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jeudi 14 décembre 2023

Réforme des traités européens : le coup d’État fédéraliste !



Lors de sa session plénière de novembre 2023, le Parlement européen a voté un rapport pour demander une révision des traités européens, qui tend à la dissolution des nations.

Bien que ce rapport soit, pour le moment, uniquement théorique, il démontre tout de même les projets de ceux qui nous gouvernent, et sur qui Emmanuel Macron est totalement aligné.

Le rapport a d’ailleurs été rédigé par le Belge Guy Verhofstadt, partisan acharné de la destruction des nations et allié des députés macronistes au Parlement européen. C’est ce même Verhofstadt qui a ouvert en grand les vannes de son pays à la submersion migratoire quand il était Premier ministre de la Belgique et qui, alors qu’il dirigeait l’Union européenne, a poussé de toutes ses forces en faveur de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne au motif que « l’Europe n’a pas vocation à être un club chrétien ».

Ce rapport est issu de la « Conférence pour l’avenir de l’Europe » qui, exactement comme les « grands débats » d’Emmanuel Macron en France, n’a été qu’une conférence fantoche dirigée de A à Z par l’Union européenne, où les conclusions étaient préparées à l’avance et où les participants, tirés au sort, se sont laissés impressionner et mener en bateau par les experts de Bruxelles, leur vocabulaire et leurs chiffres.

Le rapport révèle l’objectif de Macron et de ses amis : faire disparaître définitivement la souveraineté française pour la noyer dans un État européen.

D’abord au niveau officiel : le rapport demande que le président de la Commission européenne devienne purement et simplement le « président de l’Union », alors qu’il n’est pas élu et n’a aucune légitimité démocratique.

Ensuite, en privant de tout pouvoir les États : le texte réclame la suppression du vote à l’unanimité au sein de l’Union européenne. L’unanimité était jusqu’ici indispensable pour toutes les décisions budgétaires, de politique étrangère ou de défense et de sécurité. Cela garantissait que, dans ces domaines hautement stratégiques, les décisions convenaient à tous les États et respectaient leurs intérêts. Avec la fin de l’unanimité, l’Union européenne pourra ignorer l’opinion de la moitié des États et prendre des décisions contraires à leur volonté ou à leurs intérêts. Les autres types de vote au sein de l’Union européenne (majorité simple et « majorité qualifiée ») seront également modifiés pour arriver au même résultat : mépriser jusqu’à la moitié de l’avis des pays membres.

Les conséquences pratiques seraient la disparition de la diplomatie française et la fin de notre souveraineté en matière de défense. Car le rapport demande, en plus du reste, la création d’une armée européenne, composée des différentes armées nationales, et de mettre en commun les entreprises, industries et matériels de guerre européens sous la direction de l’Union européenne. Et comme chacun sait que c’est l’Allemagne qui dirige l’Union européenne, cela permettra à l’Allemagne de mettre la main sur la force militaire française (la seule qui soit puissante en Europe) et, surtout, sur notre force de frappe nucléaire.

À la lumière de ce rapport, on comprend mieux les décisions d’Emmanuel Macron, comme la suppression du corps diplomatique, qui détruit notre réseau diplomatique, ou encore la fusion programmée de l’industrie française de défense dans un ensemble européen, au risque de donner à l’Union européenne l’accès à tous nos brevets technologiques exceptionnels (Rafale, Puma, Leclerc…) que nous avons obtenus grâce à notre génie et à notre travail, et que l’Europe récupérerait sans rien faire.

Le but final est clair et a été avoué à de très nombreuses reprises : c’est d’imposer un État européen unique à la place des nations européennes.

Enfin, le rapport répète une nouvelle fois les folies idéologiques de l’Union européenne, dont la théorie du genre, en demandant que les traités éliminent toute mention des hommes et des femmes et parlent seulement des « genres » à la place.

