lundi 19 décembre 2022

En pause, retour le 2 janvier 2023

 



Que reste-t-il de l’École qui vous a fait grandir ?



Que reste-t-il de l’École qui vous a fait grandir, qui vous a appris un métier, qui vous a donné les bases nécessaires à la réflexion ?

Presque rien. 

La France est à la dérive dans les classements internationaux.

L’École n’enseigne presque plus. Comment le pourrait-elle ?

Elle est aujourd’hui déchirée entre une idéologie woke qui la fait pourrir sur pied et un entrisme islamique qui sème la terreur.

En acceptant de devenir porte-parole du mouvement Protégeons nos enfants, il y a 4 mois, je ne me doutais pas à quel point le cancer du système scolaire était avancé.

Depuis que les 38 000 Parents Vigilants se mobilisent, leurs témoignages affluent de toute la France et donnent froid dans le dos.

Des violences inouïes s’installent dès les plus petites classes, partout en France, entretenues par un laxisme institutionnalisé…

8 jeunes sur 10 disent avoir subi des violences au sein de l’École, selon un récent sondage OpinionWay en Occitanie.

Et lorsque ça arrive, un jeune sur cinq n’ose pas en parler.

Des immigrationnistes s’invitent dans les classes, avec la complicité de trop nombreux enseignants militants et de leur hiérarchie. Les élèves voient passer Cédric Herrou, SOS Méditerranée… ou sont invités à visiter des camps d’immigrés clandestins…

Les élèves qui oseraient protester contre cette propagande sont punis !

L’académie de Nancy-Metz propose même sur son site une liste d’une cinquantaine de « livres jeunesse sur le thème de la migration », de la maternelle jusqu’au CM2.

L’endoctrinement bat son plein dans un collège du Neubourg : les élèves sont priés de réfléchir au lien entre rap et immigration avant de répondre à un questionnaire sur le parcours d’une famille de migrants… 

À Sedan, les élèves du lycée Pierre Bayle sont invités à participer au festival Migrant’Scène qui fait la promotion de l’immigration et de l’accueil des migrants. 

Dans le département du Var, une enseignante emmène en sortie scolaire ses élèves de 3e aider des migrants à Vintimille. 

Dans un autre collège à Juan-les-Pins, les élèves sont obligés d’assister au spectacle « Féministe pour Homme » et de payer 8 euros… 

À Bordeaux, des drag queens interviennent auprès des enfants pour leur parler de la vie sexuelle et affective…

Le pire c’est que dans leur folie, tous ces idéologues font mine de ne pas voir que l’égalité et la paix sociale sont en réalité menacées par les influences islamiques.

Les Parents Vigilants nous en rapportent de nombreux faits. 

  • Il est courant de voir à la cantine des tables interdites aux « infidèles » (ou aux « porcs », selon le type d’insultes).
  • Des petits musulmans refusent de tenir la main à des filles lors des sorties scolaires.
  • Des musulmanes s’abstiennent d’aller à la piscine ou au gymnase.
  • Les enseignants sont de plus en plus confrontés à des refus d’enlever le voile ou autre vêtement musulman.

Ce n’est pas qu’un effet de mode. Ce sont aussi des influences organisées de l’étranger.

Avant la rentrée, le Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation avait déjà alerté sur cet entrisme « fréro-salafiste », visant les plus jeunes pour déstabiliser la France. Les mois qui ont suivi l’ont confirmé.

En face, les enseignants ont peur de reprendre les élèves. La décapitation de Samuel Paty a marqué les esprits et le ministère n’a rien fait pour les rassurer.

Alors ils s’autocensurent. Selon un sondage récent de l’Ifop, plus de la moitié des enseignants ont été confrontés à des contestations d’enseignement pour motifs religieux. En éducation civique, en histoire, en science et vie de la Terre et même en éducation artistique et musicale !

La maison est en feu.

Et pour éteindre l’incendie, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues.

Les Parents Vigilants sont de plus en plus nombreux à alerter et même à repousser les adversaires !

Par exemple, l’enseignante de philosophie dans le Nord n’a pas pu traîner ses élèves dans le camp d’immigrés clandestins. Grâce aux Parents Vigilants.

Alors les militants de gauche dans les établissements commencent à réfléchir. Les Français les ont laissés entrer dans l’École, sans rien dire ?

Ils sentent le vent tourner.

Grâce aux Parents Vigilants.

Accompagnez le mouvement !

