vendredi 29 septembre 2023

Promo sur Calais : 500 smartphones offerts aux migrants



Les associations présentes sur Calais et ses environs ont ajouté une longueur de tuyau à leur pompe aspirante. Les potentiels migrants qui hésitaient encore à venir s'amasser sur les côtes de la mer du Nord ont préparé leur baluchon. À leur arrivée, les bons samaritains humanitaires vont peut-être leur offrir un smartphone, comme ils viennent de le faire pour 500 de leurs congénères. Une administration souhaitant rester anonyme a fait don de 55.000 anciens modèles, dont 28.000 furent reconditionnés par les Ateliers du Bocage (association liée à Emmaüs). Sur le principe « un acheté, un offert », 500 retraités et étudiants fauchés ont payé un téléphone 70 € qui permet ainsi à divers regroupements de bonnes âmes de donner ces mêmes appareils à 500 migrants. L'un paye, l'autre non. Les misères venues d'ailleurs sont plus romantiques que les banales difficultés locales.

La remise en état des smartphones a permis d'embaucher sept personnes en mal d'insertion. Le représentant en aspirateur migratoire, par ailleurs coordinateur de l'opération, se frotte les mains : « Tout le monde est gagnant » : les 500 bénéficiaires, les ravis de l'aspiration... enfin, bref, tout le monde. A-t-on déjà vu produit électro-ménager plus efficace ? L'appareil attire jusqu'au fin fond de l'Afghanistan. Après son passage, il ne reste plus un seul Africain à rêver de partir vers l'Europe. Il fait ses bagages et prend le premier bateau en partance pour Lampedusa. Place nette et effets secondaires sous le tapis. Les grandes marques n'ont pas fait mieux.

Le responsable régional d’Emmaüs Connect explique : « On répond à un vrai besoin, car il y a un vrai vide sur ce créneau-là. » Marketing oblige, les associations sont à l'affût du marché. Sur le créneau voiture, il reste beaucoup à faire. Des véhicules envoyés sur place permettraient aux migrants d'arriver plus vite. Il y a également une forte demande de hors-bord pour rejoindre l'Angleterre. Un hors-bord reconditionné à 1.000 €, un offert à un migrant. Disponible en version familiale.

Pour faire taire les sceptiques et autres esprits malveillants, le responsable de l'association L'Auberge des migrants énonce les atouts du smartphone en pareille situation. « Quelqu'un se blesse en tombant d'un camion, il peut appeler les secours ou appeler les gardes-côtes, en mer. Ou même, ne serait-ce que se repérer quand on arrive à Calais. » Il manque encore le GPS qui permettrait de localiser les Bisounours sur la région, la pierre à un euro et l'autre offerte à jeter sur les forces de l'ordre qui tentent de stopper le harcèlement des camions.

La pompe aspirante peut encore être améliorée.

Par Jany Leroy le 28 septembre 2023

Boulevard Voltaire

jeudi 28 septembre 2023

La fête sans le peuple (« The feast without the people »)



Le Monde: « Mercredi soir, les monarques britanniques ont rejoint le château de Versailles pour participer à un dîner d’Etat. Ils y ont été accueillis [par le couple présidentiel] avant d’entrer tous les quatre dans le château. Le dîner d’Etat à Versailles – autre temps fort de la visite – est un clin d’œil à la mère du roi, Elizabeth II, qui fut invitée à déjeuner dans le même décor somptueux en 1957 et revint à Versailles en 1972. 

Dans les personnalités du monde de la culture, on attend notamment le chanteur des Rolling Stones Mick Jagger, les acteurs Hugh Grant, Charlotte Gainsbourg et Emma Mackey, les écrivains Ken Follett, Kate Elliott et Christopher Hampton, les photographes Bettina Rheims ou Yann Arthus-Bertrand. Parmi les représentants du monde sportif figurent l’ancien manager d’Arsenal Arsène Wenger, les ex-footballeurs Didier Drogba et Patrick Viera qui ont beaucoup joué en Angleterre, l’ancienne joueuse de tennis Amélie Mauresmo (gagnante de Wimbledon en 2008) ou encore le président du comité d’organisation de Paris 2024, Tony Estanguet. 

