lundi 30 janvier 2023

Presque un million de demandeurs d'asile dans l'UE en 2022 : stop !



Communiqué de Jean-Paul GarraudDéputé français au Parlement européenPrésident de la délégation du Rassemblement National au Parlement européen du 30 janvier 2023

La submersion migratoire de l’UE s’accélère encore puisqu’il y a eu quasiment 1 million de demandeurs d’asile en 2022 selon les chiffres officiels. En France, le nombre de premières demandes d’asile augmente de 31,3 % en 2022 par rapport à 2021 avec 137.046 dossiers alors que les déboutés ne sont que rarement expulsés.

De tels chiffres devraient faire frissonner n’importe quel Français ou Européen en général attaché à l’identité de son pays et de l’Europe. D’autant plus quand l’on connaît le lien étroit entre l’immigration, la criminalité et le terrorisme, souvent islamiste.

Qui peut sincèrement croire la Commission européenne quand elle annonce ces jours-ci vouloir plus de renvois de déboutés du droit d’asile et dans le même temps entend légaliser l’immigration illégale ? Qui peut croire E. Macron quand il déclare que 100% des expulsions seront exécutées, mais désire en même temps une régularisation massive de clandestins pour les besoins de « métiers en tensions » ? Personne.

RN

Plus facile de trouver un char lourd qu'une boîte d'antibiotiques - Les Affranchis, Philippe Béchade sur TV Libertés le 30 janvier 2023

 

Guerre en Ukraine et réforme des retraites : veillée d’armes ?



N’en va-t-il pas de la  comme de la  ? Car on ne pourrait pas faire autrement que d’y aller. Plus ou moins doucement mais sûrement. C’est, en tout cas, le sentiment que l’on peut avoir en observant aujourd’hui le cours des choses qui se déroule dans une ambiance de veillée d'armes. Nous serions tous - gouvernés comme gouvernants - obligés de « faire comme ça », d’y aller parce qu’il n’y a pas moyen d’aller contre. Devant nous, une pente inéluctable, une fatalité, une tragédie. Tragédie, comme les Grecs anciens l’entendaient, c’est-à-dire une pièce de théâtre dans laquelle les héros sont soumis à une force supérieure qui les dépasse.

Les retraites ? L’âge légal de départ à 64 ans « n’est plus négociable », a déclaré  sur France Info, ce dimanche 29 janvier, et ce, à la veille du début de l’examen du projet de loi par l’Assemblée nationale et à deux jours d’une nouvelle journée de mobilisation sociale. En clair, ça passe ou ça casse. Ce n’est plus négociable ? Il est vrai qu’au Parlement, on ne négocie pas mais on parlemente. Du moins, en principe. Un député RN, Hervé de Lépinau, donne son interprétation à cette déclaration (de guerre ?) du Premier ministre : « Pour ceux qui n’ont pas encore compris le message : la réforme des retraites, massivement rejetée par les Français, sera imposée au moyen du 49.3. Il ne fallait pas voter Macron. » Qui sait comment la rue réagira ? Certes, « la rue ne gouverne pas », se plaît à rappeler Raffarin qui trouve que Borne « a le meilleur des pilotages ». D’excellents généraux, avant la guerre, la France en a connu des dizaines. Sur le front social, Juppé fut une épée… En attendant, Babette s’en va-t-en guerre avec la morgue que procurent quarante ans de technocratie et l’assurance de celle qui sait qu’elle détient l’arme fatale. La pente fatale ?