Rejoignez les Parents Vigilants ! : Protegeons nos enfants (protegeons-nos-enfants.fr)

Le 18 décembre 2022

Ecole & Nation

Tarifs de l’énergie : le gouvernement entendra-t-il le cri de détresse de nos boulangers ?



Les boulangers français seront-ils les premiers à tomber sur le front de la guerre imposée par la hausse vertigineuse des prix de l'énergie ? Y aura-t-il encore baguette, pain de campagne, galette des rois et viennoiseries en janvier ? Poser la question ne relève malheureusement plus de la collapsologie complotiste.

Il suffit d'échanger avec son boulanger (le mien a déjà arrêté de chauffer la boutique) ou de lire la presse quotidienne régionale. Par exemple le témoignage de Lilian Cordon, dans Ouest-France, boulanger à côté de Niort qui n'y va pas par quatre chemins : « Si ça se trouve, le 31 décembre, on plie bagage »« On nous laisse mourir ». Car comme tout boulanger, Lilian a un œil sur le fournil, et l'autre sur les comptes. Et ils ne sont pas bons : pour lui comme pour tous ses confrères, c'est la « triple peine » : une crise Covid qui a laminé les trésoreries, une inflation des matières premières (farine, beurre, sucre, sel, etc.) et enfin le coup de grâce de l'envolée des tarifs du gaz et de l'électricité, indispensables pour les fours mais aussi pour tous les appareils de l'entreprise, en l'occurrence « trois chambres de fermentation, quatre frigos, deux fours, sans oublier les vitrines réfrigérées dans le magasin ».

Cela fait des mois que les boulangers tirent la sonnette d'alarme. En octobre, franceinfo s'était fait l'écho du cas d'un boulanger de  pris à la gorge par l'explosion de sa facture d'électricité, passée de 3.000 à 9.000 €/mois !

C'est toute une profession qui sent le sol se dérober sous ses pas, le petit boulanger seul à son compte comme le propriétaire d'une chaîne de boulangeries. Comme Maxime Lefebvre, d'Amiens, interrogé un mois plus tard, toujours sur franceinfo : « Sur l'ensemble de mon entreprise, ma facture d’électricité pourrait passer de 120.000 à 450.000 euros par an… C’est un modèle qui n’est plus tenable. » Chez tous, le même constat, la même perspective désespérante : la clef sous la porte en 2023.

Ce qu'ils dénoncent tous, c'est le manque de visibilité, l'absence de bouclier tarifaire semblable à celui dont les particuliers bénéficient et puis aussi, souvent, l'impéritie des gouvernements qui ont créé cette situation en saccageant  et notre électricité  bon marché.

Ils s'adaptent, rationalisent les cuissons, éteignent les enseignes, mais cela ne suffira pas. Nous pouvons les aider en les soutenant par nos commandes et nos achats. Mais cela ne suffira pas non plus. Le  a une responsabilité immense et le devoir de répondre rapidement à ces angoisses bien compréhensibles.

Certes  a fait beaucoup de communication. Le 21 novembre, en visite sur le terrain en Bourgogne, il avait eu un mot pour les commerçants et les boulangers : « Nous ne laisserons tomber aucune entreprise, aucune PME. Certainement pas les boulangeries, avec lesquelles nous avons beaucoup travaillé. Les boulangeries, c’est le pain quotidien, c’est le commerce de proximité. Les boulangers ont besoin de soutien, ils auront notre soutien ». Sentant la colère monter, le ministre a dû annoncer une batterie de mesures pour les boulangers il y a une semaine, le 9 décembre. Mais toujours pas le bouclier tarifaire demandé par la profession indispensable pour tenir en 2023.

Pour Cristel, une boulangère du centre-ville de Toulouse, interrogée par RMC, la réaction est cash : « Il est gentil mais ses guichets, ses numéros verts, je ne sais pas de quoi il parle» Alors, « stop aux belles paroles ». Un enjeu aussi urgent, autant économique que civilisationnel, mérite en effet plus que de belles paroles.

Par Frédéric Sirgant le 18 décembre 2022

Boulevard Voltaire


Élisabeth Lévy : "J’en ai marre que le foot soit le dernier refuge du patriotisme !", Sud Radio le 19 décembre 2022

"Retraites, pouvoir d'achat, chômage : retour aux réalités après le mondial !, Eric Revel sur Sud Radio le 19 décembre 2022

Les Affranchis - Il va falloir que l'on recompte les biftons ! - Philippe Béchade sur TV Libertés le 19 décembre 2022

 

samedi 17 décembre 2022

Résistance à la démence wokiste



Le Figaro étudiants: À Sciences Po Paris, les étudiants ont la possibilité d’apprendre à danser le tango, le cha-cha-cha, la rumba et autres danses de salon chaque semaine. Mais à la rentrée prochaine, les étudiants ne retrouveront pas Valérie P., leur professeur de danse, qui enseigne dans le 15e arrondissement. Jugée «sexiste» par plusieurs élèves, l’enseignante a vu son contrat prendre fin après huit ans de service en tant que vacataire, selon nos confrères du Parisien . La raison: elle a refusé de remplacer les termes «homme-femme» de son cours par «leader-follower».

