lundi 12 février 2024
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur Cnews et Europe 1 le 11 février 2024
jeudi 8 février 2024
mercredi 7 février 2024
samedi 3 février 2024
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur TV Libertés le 3 février 2024
lundi 29 janvier 2024
vendredi 19 janvier 2024
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur Cnews le 19 janvier 2024
jeudi 18 janvier 2024
Une élue mise en examen pour avoir qualifié une association de "wokiste" - Isabelle Surply sur Radio Courtoisie le 18 janvier 2024
mardi 16 janvier 2024
dimanche 14 janvier 2024
Eric Zemmour (R!) sur CNEWS le 14 janvier 2024
samedi 13 janvier 2024
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur LCI le 12/01/2024
jeudi 11 janvier 2024
Trahison de l'Union européenne : Français, ne vous laissez plus faire ! - Jean-Frédéric Poisson (Via) sur Radio Courtoisie le 11 janvier 2024
mercredi 10 janvier 2024
vendredi 5 janvier 2024
Les vitraux de Paris doivent survivre au passage d'Emmanuel Macron !
Communiqué de Julien Odoul, député RN de l'Yonne du 5 janvier 2024
Mercredi 13 décembre, dans le cadre du groupe de travail chargé du suivi de la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris que co-préside le député Julien Odoul, la commission des affaires culturelles et de l’éducation a auditionné Monsieur Philippe Jost, qui a succédé au général Jean-Louis Georgelin à la présidence de l’établissement public « Rebâtir Notre-Dame de Paris ».
Durant cette audition, Julien Odoul a interrogé Monsieur Jost sur les récentes déclarations du Président de la République. En effet, lors de sa visite de chantier le 8 décembre dernier, Emmanuel Macron a annoncé l’organisation d’un concours de vitraux contemporains pour « porter la marque du XXIe siècle » dans la cathédrale et remplacer les vitraux originaux de Viollet-le-Duc. Dans le prolongement de cette annonce scandaleuse et inquiétante, Monsieur Philippe Jost ne s’est pas montré très rassurant, en déclarant que : « la ligne choisie consiste à ce que la cathédrale doit vivre chaque siècle depuis le début de sa construction et apporter sa marque, pourquoi pas le XXIème siècle ».
L’annonce macroniste a révolté légitimement les amoureux de notre patrimoine, déjà échaudés par les premiers débats sur la reconstruction de la flèche, qui ont immédiatement initié une pétition. Par cette décision, le Président de la République méprise également la convention de Venise signée avec la France en 1964, rendant impossible toute dépose des vitraux ainsi que leur remplacement par des œuvres modernes.
Si la cathédrale Notre-Dame de Paris retrouve sa splendeur jour après jour grâce au travail remarquable de tous les artisans, compagnons, architectes, charpentiers, etc., il n’est pas envisageable de la voir dénaturer et défigurer par des vitraux contemporains, nouvelle lubie déconstructrice d’Emmanuel Macron.
Les députés du groupe Rassemblement National rappellent leur attachement à la promesse de reconstruire la cathédrale à l’identique et s’opposent catégoriquement à la dépose des vitraux de Viollet-le-Duc. Ils soutiennent la pétition qui rassemble tous ceux qui sont attachés à la préservation de notre héritage, de notre culture et de notre identité.