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mercredi 31 août 2022

Guerre des trafiquants de drogue à Besançon : stoppons l’impunité des criminels !




Communiqué des élus régionaux RN de Bourgogne-Franche-Comté Olivier Damien, Géraldine Grangier, Jacques Riccadietti, Nathalie Fritsch et Thomas Lutz du 31 août 2022

En cette fin de mois d’août, le quartier de la Planoise à Besançon vient d’être le théâtre d'un nouveau règlement de compte entre trafiquants de stupéfiants. Deux adolescents de 16 et 15 ans ont ainsi été victimes des tirs d'une bande rivale.


Cette situation qui devient endémique dans la cité bisontine est le fruit d'une dégradation profonde des conditions de sécurité que connaît notre région, à l'instar de l’ensemble de notre pays.

Les solutions de circonstances apportées par l'envoi de forces mobiles sur place ne résoudront en rien ces problèmes de délinquance qui sont aujourd’hui solidement installés dans nos quartiers.

C’est en effet une solution globale qu’il faut désormais envisager pour que la sécurité revienne dans nos villes et nos villages. D’abord, en sanctionnant lourdement les criminels interpellés par la police. En donnant ensuite aux forces de l’ordre les moyens matériels et juridiques nécessaires pour lutter efficacement contre ce fléau. En déterminant enfin au niveau national une vraie politique de sécurité publique seule à même d’endiguer le développement du crime et de la violence auquel nous assistons aujourd’hui.

Face au laxisme des pouvoirs en place, le Rassemblement National est porteur de propositions concrètes et efficaces pour que les françaises et les français puissent enfin retrouver la paix et la sécurité. Il est grand temps qu’il soit entendu. 

Page Facebook du RN Bourgogne-Franche-Comté

jeudi 7 juillet 2022

Présidence Tchèque de l’UE, le social oublié



UE : recherche social désespérément

Après la très médiatisée Présidence française du Conseil de l’UE, c’est aujourd’hui au tour de la République tchèque d’accéder pour 6 mois à la Présidence. Le Président du gouvernement s’est donc prêté aujourd’hui à l’exercice protocolaire de la présentation du Programme de travail devant les députés européens, à Strasbourg.

Dans un discours de 20 minutes, il présente les priorités du Conseil, et donc de l’UE, pour cette fin d’année : aide et reconstruction de l’Ukraine, souveraineté énergétique et approvisionnement en énergie, menaces cyber, renforcement des capacités de défense de l’UE… Des causes parfois tout à fait honorables, voire nécessaires.

Pourtant, à l’heure où nous subissons les conséquences directes du conflit en Ukraine et alors que de nombreux experts commencent à alerter sur l’hiver difficile, voire le déclassement social qui nous menace pour cette fin d’année 2022, une dimension est absente des priorités : le social.

Une brève mention, en début et fin de discours, pour nous rassurer sur le fait qu’ils n’oublient pas « ces aspects-là », mais sans détail. Nos concitoyens apprécieront de savoir que leurs situations au quotidien, leurs difficultés à boucler les fins de mois, ou simplement à faire leur plein, et leurs inquiétudes pour la suite ne sont qu’un « aspect » non oublié. 

L’UE refuse comme souvent de prendre ses responsabilités, elle qui nous entraine dans un conflit qui ne nous concerne pas, et vote des sanctions qui nous pénalisent autant – voire plus – que les Russes. Et au lieu d’envisager d’aider ses États membres à se sortir de cette situation, Bruxelles reste silencieuse. Quand il s’agit d’assumer, elle préfère laisser les pays se débrouiller seuls.

Faute d’un cadre réfléchi et efficace, le gouvernement Macron se réfugie derrière ses « chèques », perfusions d’argent frais qui se veulent « justes et équitables », une solution envisageable sur le court terme, mais intenable sur la durée. Il serait temps que tous assument le fait que, sans réformes profondes, nous sortirons abattus de cette crise.

Nos concitoyens méritent mieux qu’une Union silencieuse et un gouvernement incapable d’envisager l’avenir, et vous pouvez compter sur vos élus du Rassemblement National pour faire entendre vos préoccupations et vos inquiétudes dans les assemblées.

Communiqué de Dominique Bilde, députée RN au Parlement UE du 7 juillet 2022

RN

mercredi 22 juin 2022

Allocution d’Emmanuel Macron : un Président qui veut faire passer son projet à tout prix



Communiqué de presse de Marine Le Pen, Présidente du groupe des députés du Rassemblement National du 22 juin 2022.

En obligeant le président de la République à tenir compte de la représentation parlementaire, les électeurs ont signifié leur volonté d’en finir avec une méthode, brutale, autocentrée et peu empathique.

Malgré le désaveu de dimanche dernier, le Président feint toujours de croire que le peuple français aurait plébiscité son « projet présidentiel », un projet flou et inquiétant que pas même ses députés ne peuvent décrire.

Faut-il rappeler à ce président-« ministre de tout » que les électeurs ont fait évoluer le système politique vers une « parlementarisation » qui l’oblige désormais à considérer enfin l’existence de l’opposition.

En choisissant soit le contrat de coalition soit la recherche de majorités par projet, le Président tente de sauver ce qui reste de la fonction présidentielle.

Les 89 députés du Rassemblement National, élus de conviction, n’entreront jamais dans une coalition macroniste pour mettre en oeuvre des orientations qu’ils entendent combattre.

Inscrivant leur action dans le cadre d’une opposition responsable, ils réaffirment, toutefois, leur intention d’examiner les textes à la lumière de l’intérêt des Français et de la France.