Les grandes entreprises françaises seront fortement représentées avec le PDG du groupe LVMH, Bernard Arnault (LVMH), le dirigeant d’Iliad, Xavier Niel (actionnaire à titre individuel du Monde), la dirigeante de Chanel, Leena Nair, ou encore la directrice générale d’Engie, Catherine MacGregor. La liste d’invités comprend aussi des responsables d’institutions franco-britanniques ainsi qu’une quinzaine de politiques, dont cinq membres du gouvernement. »

On voudrait ne pas rouspéter tout le temps, apparaître comme le ronchon de service. Mais quand même, ce genre de festivité a l’inconvénient de faire quelque peu entre-soi, entre célébrités, vedettes du star system, la clique des puissants, des richissimes et des célébrités. Un peu plus tard a eu lieu la descente des Champs-Elysées, mais l’avenue était déserte, le peuple absent, cela n’intéressait personne. 

Pendant qu’un tiers des Français ne parviennent plus à boucler les fins de mois dans un contexte d’inflation vertigineuse, 5 à 6 millions de chômeurs nonobstant les mensonges, 2 millions de RSA, 10 millions de pauvres selon l’INSEE, des familles qui ne mangent plus de légumes à cause de la cherté, les jeunes parisiens et banlieusards sont dans l’impossibilité de se loger à cause du prix des loyers et de la montée des taux d’intérêt, ou les Français souffrent devant les images tragiques de Lampeduza et du Haut-Karabagh, ces Mesdames Messieurs très importants, célèbres et très fortunés font la fête. 

Au menu: un « tourteau de casier et homard bleu, voile d’amandes fraîches », assaisonné d’un gel de menthe chartreuse et d’une sauce au saké. Le plat, sera une volaille de Bresse marinée au champagne, avec une extraction de maïs rôti et un gratin de cèpes. Le plateau de fromages sera composé d’appellations françaises et anglaises. Pour le dessert, sera servi l’Ispahan, un entremets à la rose, aux litchis et framboises sur une base de macaron, selon les informations de Paris-Match et du Point

Le tout pour 160 invités de marque. Franchement, ce n’est pas de la jalousie car j’ai horreur des mondanités et des dîners au-delà de six personnes. 

Mais pas sûr que le signal envoyé à l’opinion par un tel spectacle hors sol soit très positif… Et ce qui me surprend le plus, finalement, c’est le consentement politique, l’approbation médiatique, l’absence de regard critique sur tout cela, y compris de la presse de gauche, bref la déconnexion, la soumission.

Par Maxime Tandonnet le 21 septembre 2023

Le blog de Maxime Tandonnet



Syriens déplacés au Liban : la France et l’Europe aux abonnés absents !

 

France-Liban : une amitié historique qui oblige

La France et le Liban entretiennent un lien ancien et ininterrompu depuis la charte du 24 mai 1250 dans laquelle Saint-Louis se proclame protecteur des chrétiens maronites. Ce lien fut renforcé au XIXe siècle lorsque la France intervint pour faire cesser les affrontements entre Druzes et Maronites et connaît même son apogée au lendemain de la Première guerre mondiale lorsque le Liban fut « sous mandat français », c’est-à-dire une forme de protectorat français au Moyen-Orient.

En tant que parlementaire, français et chrétien, il me semble naturel et impérieux d’entretenir et de consolider l’amitié avec le Liban en y rencontrant notamment les acteurs institutionnels et religieux ainsi bien-sûr que les dirigeants et députés des partis politiques (Courant patriotique libre, Kataeb et Forces Libanaises).