La  ? Rien à voir, bien entendu, avec la  en France. La tragédie est d’une tout autre dimension. Mais le mécanisme n’est-il pas un peu le même ? Ce mécanisme d'inéluctabilité. On a en mémoire le discours d’Ursula von der Leyen à Davos, le 17 janvier dernier, un discours nous conduisant sur la pente de la « cobelligérance ». « Je peux vous assurer que l’Europe se tiendra toujours à vos côtés », déclarait la présidente de la Commission à sa « Chère Olena », épouse de Zelensky. « À vos côtés », c'est-à-dire côte à côte, comme au front ? Et d’ajouter : « Nombreux étaient ceux qui mettaient en doute l'indéfectibilité de ce soutien. Mais, aujourd'hui, les pays européens fournissent un nombre croissant d'armes critiques à l'Ukraine. » On ne parle plus d’armes défensives ou offensives (ce qui ne veut pas dire grand-chose, du reste) mais d’armes critiques. Et l’envoi de chars Leopard en Ukraine. Et la pression sur la France pour qu’elle fournisse des chars Leclerc, en l'occurrence matériel « critique » pour nos forces armées à l’état échantillonnaire. Et Zelensky qui veut des avions de chasse, toujours plus, toujours plus fort. Tout, tout de suite. Et demain, pourquoi pas, l’arme fatale ? La pente fatale ?

L’Histoire montre cruellement que « le mouvement historique dépend beaucoup moins des hommes que des événements eux-mêmes », comme le fait remarquer Jean-Marie Le Pen dans son dernier journal de bord. Il en va ainsi des révolutions comme des guerres.

Par Georges Michel le 29 janvier 2023

Boulevard Voltaire


dimanche 29 janvier 2023

Bercoff dans tous ses états, Sud Radio le 26 janvier 2023

 

Ukraine : attention, danger !

Combien de fois faudra-t-il dire que la guerre qui oppose l’Ukraine à la Russie ne nous concerne pas, nous les Français ? Nous n’avons aucune frontière commune, aucun litige de quelque sorte qu’il soit. De plus, aucun traité ne nous lie et l’Ukraine n’appartient ni à l’Union Européenne, ni à l’OTAN. Alors, nous dire que nous devons soutenir l’Ukraine au nom de la Liberté et de la Démocratie, c’est un peu court.

Vers un monde régionalisé

Les mouvements « tectoniques » montrent que le monde monopolaire projeté par les États-Unis va s’estomper au profit d’un monde « multipolaire » dont les pôles seront probablement les continents. Ces continents chercheront, et c’est normal, à préserver et défendre leurs intérêts. Dans ce monde géopolitique nouveau, l’Europe devra, en tant que continent, trouver sa place et défendre également les intérêts des peuples européens.

Trois continents au moins cherchent à retrouver une certaine indépendance, notamment par rapport au système financier du dollar qui, et c’est important, les a maintenuS dans une dépendance marquée des États-Unis, voire même dans certains cas, dans un état proche de la vassalité.

Ces continents sont l’Asie, l’Afrique et l’Amérique du Sud.

Qu’en est-il de l’Europe et en particulier de la France ?

On aurait pu croire que l’un des objectifs de la « construction européenne » était justement d’atteindre une sorte de « masse critique » qui lui permettrait de pouvoir s’affranchir de toute ingérence extérieure et s’imposer comme « puissance d’équilibre ». Cette vision, que de Gaulle a essayé de promouvoir n’a, hélas, pu prospérer et dans de nombreux domaines, la tutelle américaine a présidé à notre destinée.

Aujourd’hui, cette tutelle, exercée au travers de l’OTAN, nous précipite dans le conflit qui oppose l’Ukraine et la Russie. A y regarder sous l’angle de l’Histoire, ce conflit tient plus de la « guerre civile » que d’autre chose. De ce point de vue, les États-Unis ne veulent pas s’engager directement dans ce qui deviendrait un affrontement entre eux et la Russie. D’un autre côté, l’Ukraine seule face à cette dernière n’a pratiquement aucune chance d’être victorieuse.

Le rééquilibrage doit donc se faire, du point de vue américain, grâce aux pays de l’Europe de l’Ouest. Peu importe la querelle sémantique sur l’état de cobelligérance ou pas, nous constatons que cet engagement est croissant dans le temps et risque de nous conduire à un affrontement avec la Russie. Quoiqu’en disent certains commentateurs, la Russie n’a jamais représenté et ne représente pas une menace pour la France.

