lundi 12 février 2024
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur Cnews et Europe 1 le 11 février 2024
vendredi 19 janvier 2024
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur Cnews le 19 janvier 2024
mardi 16 janvier 2024
dimanche 14 janvier 2024
Eric Zemmour (R!) sur CNEWS le 14 janvier 2024
lundi 18 décembre 2023
Sébastien Chenu (RN) sur Europe 1 et Cnews le 18 décembre 2023
vendredi 15 décembre 2023
mercredi 13 décembre 2023
dimanche 10 décembre 2023
Marine Le Pen sur Europe 1 et Cnews 10 décembre 2023
mardi 5 décembre 2023
dimanche 3 décembre 2023
jeudi 16 novembre 2023
Eric Zemmour chez Pascal Praud : Emmanuel Macron a peur de sa rue arabe
dimanche 29 octobre 2023
vendredi 20 octobre 2023
La grande interview de Philippe de Villiers / 19 octobre 2023 (CNews)
samedi 14 octobre 2023
Face à Philippe de Villiers (CNews) le 13 octobre 2023
mercredi 4 octobre 2023
CNews, c’est la punaise de lit de la gauche !
Lundi matin, après l'inénarrable bad buzz dont il a fait les frais, la semaine passée, Pascal Praud a choisi de contre-attaquer. Selon lui, aucune plainte ne sera déposée - parce qu’il n’y a pas matière - et il doute que l’Arcom bouge une oreille. Mieux : il enjoint l’Arcom à le défendre. On peut toujours rêver.
Procès stalinien
Quoi qu’il en soit, il y aurait beaucoup dire sur le procès stalinien, aussi clownesque que capillotracté, qui lui été fait, tant par l’extrême gauche que - et il l’a souligné - par les députés Renaissance, perroquets psittacistes et paresseux de La France insoumise. De Wikipédia, qui a fait disparaître de son site sans vergogne un paragraphe sur les punaises de lit donnant raison à Pascal Praud, au député LFI François Piquemal, qui accuse Pascal Praud de « délires xénophobes » en expliquant doctement que l’explosion des punaises de lit est liée au sur-tourisme. Si l'on suit bien la puissante démonstration de l’éminent député, les punaises de lit sont des êtres très intelligents dotés de petites antennes qui leur permettent de distinguer un touriste d’un migrant, et de toujours privilégier le premier moyen de transport au second. On y croit.
Sa collègue Mathilde Panot - tout le monde, chez LFI, est soudainement docteur ès insectologie - fustige, quant à elle, les « raccourcis racistes » de Pascal Praud parce qu’il a osé poser l’hypothèse d’un lien entre hygiène et punaises de lit : « Pascal Praud ignore qu’il n’y a absolument AUCUN lien entre la prolifération des punaises de lit et l’hygiène. » Et puisqu’il l’ignore, il n’a pas le droit d’interroger. Douter et questionner, à l'extrême gauche, c'est déjà suspect. De fait, le spécialiste Roux de Bézieux, coordinateur de Badbugs, une société spécialiste des nuisibles domestiques, avait répondu sur le plateau à Pascal Praud qu’il n’y avait « absolument pas » de lien entre hygiène et punaise de lit. Car les punaises se nourrissaient de sang, contrairement par exemple aux cafards, qui vivent des miettes et autres détritus.
Sauf que, quelques heures plus tard, sur le plateau de « Punchline », lorsque je lui ai posé la question de savoir si passer l’aspirateur chez soi - comme je l’ai lu sur des sites spécialisés - permet d’endiguer l’infestation, le même spécialiste me répond « oui, au début », comme « laver son linge à 60° ». A-t-on encore le droit de dire que le lavage du linge et le passage de l’aspirateur ne sont pas tout à faits étrangers à l'hygiène ? Les deux nigauds du livre éponyme de la Comtesse de Ségur passent une nuit épouvantable à se gratter dans un hôtel parisien de seconde zone. Un hôtel pouilleux, comme l’on disait alors. Tiens, les poux, eux aussi, se nourrissent exclusivement de sang humain, et pourtant, le Larousse définit ainsi l’adjectif : « Qui est couvert de poux, de vermine. Qui est dans la plus grande pauvreté ou la plus grande saleté. »
Qui cherche la petite bête dans les programmes de CNews…
Mais pour rester dans le registre entomologique, chacun sait très bien pourquoi l’ultra-gauche, opportunément main dans la main avec Renaissance, cherche la petite bête dans les programmes de CNews, et des poux dans la tête de Pascal Praud, l’un de ses animateurs fétiches : parce que la chaîne les irrite et les inquiète. En un an, si l’on compare septembre 2023 à septembre 2022, CNews a gagné 0,5 point d’audience, selon Médiamétrie… dans ce qui pourrait être un vase communicant, puisque le leader des chaînes d’info, BFM TV, en a perdu autant, soit 0,5 point aussi, et que LCI, derrière, passe laborieusement de 1,8 % à 2 % d'audience.
