dans l'émission qui est membre d'un parti de gauche suisse, ou cette magistrate qui s'offusque de la minute de silence en hommage à Philippine ou signe des tribunes en soutien à Nahel. Sur France Inter, la rengaine est la même.
Où sont donc passées les obligations de pluralité du service public ?
Par Clémence de Longraye le 28 octobre 2024
lundi 23 septembre 2024
samedi 21 septembre 2024
mercredi 18 septembre 2024
Jean-Robert Raviot sur TV Libertés le 18 septembre 2024
mardi 10 septembre 2024
mercredi 4 septembre 2024
Alerte : l'Occident prend ses distances avec l'Ukraine ! - Eric Denécé sur Tocsin le 4 septembre 2024