J’ai également pu longuement m’entretenir avec le président de la République sortant, le général Michel Aoun. Son mandat s’est achevé il y a déjà plusieurs mois maintenant mais il n’a toujours pas de successeur. Une vacance qui illustre, sinon l’instabilité, du moins l’incertitude politique qui frappe le pays.

Un pays en crise(s)

Le pays du cèdre subit une grave crise économique depuis plusieurs années, aggravée par l’explosion du port de Beyrouth en 2020, mais, surtout, le pays fait face à une arrivée massive de déplacés syriens depuis 2013.

Ils sont à présent plus de deux millions dans un pays qui compte à peine quatre millions de Libanais ! Certains sont arrivés pendant la guerre, mais beaucoup d’autres sont arrivés bien après et continuent d’affluer. Ces déplacés représentent désormais plus du tiers de la population actuelle du Liban et ce chiffre s’accroît quotidiennement en raison des nombreuses naissances dans les camps et villages qu’ils occupent.

Les organisations internationales (l’ONU via le HCR) mais aussi l’Union européenne et de nombreuses ONG sont présentes sur place, et apportent des aides financières et matérielles aux Syriens ce qui incite ceux qui sont au Liban à y rester et pousse ceux qui n’y sont pas encore à y venir. Cette politique qui vise à fixer durablement les populations syriennes au Liban est totalement irresponsable et dangereuse.

Il en résulte en effet un Liban asphyxié dont les services publics, sociaux, scolaires et sanitaires sont saturés, dont les infrastructures sont insuffisantes et les ressources énergétiques en pénurie.

Cette grave crise migratoire atteint même l’équilibre religieux du pays. Les chrétiens sont de moins en moins nombreux, représentant sans doute à peine 25% de la population. Pire, ils sont déclassés et les aides apportées par les ONG vont prioritairement aux déplacés syriens.

Rien ne justifie aujourd’hui le maintien de ces déplacés sur le sol libanais : à l’exception du secteur d’Idlib au nord du pays, la Syrie n’est plus en guerre. Les aides internationales, humanitaires et caritatives doivent donc y être déployées pour faciliter le retour des déplacés sur leur terre natale. La politique actuellement menée aboutit à déraciner deux peuples : des Syriens entassés dans un territoire libanais exigu sans perspective d’un avenir meilleur, et des Libanais dépossédés de leur propre pays après tant d’épreuves et de guerres qui les ont meurtris ces dernières décennies.

Entraide et solidarité entre chrétiens d’Orient et d’Occident

J’ai pu échanger avec des représentants d’associations sur place qui viennent spécifiquement en aide aux chrétiens. Parmi elles, SOS Chrétiens d’Orient qui intervient pour les aider à vivre dignement. Les bénévoles réalisent ici un travail admirable. Ils incarnent cette belle jeunesse française engagée qui refuse de céder à la fatalité et qui se bat, concrètement et humblement, pour préserver le berceau de notre civilisation.

Les Libanais ne peuvent hélas plus se contenter d’aides d’urgence. Des solutions pérennes doivent être trouvées pour leur permettre de vivre décemment sur leur terre.

L’urgence de rétablir le dialogue avec la Syrie

Il est temps que l’Union européenne mette fin aux sanctions économiques contre la Syrie (qui touchent en réalité davantage la population que le pouvoir) et que nous privilégions à nouveau la voie diplomatique avec le gouvernement de Damas. Il est en effet illusoire de penser que le retour des Syriens puisse avoir lieu dans des conditions humaines satisfaisantes sans un rétablissement des liens politiques avec la Syrie.

L’Europe et la France ne peuvent détourner le regard et doivent prendre part à ce processus d’apaisement. Nous le devons aux Libanais au nom de l’amitié historique qui unit nos pays bien-sûr, mais n’oublions pas aussi que l’instabilité du Liban aurait des répercussions sur l’ensemble de la région et conduirait à des flux migratoires massifs qui atteindraient nécessairement le continent européen.