Le 1er octobre, Le Parisien a publié une rencontre avec « Ces Français qui font le succès de CNews », constatant que « adorée ou abhorrée, la chaîne d’information continue du groupe Canal+ réunit un public grandissant depuis trois ans ». Et ce public est plus divers, sur le plan politique, que la gauche ne le crie urbi et orbi : pas de « vote CNews ». Si le public assidu « a voté deux fois plus pour Éric Zemmour que le reste du pays » (14 %, contre 7,1 % aux présidentielles) et « s’est aussi davantage tourné vers Marine Le Pen » (26 %, contre 23,3 %), on trouve aussi des macronistes (26 %, contre 27,5 %).
Seul Jean-Luc Mélenchon reste mal-aimé… mais pas tant que ça ! (16 %, contre 22 %). Preuve qu’en désertant les plateaux de CNews, la gauche se tire une balle dans le pied. Et parmi les fidèles spectateurs... ô surprise, l’Élysée et les ministères, parce qu’«"ils" soulèvent de vrais sujets de société », dixit un « visage de la Macronie » qui a voulu rester anonyme.
CNews est la petite bête qui monte et donne de l’urticaire à la gauche, l’empêche de dormir, dont elle n’arrive pas à se débarrasser - ce n’est pas faute, pourtant, d’avoir essayé. Punaise ! Ça saute aux yeux : CNews, c’est la punaise de lit de la gauche !
Par Gabrielle Cluzel le 2 octobre 2023
jeudi 7 septembre 2023
"Marion Maréchal sera tête de liste Reconquête aux Européennes 2024", Eric Zemmour sur Cnews le 7 septembre 2023
samedi 8 juillet 2023
Philippe de Villiers sur Cnews le 7 juillet 2023 "La France est un vieux pays portant le le deuil de sa grandeur"
samedi 8 avril 2023
«Vous ne verrez pas ma binette sur CNews!»
La CGT en a fini avec l’ère du patriarcat moustachu à la papa. Fini Philippe Martinez, place à la jeune et séduisante Sophie Binet. Le militantisme syndical s’est professionnalisé en élisant une femme à peine quarantenaire, connue pour son engagement à gauche toute depuis plus de quinze ans. Sophie Binet fut en effet l’une des figures de la contestation contre le Contrat Première Embauche, mouvement lors duquel elle était alors à la tête de l’UNEF, longtemps centre de formation des caciques du Parti socialiste. En 2016, celle qui était devenue permanente de la CGT s’opposa au gouvernement socialiste et à la loi travail de Myriam El Khomri.
Un CV vide
Cette ancienne adhérente du PS coupait le cordon avec la maison mère, au moment où la synthèse issue du congrès d’Epinay s’effondrait sous le poids de ses propres contradictions, faisant des alliés d’autrefois des ennemis pour la vie, l’aile réformiste reprise par Valls et Macron entrant officiellement en conflit ouvert avec les socialistes canal historique toujours fidèles aux idéaux marxistes. On se doute d’ailleurs que les petits jeux politiques ont dû plus passionner Sophie Binet que le travail en bonne et due forme, son parcours professionnel présentant quelques absences…
La première femme à diriger la CGT depuis sa formation en 1895 a un CV vide. Etudiante en philosophie, militante à l’UNEF et un temps CPE, elle a été très vite détachée pour prendre la direction de l’Union des ingénieurs, cadres et techniciens (UGICT-CGT). On se demande bien pourquoi cette branche n’a pas pris un véritable ingénieur ou technicien pour la représenter, mais soit. Son prédécesseur fut quant à lui un véritable travailleur, technicien métallurgiste aux usines Renault de Boulogne-Billancourt, mais à l’heure où le nombre de cadres a dépassé le nombre d’ouvriers en France, la nomination de Madame Binet doit être dans l’air du temps de notre économie post-industrielle…
Une gauche intolérante
Dogmatique, très concentrée sur les enjeux de société, Madame Binet a fait la première démonstration de son sectarisme en refusant de répondre aux questions de CNews, invoquant sa défense du « pluralisme » que la chaine ne garantirait pas. On peut pourtant y apercevoir parfois Antoine Léaument ou Sandrine Rousseau… Sophie Binet a-t-elle compris que la CGT est un syndicat représentant les travailleurs et non un parti politique, du moins en théorie ? C’est tout le problème des « partenaires sociaux français » qu’on devrait renommer « partenaires socialistes ».
Ils sont uniquement dans l’opposition et peu enclins au dialogue, rêvant toujours de grands soirs et de « blocages infrastructurels » !
vendredi 17 mars 2023
vendredi 24 février 2023
Fiasco du Stade de France , Charlotte d'Ornellas sur Cnews le 23 février 2023