C’est bien la preuve que ce projet est avant tout inspiré par une propagande mondialiste qui vise à détruire les fondements mêmes de notre civilisation européenne.

Lors des élections européennes, le 9 juin 2024, les peuples européens, en élisant au Parlement européen le plus grand nombre possible de députés patriotes, pourront s’opposer à l’horrible rapport Verhofstadt, qu’il faudrait d’ailleurs plutôt appeler Macron-Verhofstadt, car il est parfaitement conforme, dans le fond comme dans la forme, à la volonté d’Emmanuel Macron, pour qui la France est insignifiant,e et qui se rêverait bien en « président de l’Union européenne ».

Tribune libre de Jean-Lin Lacapelle, député RN au Parlement européen du 14 décembre 2023

Boulevard Voltaire

vendredi 10 février 2023

Réforme des retraites : dessous des cartes et agenda caché


Tribune libre de Jean-Lin Lacapelle, député RN au Parlement UE du 10 février 2023

Parmi les âpres discussions et débats ardents qui ont lieu à l’occasion du projet de réforme des retraites, certains enjeux, certains projets, sous-tendus par les perspectives du gouvernement, sont mis en sourdine.

Il s’agit ici de mettre en lumière des éléments du débat que le gouvernement a cherché à éluder de façon systématique.

En premier lieu, il est impératif de dresser un état des responsabilités.

En effet, Emmanuel Macron ne cache pas que, selon lui, la réforme des retraites devrait s’inscrire dans une logique plus générale de réduction des dépenses publiques ; mais il oublie qu’il est en bonne partie à l’origine du problème.

Depuis 2017, le prétendu « Mozart de la finance » a surtout montré qu’il était un véritable cancre en matière de gestion publique.

En 2022, il a ainsi augmenté la dette de plus de 600 milliards d’euros, dont les deux-tiers, soit plus de 400 milliards, ne proviennent pas du coronavirus.

Le déficit du budget de l’État s’élèvera vraisemblablement, pour 2023, à plus de 160 milliards d’euros, soit près du tiers de ses recettes.

Que dire également du déficit catastrophique du commerce extérieur – record de 156 milliards d’euros pour 2022 – qui par nature engendre les plus grands déséquilibres macroéconomiques, à commencer par l’inflation importée ?

Mais Emmanuel Macron, loin de faire son mea culpa, tente une fois de plus de faire porter aux Français le poids de ses turpitudes.

Il considère que les montants des retraites qui sont annuellement versées aux Français (350 milliards d’euros) est excessif, et qu’il faudra les baisser, ce qui forcera les Français à travailler plus longtemps pour conserver leur niveau de vie.

Une fois de plus, l’escroquerie est mise en marche.

Le tour, sinistre, est joué.

Avec la complice de toujours : la Commission européenne.

En effet, celle-ci, lors de la mise en œuvre du Plan de relance, accordé aux États après le suicide économique des confinements sanitaires, a exigé, en contrepartie des versements de fonds à la France (qui, que cela soit dit au passage, en sera pour sa poche d’au moins 35 milliards d’euros...), qu’elle « réforme durablement son système de retraite ».

Pour réduire l’endettement public, ce sont une nouvelle fois les Français, et en premier lieu ceux issus de la classe moyenne et des classes populaires, qui seront mis à contribution.

C’est la première étape de l’entourloupe.

L’illusionniste Macron veut faire croire que la croissance sera toujours soutenue, ce qui compensera les pertes théoriques engendrées par la réforme pour les particuliers, or les prévisions de croissance de l’État sont systématiquement surestimées : les paramètres initiaux de la réforme sont donc totalement erronés.

De la même façon que, pour justifier la « transition énergétique », il prétend, de façon insensée, que la consommation de biens énergétiques sera réduite de 40 % à l’horizon 2050...

Gouverner, c’est prévoir ; et Macron et les siens semblent l’ignorer.

En effet, de même qu’ils trompent les Français sur les perspectives économiques entourant la réforme, ils les trompent sur le prétendu « déficit » qui la motive.

