jeudi 28 avril 2022

70 % des Français de droite favorables à une alliance pour les élections législatives



Moins d’une semaine après le second tour de l’élection présidentielle, la course pour les élections législatives est lancée. Face aux blocs macroniste et mélenchoniste, Éric Zemmour a appelé à une « grande coalition des droites et de tous les patriotes » pour le scrutin du 12 et 19 juin prochain. Il tend la main au Rassemblement national de Marine Le Pen, aux LR « qui refusent le macronisme » et à Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan. Pour l’heure, les signes émanant du RN ne vont pas de ce sens. Le député Sébastien Chenu a même affirmé que son parti présentera un candidat face à Éric Zemmour s’il se présente aux législatives. 

Si les membres actifs de ces législatives se déchirent, les électeurs, eux, ont fait leur choix. Après une semaine de discussions – ou de non-discussion – Valeurs actuelles révèle un sondage exclusif. L’enquête, menée par l’institut Ifop du 26 au 27 avril (261 “Français de droite” issus d’un échantillon de 1 008 personnes), montre qu’une majorité des électeurs de droite souhaitent une alliance législative entre les différents partis qui composent cette partie de l’échiquier politique. 70 % des Français de droite se positionnent en faveur d’une union des droites. Sans surprise, les électeurs d’Éric Zemmour plaident très majoritairement pour une alliance avec les autres partis, à 91 %. Les partisans de Marine Le Pen (75 %) sont, eux aussi, majoritairement favorables à la proposition. Du côté du Rassemblement national, trois quart (75 %) des sympathisants sont en faveur d’un accord. Plus surprenant, bien que réel, 43 % des électeurs Les Républicains affirment être en accord avec cette idée d’alliance.

Une difficile alliance

Il y a encore quelques jours, les cadres du RN assuraient que le parti présenterait bien 577 candidats dans autant de circonscriptions. Dimanche, Jordan Bardella a ouvert la porte aux « gens issus de l’extérieur du RN, qui seront amenés à bénéficier de notre soutien ». Comprenez des membres de Reconquête !, de Debout la France et d’ailleurs. Les profils de Guillaume Peltier et de Stanislas Rigault sont particulièrement appréciés en interne. À l’inverse, les “transfuges”, ceux qui ont rejoint Éric Zemmour en début d’année, ne seront pas reçus avec de grands sourires. « Pour ceux qui sont partis, c’est un aller sans retour », prévenait Marine Le Pen, en privé, début février. Ce casse-tête-là ne devrait pas avoir lieu : les “infréquentables” Stéphane Ravier, Jérôme Rivière, Gilbert Collard et Nicolas Bay, déjà pris par d’autres mandats, ne seront vraisemblablement pas au rendez-vous des législatives.

La semaine dernière, l’entourage d’Éric Zemmour s’est penché sur la carte électorale du premier tour de la présidentielle et en a tiré l’analyse suivante : seule, Marine Le Pen arrive en tête dans 179 circonscriptions ; en cumulant son score avec celui d’Éric Zemmour, les candidats communs RN-Reconquête ! arriveraient en tête dans 379 circonscriptions. « Si on s’allie, nous pouvons espérer 150 députés, mais si elle refuse, nous en aurons seulement 35 pour les deux partis », défend un cadre zemmourien. En pleine soirée du second tour, Guillaume Peltier a sorti d’autres chiffres de sa besace dans Le Parisien : « À quelques semaines du troisième tour des élections législatives, la coalition organisée autour d’Emmanuel Macron, c’est 11 300 000 voix. La coalition organisée autour de Jean-Luc Mélenchon, c’est 11 200 000 voix. Et la coalition que nous appelons de nos vœux, additionnant les forces de Marine Le Pen, d’Éric Zemmour, de Nicolas Dupont-Aignan et des Républicains sincères qui refusent la soumission au macronisme, c’est 12 540 000 voix. » L’objectif : empêcher les divisions pour éviter une majorité de godillots pour Emmanuel Macron ou une cohabitation avec Jean-Luc Mélenchon.

Par Jules Torres le 28 avril 2022

Valeurs actuelles

mercredi 27 avril 2022

Pour l'union des patriotes



Pour une personne comme moi qui lors des trente dernières années a milité pour qu'enfin la France puisse être gouverné par une coalition de l'ensemble des mouvements et partis politiques qui se situent à droite de l'échiquier politique français ( au RPR de1994 à 1997, FN puis RN de 1997 à 2020 et  Reconquête depuis 2021) la réélection dimanche dernier d'Emmanuel Macron est une véritable catastrophe. 