Pourtant, nous avons mis le doigt dans un engrenage qui peut s’avérer fatal pour notre économie en appliquant les sanctions dont nous sommes, de toute évidence, les premières victimes. Globalement analysé, c’est l’Europe, et en particulier l’Europe de l’Ouest, qui va payer le plus lourd tribut.

Sur le plan énergétique, se priver du gaz et du pétrole russe pour lui substituer du pétrole et du gaz provenant de l’exploitation des schistes, exploitation que nous avons choisie de nous interdire, et payer beaucoup plus cher, revient à « se tirer une balle dans le pied »

Sur le plan du commerce international, nombre d’entreprises françaises, qui s’étaient implantées en Russie, ont dû fermer leurs établissement dans ce pays, alors qu’elles s’avéraient très rentables et participaient à rétablir la balance d’un commerce extérieur devenue « comateuse ».

Et tout ceci pour quel bénéfice ?

On peut se demander si le jeu des États-Unis, et en particulier de l’État-profond américain qui dirige depuis des décennies sa politique étrangère, n’est pas justement de nous pousser à ce choc frontal avec la Russie ? La Russie et l’Europe s’affaibliraient mutuellement, ce dont ils seraient largement bénéficiaires. Leur hantise a toujours été, depuis Bismarck, d’empêcher tout rapprochement entre l’Europe de l’Ouest (et particulièrement l’Allemagne) et la Russie et cette stratégie a toujours été une pièce maîtresse de leur politique européenne. Ainsi, vue depuis Washington, le rôle de l’OTAN est de « contenir l’extérieur et d’occuper l’intérieur » de l’Europe.

Le pire risque d’être devant nous

La réorganisation mondiale risque de ramener à l’isolationnisme la nation-continent que sont les Etats-Unis. En 1963, de Gaulle avait convaincu Adenauer du peu de crédit qu’on pouvait apporter à la parole américaine en cas de risque de conflit nucléaire en Europe. Ce point était un pivot du traité de l’Élysée signé en janvier 1963, dans lequel la France proposait à l’Allemagne de lui étendre son « bouclier nucléaire » et que cette garantie était beaucoup plus solide que celle, très hypothétique selon de Gaulle, apportée par l’OTAN.

Malheureusement, les Allemands se sont « aplatis » (dixit de Gaulle) devant les États-Unis et ont préféré l’OTAN pour assurer leur défense.

Est-on plus sûrs aujourd’hui qu’en cas de conflit entre l’Europe et une autre puissance nucléaire, les  États-Unis seraient prêts à engager leur propre survie ?

Sommes-nous également sûrs que si, comme il est prévisible, les États-Unis défendent avant tout leurs propres intérêts, cela ne se retourne pas contre nous ? Leur intérêt commande-t-il de laisser se redresser une Europe très affaiblie par leur propre politique ?

La conclusion s’impose d’elle-même : nous pouvons bien sûr aider l’Ukraine sur un plan humanitaire, mais nous avons tout à perdre en la soutenant sur le plan militaire, y compris un éloignement irréversible de la Russie vers l’Asie, ce qui pourrait faire de l’Eurasie le continent potentiellement le plus puissant de la planète, rompant ainsi définitivement un éventuel équilibre « Westphalien ».

Par Jean Goychman le 28 janvier 2023

Breizh-info

vendredi 27 janvier 2023

Stop à l’augmentation des péages : rendons leur argent et leur patrimoine aux Français !

 

Un article du Canard Enchaîné en date du 25 janvier 2023 nous renseigne sur le rapport commandé par le ministère de l’Économie, des finances et de la relance en février 2021 au sujet du « modèle économique des sociétés concessionnaires d’autoroutes (CSA) ». On y apprend notamment les profits colossaux empochés par les concessionnaires de  routiers, au point de préconiser la réduction des tarifs de 60 % sur près des deux tiers du réseau.

Ce rapport confidentiel, rédigé conjointement par l’Inspection générale des finances (IGF) et par le service d’inspection du ministère de l’, a tout bonnement été enterré par Bruno Le Maire, sans doute mal à l’aise avec le diagnostic : les gestionnaires des deux plus importants réseaux routiers connaissent « une rentabilité très supérieure à l’attendu » de près de 12 %.