Par Nicolas Bay, Vice-Président de R! le 27 septembre 2023

Livre Noir

Quand Sandrine Rousseau vole au secours des encagoulés-barre-de-ferisés !

 

Samedi 23 septembre à Paris, une voiture de policiers appelés pour une intervention totalement étrangère à une manifestation contre « les violences policières », est caillassée et attaquée par des énergumènes encagoulés et armés de barres de fer ; pour se dégager, un policier sort du véhicule en brandissant son arme : le tact dans l’agression étant d’estimer jusqu’où la « bravitude » devient dangereuse, les fiers guerriers de l’ultragauche (comme on dit désormais) font illico presto un sage rétropédalage. 

La voiture des forces de l’ordre peut donc poursuivre son chemin sans que le moindre coup de feu ait été tiré… pas même en l’air !

Tout est donc bien qui finit bien pour cette agression, sauf peut-être pour certains manifestants qui auraient pu préférer que le sang coule afin d’en tirer des bénéfices médiatiques.

Faute de sang médiatique, reste néanmoins l’exploitation politique : Sandrine Rousseau, députée écologiste de la capitale, a immédiatement, via un tweet indigné, volé au secours des encagoulés-barre-de-ferisés !

Les malheureux ayant été, très probablement, comme on l’imagine, traumatisés d’avoir été braqué par un policier – inadmissible intimidation policière, s’il en est – elle dénonce aussitôt : « Un geste inadmissible ! »

Entraver la mobilité de forces de police en caillassant leur véhicule, puis en le frappant n’étant certes aucunement une « attitude inadmissible », elle ! Qui plus avec des barres de fer qui, rappelons-le, sont, selon la législation des « armes par destination, c’est-à-dire un objet dont la fonction initiale est détournée afin de blesser ou tuer »…

Toute considération sans objet pour la passionaria écologiste qui n’aura donc pas jugé utile de manifester, ne serait-ce que pour la forme, sa désapprobation, son indignation, sa condamnation et réclamé avec force trémolo dans la voix la damnation (au moins morale)… des agresseurs des forces de l’ordre ! Bien au contraire !

Certes, la dame es-dingueries est coutumière des déclarations outrancières, inappropriées, scandaleuses ou simplement farfelues, au choix… et Satan sait que la palette de ses imprécations politiques est copieusement fournie.

Est-il nécessaire de répéter qu’elle n’aura sans doute été motivée, une fois de plus, que par l’obsession de faire parler d’elle ? Encore et toujours. Pour tout et n’importe quoi pourvu que « ça buzz », toujours plus haut, toujours plus fort !

Et toujours plus odieux, hélas !


Par Philippe Randa le 27 septembre 2023

Eurolibertés


Interdiction du voile pour les athlètes françaises au J.O. : le gouvernement donne raison au RN



Communiqué de Julien Odoul, député RN de l'Yonne du 26 septembre 2023

Dimanche 24 septembre, la ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, Madame Amélie Oudéa-Castéra, a annoncé sur France 3 l’interdiction de « toute forme de prosélytisme » dans le sport, et en conséquence, que « les représentants de nos délégations, dans nos équipes de France, ne porteront pas le voile » lors des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Après avoir repris la proposition du Rassemblement National d’interdire l’abaya à l’école, le gouvernement valide une nouvelle proposition de loi du Rassemblement National après la décision du Conseil d’Etat d’interdire le voile dans les compétitions de football.

Sans surprise, l’ONU a rappelé son opposition à cette décision en méprisant le principe français de laïcité et le droit du peuple français de rester ce qu’il est. Ainsi, la porte-parole du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme, Madame Marta Hurtado, a estimé le 26 septembre, que « personne ne devrait imposer à une femme ce qu’elle doit porter ou non ».