Rassemblement National

mardi 14 juin 2022

Avec 1 million de voix, Reconquête! vient de poser un drapeau dans chaque ville et dans chaque village de France





Communiqué du Bureau exécutif de Reconquête ! du 13 juin 2022

Reconquête tire trois enseignements du premier tour des élections législatives :

Avec 1 million de voix, nous venons de poser un drapeau dans chaque circonscription de France.

De même que la candidature d’Éric Zemmour a été la révélation de la présidentielle, Reconquête a été la force émergente des législatives. En 6 mois, notre mouvement devient le 1er parti en termes d’effectifs militants, avec le 1er mouvement de jeunesse et déjà, pour notre première participation à une élection, le 5de France en termes de voix.

Notre présence partout sur le territoire national est une première étape significative d’implantation de notre mouvement. Elle affermit notre détermination pour les prochaines échéances électorales et pour participer activement au débat politique national. Désormais, il faudra compter avec Reconquête !

Nous remercions chaleureusement nos 1 650 candidats, suppléants et mandataires qui ont porté nos couleurs. Nous sommes fiers d’avoir un parti de cadres de ce niveau. Ce que vous avez appris depuis deux mois sera indispensable à la reconquête de notre pays dans les mois et années qui viennent.

Nous remercions aussi fraternellement les 130 000 militants de notre grand mouvement populaire : par leur présence sur tout le territoire et par leur ferveur, ils montrent qu’il y a encore des Français debout.

Reconquête sera le seul mouvement de droite et la seule école de pensée politique

Pendant le quinquennat à venir, Reconquête sera l’opposition de droite face aux macronistes et aux mélenchonistes. Eric Zemmour l’a dit: « Mélenchon et Macron ne sont que les deux faces d’une même pièce. Macron veut déconstruire l’identité française. Mélenchon veut la détruire. Macron prend son temps, Mélenchon est pressé ». Nous faisons confiance à nos électeurs pour s’opposer à ces politiques et pour ne pas leur donner leur voix dimanche prochain.

Nous nous projetons déjà dans l’avenir. Dès aujourd’hui, nous amplifions la structuration du parti, nous organisons notre pôle formation et nous renforçons notre maillage : nous serons présents et organisés partout, prêts pour les prochaines échéances.

Face à l’islamo-gauchisme, réunir les Français patriotes sur des priorités claires sera une nécessité

Les coalitions électorales, macroniste d’une part, islamo-gauchiste d’autre part, ont permis aux cinquante nuances de gauche de dominer le premier tour de l’élection, alors même qu’elles ne représentent, ensemble, que la moitié des électeurs exprimés et moins du quart des électeurs inscrits. À l’inverse, le total des droites dépasse les 40 % au niveau national. Pourtant, les forces de droite sont éliminées de plusieurs centaines de circonscriptions au second tour en raison de leur division. À cet égard, la responsabilité des dirigeants de LR et du RN d’avoir refusé la main tendue de Reconquête est considérable. Les électeurs de droite s’en souviendront longtemps.

Pour faire triompher nos convictions dans les prochaines années, le rassemblement des patriotes sera une nécessité absolue sur leurs objectifs communs que nous avons esquissés depuis la fondation de notre mouvement : parler à toutes les classes sociales, face à tous ceux qui promeuvent ou imposent la guerre des classes, lutter pour la liberté d’expression et contre la censure, protéger notre identité et notre sécurité, protéger notre école et nos enfants face aux délires woke et à la propagande.

Avant la fin du mois, nous reviendrons vers vous avec de bonnes nouvelles pour la rentrée politique et un plan de bataille clair pour le quinquennat à venir.


mercredi 25 mai 2022

L’intolérable chantage migratoire algérien



Communiqué de Dominique Bilde, député européen RN du  25 mai 2022

Après avoir opposé une fin de non-recevoir à la France s’agissant du retour des migrants, ne voilà-t-il pas qu’Alger déployait, en mars, un chantage analogue à l’encontre de l’Espagne !

En cause : la décision du pays de se ranger du côté du plan d’autonomie du Sahara occidental présenté par le Maroc. Une solution déjà saluée, en 2020, par les États-Unis. Un revers de taille pour le Front Polisario et son allié algérien. 

Si les manœuvres d’Alger tombent mal, à l’heure où les franchissements illégaux de frontières battent à nouveau des records, elles ne sont guère surprenantes.

La tendance de pays pivots des routes migratoires vers l’Europe à faire valoir leur position géographique comme arme de négociation constitue un travers répandu. La Turquie d’Erdogan est, par exemple, coutumière de cette pratique. N’avait-elle pas, en 2016, arraché de l’Union européenne un accord sur les migrations, adossé à une enveloppe de six milliards d’euros ?

Dans le cas de l’Algérie, ce rebondissement couronne une mauvaise volonté tenace. Une lecture cursive des données de la Commission européenne démontre que le pays figure parmi les lanternes rouges du rapatriement de migrants, avec un taux de retour de 4,8 % en 2020. Selon un rapport du Sénat, l’Algérie s’arc-bouterait volontiers sur le protocole sanitaire ou son refus des vols groupés pour justifier sa frilosité. Quoi qu’il en soit, les éloignements forcés depuis la France sont en chute libre : de 1 652 en 2019 à 5 seulement en janvier et février 2022…

Bien consciente que la crainte d’une submersion migratoire constitue un enjeu géopolitique, Alger fait donc feu de tout bois. Si la stratégie est éculée, elle interpelle en tout cas sur la vulnérabilité d’une Europe et d’une France à la merci de tels procédés. 

Pourtant, de l’octroi de visas à la coopération dans un vaste éventail de secteurs, nous ne devrions pas manquer de leviers pour imposer à Alger, ainsi qu’à tant d’autres pays partenaires, un contrôle migratoire approprié. Et il faudrait, surtout, que l’Europe forteresse devienne enfin davantage qu’un slogan…