J'avais espéré un sursaut des électeurs et électrices français pour ces élections présidentielles de 2022, j'ai soutenu ardemment Eric Zemmour et je reste son soutien car il  avait enfin réussit à reprendre en main le fabuleux flambeau de la droite patriote , celle qui me fait espérer un avenir pour notre pays loin du machin-truc-chose qu'est l'Union européenne et de la décadance certaine avec cinq années supplémentaires de macronite aigue. 

Malheureusement, les faits sont ce qu'ils sont: le mépris et l'arrogance semblent plaire puisque les Français ont préféré réelire monsieur Macron à 58, 5 % contre 41, 5 % à Marine Le Pen. Certes il y a un différenciel de  5 481 881 voix en faveur du Président de la République. On pourrait clairement s'en tenir là et constater qu'une fois de plus la photo finale détermine le tout.

Seulement c'est oublier les résultats définitifs du second tour de dimanche dernier que l'on peut retrouver sur de nombreux sites dont celui du Ministère de l'Intérieur. 

Il est intéressant de souligner le chiffre terrible de l'abstention puisque il s'éléve à 13 656 109 personnes soit 28, 01 % des inscrits ainsi que le vote non exprimé (le vote blanc et nul) : 3 018 990 voix.

Pour les futures élections législatives de juin il est nécessaire que la droite française puise dans cet énorme puit et essaie de décider ces millions de votants potentiels à se déplacer aux urnes et à la choisir plutôt que de faire le choix d'une nouvelle majorité macronisante et totalement dépourvue de liberté de choix.

La gauche, son extrème (Jean-Luc Mélenchon et ses amis communautaristes et islamo-gauchistes pour ne pas le nommer) et les autres militants de l'anti-France d'EELV vont probablement se retrouver pour tenter le truc de la cohabitation créolisée et complètement folle qu'ils espèrent. 

Il ne faut pas leur laisser le terrain libre !

Ces derniers jours les vice-présidents de Reconquête ! ont publié un appel pour que les formations de droite s'organisent en coalition afin de faire gagner la majorité des Français contre ce que nous prévoit Macron et ses amis. 

Hélas, les cadres RN qui doivent estimer que les plus de 13 millions de voix obtenues par Marine Le Pen leur appartiennent exclusivement ont choisis - pour le moment- soit d'ignorer l'appel, soit de s'en prendre cruement à Eric Zemmour et aux personnalités qui l'ont rejoint durant cette campagne électorale. 

Le fonctionnement de leur boutique semble plus les intéresser que le devenir de la France !

C'est malheureux mais d'avoir longtemps partager les décisions et les non-décisions des cadres de ce  mouvement je pense que c'est la réalité. 

Toutefois j'estime tout de même que l'union des patriotes -si ce n'est celle des partis et mouvements qui au final ne sont que des outils- est plus que nécessaire et je ne désespère pas que les militants sincères des différantes "familles" de cette droite patriote puisse faire une pression telle que l'union s'impose d'elle même.

Aujourd'hui, Eric Zemmour, annonce que Reconquête ! ne présentera pas de candidats face à Marine Le Pen, Eric Ciotti et Nicolas Dupont-Aignan, ou l'union en acte !

Qu'en pense les Français ?

BH



mardi 26 avril 2022

Marion Maréchal, dernier recours d’une union des patriotes


 réussira-t-elle à recoudre la robe déchirée de la droite nationale ? La nièce de Marine Le Pen, qui reste une figure d’espoir pour la droite patriote, est incontestablement la mieux placée pour réussir cette tâche. Mais le défi est désormais considérable tant les coups échangés entre les deux camps ont été rudes pendant et après cette campagne présidentielle. Ce 26 avril, sur RTL, Marion Maréchal, désormais vice-présidente de Reconquête, a multiplié les signes d’apaisement. Non, Reconquête ne veut pas piloter un éventuel mouvement commun avec le RN si jamais un accord se dégageait : l’influence dépendrait bien-sûr « du poids électoral de chacun », explique-t-elle. « Personne n’a contesté cela, personne n’a dit le contraire ». Cela va tout de même mieux en le disant…

Car certes, Reconquête a des éléments à faire valoir auprès de Marine Le Pen pour peser dans la négociation avant l’attribution des circonscriptions pour les législatives. Les 7,1 % d’Eric Zemmour en national, ces endroits où le candidat polémiste est arrivé loin devant Le Pen au premier tour comme à Versailles (18,48 % des voix pour Eric Zemmour contre 8,59 % pour Marine Le Pen), ses cadres nombreux et expérimentés, la masse ultra enthousiaste et mobilisée de ses jeunes militants, sans parler de ses moyens financiers et de son talent oratoire. Enfin, il y a ces projections signées du sondeur Louis Harris : avec une alliance Reconquête-RN-Debout la France, les patriotes feraient entrer à l’Assemblée de 117 à 147 députés, selon un sondage Harris Interactive pour Challenges.