Ce constat illustre l’échec cuisant de la privatisation des autoroutes mise en place en 2006 par Dominique de Villepin et son directeur de cabinet Bruno Le Maire. Ainsi, depuis 2006, la hausse des  a presque toujours été supérieure à l'inflation, alors que les dividendes des actionnaires sont en augmentation constante. Dans le même temps, à l’heure où le pouvoir d’achat des Français est en chute libre, la moyenne des tarifs des  autoroutiers va, elle, bondir de 4,75 % à partir du 1er février. Un coup de massue supplémentaire pour les automobilistes au profit des intérêts privés et une honte pour un ministre qui prétendait ignorer ce qu’est un « superprofit » en août dernier, mais qui a pourtant caché ce rapport de manière délibérée.


En clair, alors qu’un rapport recommande à Bercy de s’impliquer davantage dans les négociations liées aux concessions (qui perçoivent près de 11 milliards d’euros par an de péages), celui-ci préfère ignorer cet avis et laisser les sociétés d’autoroutes se gaver en vidant le portefeuille des millions d’usagers de la route. Comme l’a proposé Marine Le Pen lors de la campagne présidentielle, il est urgent de renationaliser les autoroutes et de cesser la spoliation des Français. Cela permettrait en outre de faire baisser de 10 à 15 % le prix des péages et de livrer un milliard et demi d’euros par an au budget de l’État afin de mettre en œuvre des politiques concrètes de réaménagement du territoire.


Par Julien Odoul, Député RN de l'Yonne, le 27 janvier 2023


Boulevard Voltaire

Marion Maréchal (Reconquête!) le 26 janvier 2023 sur BFM-TV

Arrête ton char Zelensky !, Gilbert Collard (Reconquête !) le 27 janvier 2023

Régis Le Sommier : “On a été repérés par un tank ukrainien qui nous a tiré dessus !”, Omerta le 27 janvier 2023

jeudi 26 janvier 2023

Algésiras : "Mort aux chrétiens !" - Les colères de Collard - TVL

 

Les européens dindons de la farce ! La France farcie en priorité ! (1)



La guerre en Ukraine perdure. Le western proposé aux Européens, avec ses méchants Russes envahisseurs et ses gentils Ukrainiens héros de l’indépendance et de la démocratie est diffusé par la quasi totalité de nos médias. Aussi, devient-il vital de s’évader des écrans du conditionnement à la pensée unique pour se réfugier dans la réalité, et ses conséquences. Comme dit Saint Jean, “la vérité rend libre”. Ce qui se joue n’est pas l’indépendance de l’Ukraine, mais celle de l’Europe, et l’ennemi de cette indépendance des nations européennes n’est pas la Russie ! Ce sont les Etats-Unis !

Myopie qui limite l’événement à son présent le plus étroit, réflexe pavlovien stimulé par les mots privilégiés par les médias dominants, conformisme de la pensée unique qui interdit le “dérapage” d’une réflexion autonome, jugée choquante et intolérable : l'”agression” russe, l’agresseur Poutine, ce “malade”, ce “dictateur fou” qui se lance contre l’Europe, contre l’Occident, contre le monde doivent être combattus au nom de la démocratie et par tous les moyens, à l’exclusion de l’arme nucléaire… pour l’instant. Pour qui nourrit sa réflexion de quelques connaissances, le délire est dans l’accusation, non chez l’accusé. L’appel récurrent et incessant à de nouvelles sanctions et à de nouvelles fournitures d’armes toujours plus lourdes, toujours plus sophistiquées à un régime follement belliciste, souvent accusé de corruption et qui n’échappe à la main américaine que dans la provocation et l’excès, relève effectivement de la folie. A qui profite le crime ? Certainement pas à l’Europe mystifiée et manipulée !