Un comble pour une institution en charge des droits de l’Homme, qui préfère soutenir le port du hijab en France, symbole de l’islamisme, plutôt que de défendre la liberté et l’émancipation des femmes en Iran ou en Afghanistan.

À l’évidence, le sport, qui a favorisé pendant des années la libération du corps des femmes et leur ascension, doit être préservé de toutes les revendications communautaires ou religieuses.

Pour cette raison, le Rassemblement National invite le gouvernement à ne pas s’arrêter en si bon chemin, notamment en généralisant l’interdiction des signes religieux et politiques ostensibles dans toutes les compétitions sportives, comme l’ont proposé les députés Julien Odoul, Roger Chudeau et Jérôme Buisson, le 20 juillet dernier

RN

Nicolas Bay (R!) sur France Info le 27 septembre 2023

mercredi 27 septembre 2023

Constituons un groupe au Sénat qui permettra la défense de nos territoires | Stéphane Ravier, sénateur Reconquête ! le 27 septembre 2023 sur Public Sénat

 

La version masculine de Sandrine Rousseau enfin disponible



Un nouveau comique va-t-il reléguer Sandrine Rousseau parmi les hurluberlus de second plan ? Le candidat se nomme Thomas Portes et vient de démontrer qu'il avait la capacité de faire oublier la tenante du titre. Celle qui voyait une nostalgie du nazisme lorsque Marine Le Pen posait à bord d'une Coccinelle Volkswagen se voit aujourd'hui dépassée par le député LFI de Seine-Saint-Denis.

L'objet de la paranoïa qui déclenche les rires sur les réseaux sociaux concerne, cette fois-ci, une simple date. La voiture n'était qu'une mise en bouche. Le postulant triomphe avec l'affiche de Jordan Bardella censée faire allusion à une atrocité nazie survenue à Tulle, le 9 juin 44. Dans cette ville, le parti a distribué des tracts. Ladite affiche clame : « Vivement le 9 juin ! » Thomas Portes a décrypté le message subliminal. Horreur, malheur.

Jordan Bardella et ses troupes fascistes appellent les habitants à fêter joyeusement cet épisode sanglant. La révélation est tambourinée sur X, accompagnée du traditionnel vomissement gauchiste. Le système digestif de Thomas Portes est au plus mal, mais il a fait son devoir. Les Tullistes savent désormais que la menace est à leur porte. Empilez frigos et matelas sur des charrettes et fuyez avant qu'il ne soit trop tard.

La vague d'effroi attendue fait place à une déferlante de moqueries et d'indignation. « À ce stade, ça n'est plus de la bêtise, c'est de la démence »commente Alexandre de Galzain, journaliste au Livre noir. Le 9 juin évoqué sur l'affiche est la date des élections européennes pour lesquelles le parti fait campagne. L'ex-porte-parole de Sandrine Rousseau a suivi la formation accélérée pour se ridiculiser en toutes occasions. Il manquait au modèle son équivalent masculin. Ses premiers pas dans l'affabulation politique sont prometteurs.

L'homme s'était déjà fait remarquer par une photo le montrant pied posé sur un ballon à l'effigie d'Olivier Dussopt. Son aptitude à rejoindre l'école impressionniste du délire gauchiste est avéré. Pas à une baliverne près. Toujours partant quand il est question de se discréditer. Une chance pour la NUPES !

Pour tenter de revenir sur le devant de la scène, Sandrine Rousseau s'est livrée à un examen du 10 juin. Sa découverte ne manque pas d'inquiéter les milieux parano-gauchistes. C'est le lendemain du 9 ! L'heure de la mobilisation a sonné. Si rien n'est fait, le 11 juin arrivera. Plein de députés bottés et casqués auront déjà pris possession du Parlement européen. Thomas Portes en sera réduit à raconter des histoires drôles dans un cabaret de chansonnier. Chaque jour qui passe est un calvaire pour la mouvance écolo-dingo.

Par Jany Leroy le 26 septembre 2023

Boulevard Voltaire