Sans alliance, le  n’obtient plus que 75 à 105 sièges au Palais Bourbon. À ces arguments, il faut ajouter l’intérêt de la France qui se portera mieux avec 147 députés patriotes qu’avec 75… Car si la France Insoumise parvient, elle, à nouer des alliances à gauche avec le PC, le PS et les Verts, elle obtiendra entre 73 et 93 sièges. LFI et ses alliés ont donc de fortes chances de parvenir devant un Rassemblement national isolé. L’arithmétique électorale commande l’alliance Reconquête-RN mais voilà, la politique n’est pas affaire d’arithmétique. En tous cas pas seulement.

En insistant au soir du deuxième tour sur le huitième échec de la famille Le Pen, Zemmour a braqué, peut-être définitivement cette fois, les dirigeants du  dont les plaies restent à vif après les attaques très dures de la campagne et la série des ralliements.

« Si on fait l’archéologie des petites phrases blessantes pendant la campagne, on ne va pas s’en sortir », lance Marion Maréchal à RTL en soulignant le mérite de Jean-Marie et de Marine Le Pen dans la poursuite du combat national. L’ancienne député du Vaucluse fait ce qu’elle peut pour raccommoder mais la déchirure reste. Et des cadres pestent jusque dans l’entourage de Zemmour. « Cette intervention (de dimanche soir, ndlr), Eric l’a préparée tout seul, personne de l’avait relue : c’est un discours de commentateur, pas d’homme politique. Ce propos handicape les projets ». Les personnalités de Reconquête ont découvert ce texte mi-claque, mi-main tendue, alors qu’ils étaient sur les plateaux de télévision. En attendant, Reconquête est en retard dans la sélection des investitures pour les législatives, une lourde tâche. Et les jeunes troupes du mouvement, chauffées à blanc durant la campagne, sont en roue libre. « Un vrai gâchis », dit notre dirigeant.

Là encore, Marion Maréchal incarne un dernier espoir : elle pourrait décrocher quelques accords locaux, à défaut d’accords d’appareils improbables. C’est bien peu. Et elle-même ne sait pas encore quel rôle elle souhaite jouer durant les prochaines échéances : candidate ou non ? Une chose est sûre : les deux familles RN et Reconquête doivent pourtant se rapprocher : la France en a besoin.

Par Marc Baudriller le 26 avril 2022

Le matraquage médiatique, vainqueur de la présidentielle


Vous aimez le passe vaccinal, les parcs d’éoliennes, les féministes voilées, les sermons des people ? Vous allez être comblés : vous venez d’en reprendre pour cinq ans. Le Système a su se maintenir en place, grâce à un toujours efficace « front républicain ». Je ne peux cacher une certaine déception au vu des résultats. Je m‘étais pris à espérer, idéalement il est vrai, une résistance des électeurs face à l’indécent bourrage de crâne de ces dernières semaines. Mais le matraquage contre le péril « d’extrême droite », repris par la totalité des médias et des pouvoirs en place, a fait son œuvre. La propagande a été plus forte que l’analyse des colères françaises, qui ne se rattachent en rien aux caricatures « fascistes » qui en sont faites par les gardes-chiourmes de la caste. Emmanuel Macron a été brillamment réélu  dimanche soir (avec 58,5% des suffrages contre 41,50 % à Marine Le Pen) en bénéficiant à 40% d’un vote de rejet de son adversaire. 

42% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon se sont reportés sur le président sortant, contre 17% qui ont choisi Le Pen. Le choix de Macron d’esquiver les débats et de diaboliser l’adversaire a été une stratégie payante. Marine Le Pen a subi une défaite cuisante, même si elle a amélioré son score de plus de 2,5 millions de voix par rapport à 2017. Au moins peut-elle se réjouir de n’avoir pas à gérer les périodes tendues qui s’annoncent avec une hausse de l’inflation, de l’endettement et de la vulnérabilité plus générale du pays. Macron va avoir à assumer lui-même les conséquences de ses politiques. Il s’est d’ailleurs gardé hier soir, à raison, de tout triomphalisme affiché.

Reste que si le scrutin est sans appel et que Macron a toutes les raisons de se satisfaire de la prouesse de sa réélection, la photographie politique n’en est pas moins voilée. La frustration qui est la mienne devant des débats confisqués et des interdits de penser me semble être commune à beaucoup d’électeurs. Il leur est répété, sondages à l’appui, que la société aurait viré à droite. 