Un peu d’histoire, d’abord ! Les deux tiers de l’Ukraine actuelle ont été russes depuis le XVIIIe siècle après avoir été libérés au sud des Turcs et à l’ouest des Polonais. La RSS d’Ukraine a été créée en 1922 par les bolchéviques et ses frontières ne correspondent pas à des limites historiques, linguistiques ni ethniques. L’Etat souverain ukrainien, après des tentatives avortées durant la révolution de 1917, et sur des territoires aux contours flous, n’existe que depuis 1991 et les élections ont, depuis, témoigné d’une forte opposition entre un ouest proeuropéen et un est prorusse. Tant que le pays demeurait un partenaire de la Russie, son indépendance n’indisposait pas Moscou. Deux “révolutions”, en 2004 et 2014, marquées par une forte pression américaine, et dont la spontanéité, de ce fait, paraît douteuse, ont transformé l’Ukraine en fer de lance de la stratégie de Washington contre la Russie. Elles ont fait surgir les oppositions entre les régions comme la Galicie, soviétisées de force lors de la seconde guerre mondiale et qui nourrissent une rancune compréhensible, et d’autres qui se sentaient pleinement russes, comme le Donbass, et surtout la Crimée, intégrée à l’Ukraine par Khrouchtchev en 1953, avec entre les deux, une zone plus partagée, sans doute séduite par la perspective d’une intégration à l’Union Européenne, et que l’opération militaire russe a davantage ancrée dans ce choix, à moins que l’acharnement belliqueux de Zelenski ne la fasse basculer à l’inverse.

La Russie de Poutine a été très patiente, un peu naïve, et hésitante ; les Etats-Unis ont au contraire, et c’est une surprise quand on songe aux sinuosités américaines en Irak ou en Afghanistan, poursuivi une stratégie cohérente : l’effondrement de l’URSS n’était qu’une étape et non un aboutissement conduisant à la coopération entre le plus grand pays du monde, et l’Etat le plus puissant de la planète. Cette dernière option a prévalu apparemment avec Eltsine, que Clinton a roulé goulûment dans la farine, et jusqu’à Poutine, qui, au début, a cru à un partenariat contre le terrorisme islamiste. 

Cette illusion l’avait même amené à proposer d’intégrer la Russie à l’OTAN. Mais, Washington poursuivait d’autres objectifs dessinés dans les ouvrages de Brzezinski : “l’empire du mal” vaincu et disloqué, il fallait retourner ses anciens vassaux contre ce qu’il en restait en les absorbant dans l’OTAN, et ce faisant, enfermer la Russie dans un cercle hostile et menaçant jusqu’à ce que l’absence de réaction prouvant sa faiblesse, ou au contraire une riposte militaire justifiant des sanctions, et précipitant son isolement, provoquent un éclatement de la Fédération de Russie, ce territoire immense et pourvu de richesses inouïes, insuffisamment peuplé par des peuples parfois désireux d’autonomie voire d’indépendance. 

Cette élimination d’un concurrent, cet affaiblissement de la proie par son prédateur, convergeaient avec d’autres desseins hostiles envers d’autres puissances. Certes, il s’agissait d’empêcher un nouvel axe Moscou-Pékin de rivaliser avec Washington, mais il fallait surtout viser l’autre grand concurrent potentiel, l’Europe : l’alliance entre l’Europe dotée d’une population nombreuse et d’une industrie compétitive, alliée à une Russie et à ses ressources naturelles gigantesques, constituait le risque le plus élevé. Les fournitures de gaz russe à l’industrie allemande sans cesse augmentées assuraient la croissance d’un rival qu’il fallait abattre à tout prix. 

La croisade démocratique pour sauver un peuple appelé à se sacrifier au nom d’une idéologie hypocrite masquant les intérêts géopolitiques  américains est une mise en scène détestable. Il faut être aveugle lorsqu’on voit BHL une fois encore à l’oeuvre comme en Libye dans le criminel appel à l’escalade pour ne pas déceler la supercherie ! ( à suivre)

Par Christian Vanneste le 22 janvier 2023

Le blog de Christian Vanneste