Ils font visiblement semblant de ne pas savoir que le Fonds de réserve des retraites est actuellement doté de 26 milliards d’euros.

De même, les régimes complémentaires A.G.I.R.C. et A.R.R.C.O. ont mis au total en réserve près de 86 milliards d’euros.

Les fameux régimes spéciaux, pour leur part, sont loin d’être à l’image de celui de la S.N.C.F., si volontiers mis en avant. Nombre d’entre eux, particulièrement bien gérés, sont excédentaires. Sait-on ainsi que la C.R.P.C.E.N., des salariés du notariat, dégage un bénéfice annuel régulier de plus de 2 milliards d’euros ? Et que celui de la Banque de France a constitué une réserve de près de 15 milliards d’euros ?

Ainsi, le Conseil d’Orientation des Retraites, dans son rapport annuel présenté en septembre 2022, estimait que les caisses de retraite précitées avaient à leur disposition plus de 180 milliards d’euros de réserves. En ajoutant les 26 milliards du Fonds de réserve, la somme de 200 milliards d’euros est dépassée. De quoi voir venir, et, en tout cas, de quoi faire la preuve que cette réforme ne souffre d’aucune forme d’urgence, contrairement aux dires du gouvernement.

Nombre de pistes ont été volontairement éludées.

L’emploi des seniors est trop négligé en France.

Pourtant, au nombre croissant de cadres, notamment supérieurs, retraités de fraîche date mais continuant à travailler comme consultants auprès de leurs anciens employeurs, l’on devrait y regarder de plus près.

La possibilité de départs gradués, progressifs en retraite n’est pas sérieusement étudiée. Non plus que celle, parallèlement, du développement du tutorat, véritable pont et lien de solidarité entre les générations.

Surtout, chacun sait que le maintien d’un système de retraite par répartition exige une démographie vigoureuse, signe d’une politique familiale à la fois généreuse et ambitieuse.

Mais on connaît l’hostilité viscérale de Macron à toute politique familiale, qui pourtant résoudrait tant de problèmes, on connaît ses agressions contre une telle politique, notamment en matière fiscale. Aveugle à toute idée de renouvellement des forces de la France, il préfère le recours éternel à l’immigration, qui fait tant de mal à notre pays.

Enfin, et surtout, Emmanuel Macron prépare une révolution copernicienne en matière de retraite.

Est récemment passée inaperçue la réforme de l’épargne-retraite, qui a fusionné l’ensemble des dispositifs jusqu’ici en vigueur (plans d’épargne retraite, contrats Madelin...) en un dispositif unique par capitalisation.

Parce que ce dernier, dans l’esprit d’Emmanuel Macron, est appelé à se substituer – progressivement ou pas – au système par répartition.

Macron est depuis l’origine, et sera toujours, le garant des intérêts de la finance internationale.

En faisant exploser la dette française, il lui envoie un message clair.

Cette finance « sans nom ni visage », depuis la crise de 2008, doit en bonne partie sa survie au fait qu’elle ait jeté son dévolu sur les dettes souveraines.

Mais il lui en faudra toujours plus.

Il lui faut des fonds de pension massifs, alimentés par un système de retraite essentiellement assis sur un système par capitalisation. C’est ce principe qui prévaut, notamment, aux États-Unis, pays par excellence de l’ultralibéralisme.

Or le principe de la capitalisation est que notre épargne-retraite se trouve – bien sûr ! – placée sur les marchés financiers. Et, contrairement au système par répartition, aucune garantie n’y est attachée. À plus forte raison lorsqu’on sait que de forts risques de nouvelles secousses financières internationales se profilent.

Faire entrer de l’argent – celui des cotisations et de l’épargne – dans ce système permet de reculer le moment de sa crise, sans pouvoir l’éviter. Jusqu’à parler de pyramide de Ponzi devant ce mécanisme, il n’y a qu’un pas.