Rien n’est plus lamentable que l’évolution de l’IEP de Paris, dit Science po et jadis, l’Ecole libre des sciences politiques. L’abandon de l’adjectif libre en 1945 était sans doute prémonitoire… Autrefois, cette école était un véritable outil de réflexion et de formation des cadres de l’Etat et du secteur privé grâce à un enseignement de qualité fondé sur l’histoire, l’économie et le droit public à l’image d’André Siegfried, Jacques Chaptal, etc. [J’ai moi même fréquenté avec bonheur Sc po Paris pendant plusieurs années]

Aujourd’hui, cet établissement tend à devenir une sorte de laboratoire des modes idéologiques et plutôt qu’un foyer de l’esprit critique, un instrument de formatage aux nouvelles formes de la pensée totalitaire, dont le wokisme, cette idéologie venue des US qui prône la déconstruction et l’abolition de la différence sexuelle. Une professeur de danse a démissionné après la dénonciation de plusieurs étudiants qui l’accusent de discrimination. Elle affirme que ses déboires viennent du fait qu’elle a refusé de renoncer à l’usage des mots homme-femme. Cette affaire combine la délation, l’intolérance, et la logique de la table rase. Tout pour plaire… Après le scandale Duhamel (« la grande famille) »il est triste d’assister ainsi au déclin de ce fleuron de l’université française. 

Avec l’abandon du concours d’entrée et le recrutement des étudiants sur dossier – permettant de s’assurer de la conformité au moule idéologique – science po paris a franchi une étape. La résistance est donc venue d’un personnalité, professeur de danse courageuse qui a refusé de céder au dogme (elle-même ancienne élève). Que des personnalités courageuses soient capable de ne pas céder est un encouragement important.

Par Maxime Tandonnet le 12 décembre 2022

Le blog de Maxime Tandonnet


EDF annonce six mois de retard supplémentaires pour la mise en service de son réacteur nucléaire EPR



Nouveau revers pour EDF à Flamanville (Manche). L'énergéticien a annoncé, vendredi 16 décembre, six mois de retard supplémentaires pour la mise en service de son réacteur nucléaire EPR. Celui-ci doit désormais démarrer d'ici à la mi-2024 au lieu de fin 2023, avec un nouveau surcoût de 500 millions d'euros, lié pour l'essentiel au maintien des personnels et des entreprises sur place.

Ce nouveau délai porte le retard total de mise en service du réacteur à 12 ans par rapport à la date de démarrage initialement prévue. Des retards qui ont fait flamber le coût total du projet, en chantier depuis 2007, qui est passé de 12,7 à 13,2 milliards d'euros.

(...) TF1info

Le 17 décembre 2022

TV Libertés

vendredi 16 décembre 2022

Mieux vaut en rire #101 - Sandrine Rousseau et Louis Boyard dans un abri anti-fachos !, Boulevard Voltaire le 16 décembre 2022

 

La Fifa refuse que Zelensky prononce un discours lors de la finale de la Coupe du monde



La Fifa ne veut pas qu’il s’exprime. Vendredi 16 décembre, CNN a affirmé que la Fifa a refusé que le président ukrainien Volodymyr Zelensky fasse une intervention sur écran géant lors de la finale de la Coupe du monde de football, dimanche 18 décembre. Cette finale va opposer l’équipe de France, tenante du titre, à celle d’Argentine. Le président ukrainien souhaitait que soit diffusé en ouverture de la rencontre, un message vidéo appelant à la paix. Une initiative purement et simplement refusée par la Fédération internationale de football, organisatrice de la compétition, qui se déroule cette année au Qatar.

Des discussions seraient en cours

Pour autant, d’après CNN, des discussions seraient toujours en cours pour que le chef d’Etat ukrainien puisse apparaître sur les écrans géants du stade Lusail de Doha et délivrer son message.

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"Mon objectif est de faire vivre l'histoire !" - Franck Ferrand sur Radio Courtoisie le 16 décembre 2022