Soyons clairs. Les plans d’investissement capitalisée de l’épargne boursière sont parfaitement convenables, pourvu qu’ils demeurent accessoires et soient assortis de garanties certaines (notamment d’être placés sur des fonds en euros). Mais ils ne sauraient se substituer au régime par répartition.

Macron, par la réforme des retraites, montre une fois de plus qu’il se soucie comme d’une guigne du sort des Français, de la solidarité nationale, de la cohésion du pays.

Mais il aura adressé un signal à ses sponsors originaux et permanents. Là est le dessous des cartes de la réforme des retraites. Là se trouve son agenda caché.

RN

vendredi 16 septembre 2022

L’UE veut nous faire taire !



Communiqué de Gilles Lebreton, député RN au Parlement européen du 16 septembre 2022

Le Parlement européen a adopté le 15 septembre, le rapport Goerens-Wieland qui veut renforcer le rôle des partis politiques européens. Ce texte a notamment pour objectif de leur permettre de participer plus facilement aux campagnes européennes, ainsi qu’aux campagnes nationales portant sur des thèmes européens.

Avec Jean-Lin Lacapelle, j’ai vigoureusement protesté à la tribune contre cette dangereuse dérive. Il s’agirait en effet d’un moyen supplémentaire de diffuser la propagande européiste au cœur des campagnes électorales nationales. Le rapport ne s’en cache d’ailleurs pas puisqu’il affirme vouloir « contribuer à la création d’un espace politique européen ».

Ce texte présente d’autre part l’inconvénient de ressusciter le projet de création de listes transnationales, dans la mesure où chaque liste transnationale aurait vocation à être portée par un parti politique européen.

Enfin et surtout, ce rapport vise à empêcher la constitution de partis politiques européens par les partis nationaux qui ne respectent pas les « valeurs européennes ». L’outil de censure idéologique, chargé d’infliger cette discrimination, est déjà en place avec « l’Autorité pour les partis politiques européens ». Le RN et ses alliés sont bien sûr directement visés, puisque le rapport leur reproche d’être trop nationalistes et les accuse en outre d’être corrompus par Poutine. 

L’UE annonce donc la couleur : faute de pouvoir nous vaincre « à la loyale », elle veut nous faire taire !

RN

lundi 11 juillet 2022

Présidence française de l’Union européenne : l’Agenda caché d’Emmanuel Macron



Le 30 juin dernier, l’ voyait se déployer une fois de plus un gigantesque drapeau européen, avec, de surcroit, un cercle formé par l’ensemble des drapeaux des pays membres de l’Union européenne sur son pourtour… ce qu’aucun prédécesseur d’Emmanuel Macron n’avait osé faire, dans ce sanctuaire normalement dédié à la seule gloire de nos armées.

Le président français a reçu, avant le transfert de la présidence française de l’Union européenne à la République tchèque, des félicitations particulièrement élogieuses de la part de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

Mais parmi les thématiques engagées par la présidence française durant le premier semestre de l’année 2022, deux faits majeurs n’auront particulièrement pas été révélés aux Français. Et pour cause.

Tout d’abord, le Parlement européen, le 9 juin dernier, a adopté une résolution appelant le Conseil européen à trouver un accord pour déclencher la procédure de révision des traités de l’Union européenne.

Dans ce texte, est particulièrement mis en avant la volonté de modifier profondément le mécanisme de prise de décision au sein du Conseil, afin de passer du vote à l’unanimité au vote à la majorité qualifiée dans un certain nombre de domaines.

Cette résolution fait suite aux conclusions de la Convention pour l’avenir de l’Europe, voulue par Emmanuel Macron, dont les propositions mettent en avant, dans le chapitre « l’ dans le monde », que « notamment en matière de Politique étrangère et de  commune (PESC), les questions actuellement prises à l’unanimité le soient normalement à la majorité qualifiée ».

Bien sûr, les représentants de la macronie au Parlement européen ont toujours voté en faveur des différents rapports présentés en Commission des Affaires étrangères allant dans le sens d’une telle disposition. Ainsi se sont-ils prononcés pour plus d’intégration de nos forces armées, qui ne seraient ainsi plus placées systématiquement sous commandement français lors d’une opération… Sans parler des projets industriels de défense, qui visent subrepticement à faire bénéficier l’Allemagne des technologies du Rafale.

Le passage au vote à la majorité qualifiée en matière de politique extérieure et de défense a une signification implacable : la fin de la souveraineté diplomatique française et de notre autonomie en matière de défense.

Il est certain qu’à terme, la mise en œuvre d’une telle disposition remettra en cause à la fois l’existence de notre force de frappe nucléaire ainsi que notre siège de membre permanent du Conseil de  des Nations-Unis avec droit de véto.

Mais il s’agit là d’une obsession chez Emmanuel Macron, qui a toujours envisagé la souveraineté française par pertes et profits, n’ayant d’horizon politique que l’intégration européenne absolue et irréversible…

C’est pourquoi la plus grande vigilance s’impose désormais quant à la procédure de révision des traités européens.

N’oublions jamais la véritable forfaiture accomplie par Nicolas Sarkozy (avec la totale complicité du Parti socialiste alors dirigé par François Hollande), contournant le vote des Français sur le projet de constitution européenne en 2005 pour imposer les clauses pratiquement similaires du Traité de Lisbonne.

Plus que jamais, nous devrons alors exiger que la procédure passe impérativement par la voie référendaire.

Pour autant, une fois de plus, le cinéma médiatique d’Emmanuel Macron a échoué, ce méga-exercice de communication organisé du début à la fin par lui n’ayant qu’une mise en scène supplémentaire de figurants à sa totale dévolution… L’illusionniste s’est une fois de plus empêtré dans ses ficelles de plus en plus grosses, déjà sanctionnées par la représentation nationale récemment issue des urnes.

Autre page de l’Agenda caché de la présidence française de l’Union européenne qui vient de s’achever : la conclusion d’un accord commercial entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande, qui menace gravement tant nos consommateurs que nos agriculteurs.

Ironie pour les thuriféraires de la lutte contre le changement climatique et des méga accords commerciaux conclus par l’Union européenne qui, paradoxalement, sont souvent les mêmes, des dizaines de milliers de tonnes supplémentaires de produits agricoles, pourtant déjà produits en qualité suffisante et de bien meilleure qualité chez nous, feront un voyage de 20.000 kilomètres pour atterrir dans nos assiettes…

Ainsi pourront venir dans les pays membres de l’Union européenne, aux termes d’un tel accord, de la viande d’agneau trempée à l’azote liquide, des fruits traités aux pesticides interdits dans l’UE, du soja issu de terres cultivées à la suite de déforestations massives…

Ce traité avec la Nouvelle-Zélande en annonce un autre d’une ampleur encore plus considérable avec l’Australie, à plus forte raison à la suite du nouveau Premier ministre australien en France. Qui, au passage, n’aura indemnisé la France pour la rupture brutale du contrat de livraison de sous-marins qu’à hauteur de 1 % du montant de celui-ci…

Emmanuel Macron, au cours de cette présidence française de l’Union européenne, aura une fois de plus montré son mépris total pour les intérêts de la France et des Français.

Mais, conscient de l’hostilité profonde que suscite de telles postures, il aura procédé par la mise en œuvre d’un Agenda caché.

Agenda caché qu’il s’agit aujourd’hui de révéler aux yeux de l’ensemble des Français et de déchirer lorsque la représentation nationale, désormais plus légitime, devra s’emparer de la question.

Par Jean-Lin Lacapelle, Vice-président groupe Rassemblement National au Conseil régional d'Île-de-France, délégué national et membre du bureau national du Rassemblement National le 11 juillet 2022

Boulevard Voltaire