Or c’est la gauche mélenchoniste et islamo-gauchiste qui, pour partie, a favorisé également l’élection de Macron, soutenu par la presse moutonnière. Le président, qui avait reçu le soutien de la Grande mosquée de Paris et du Rassemblement des musulmans de France, a fait de très bons scores dans des villes de la « diversité » : 75% aux Mureaux, 70% à Grigny, 74% à Trappes. S’il recueille au total 18,7 millions de voix contre 13,2 millions à Le Pen, la somme des absentions et des votes blancs et nuls atteint 16,6 millions d’électeurs (13,6 millions d’abstentions, 3 millions de blancs et nuls). Quand autant de citoyens ne veulent plus jouer le jeu de la démocratie, c’est que celle-ci ne fonctionne plus correctement. De fait, l’imposition d’un discours unique ne peut qu’assommer, un temps seulement, l’électeur incertain. Cette situation ne peut perdurer sans risque d’explosions insurrectionnelles.  

Hier soir, Macron a promis « l’invention collective d’une méthode refondée ». Vous aimez aussi les mots creux ? Vous allez être servis.

Par Ivan Rioufol le 25 avril 2022

Pour la victoire aux législatives, l’union nationale est nécessaire ! | Marion Maréchal sur RTL le 26 avril 2022

 

lundi 25 avril 2022

Pour une union nationale aux législatives des 12 et 19 juin 2022

 



Stanislas Rigault, porte-parole de Reconquête ! sur CNEWS le 24 avril 2022

 

Les vice-présidents exécutifs de Reconquête ! proposent une rencontre avec le RN afin de constituer une coalition électorale pour les législatives !

 



Plateau-télé : dîner électoral sans sel ni gluten…



Avant même d’avoir attendu la gueule du bois du lendemain, la cuite du soir est éclatante. Jean-Luc Mélenchon, par exemple, se lamente en direct de la prochaine mise en place de la retraite à 65 ans préconisée par Emmanuel Macron et de la baisse programmée du rôle social de l’État... alors qu’il a appelé à faire barrage contre Marine Le Pen, permettant ainsi la réélection du Président sortant. Docteur Jean-Luc et Mister Mélenchon, en d’autres termes…

Heureusement, à en croire Clémentine Autain, l’une de ses affidées, « nous avons évité le pire du pire » : Marine Le Pen. Mais elle affirme en même temps que le pire demeure à affronter : Emmanuel Macron et son « mépris ». Il y aurait donc « pire » que pire et « pire » tout court, tout en ouvrant « le champ des possibles ». À savoir, les élections législatives à venir, finalement véritable enjeu de cette soirée présidentielle.  y songe déjà et le président de La France insoumise aussi, qui prie les Français de « l’élire Premier ministre ». Sans oublier Éric Zemmour, qui se place dans la course…

Pour le reste, la routine. L’antiracisme sans racistes et l’antifascisme sans fascistes. Quant à la macroniste Delphine Batho, devenue sosie quasi officielle de Valérie Mairesse, au physique comme à l’oral, elle en appelle à l’abolition du « présidentialisme » ; ce qui devrait réjouir notre Président jupitérien brillamment réélu. Ensuite, Sandrine Rousseau, étonnamment calme sur TF1, en appelle à la cohabitation avec Macron pour cause d'« urgence climatique ». On aura décidément tout vu.

Soirée électorale en demi-teinte, donc. Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si de rien n’était ; comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement,  n’était pas si mauvaise fille que ça. En attendant, le vainqueur arrive sur le Champ-de-Mars, tenant la main de Brigitte, lookée façon Nancy Sinatra, costume années 60 à l’appui, avec une « Ode à la joie » de Beethoven en guise de musique de fond, au riff pour l’occasion ralenti. Et un discours dans la morne continuité du déjà-vu sur l’ensemble des plateaux de télévision. Lisse et sans saveur. Même Robert Ménard et Daniel Cohn-Bendit rivalisent d’amabilités sous l’œil bienveillant de Luc Ferry.

Le tout s’achève sur une « Marseillaise » couinée de guingois par une Castafiore d’occasion. Pour plus d’émotions sur petit écran, les vachettes de Guy Lux étaient naguère autrement plus sujettes à frissons.

Par Nicolas Gauthier le 25 avril 2022

dimanche 24 avril 2022

Eric Zemmour : Réaction au résultat de l'élection présidentielle le 24 avril 2022

 

Agression au couteau dans une église de Nice, un prêtre et une femme blessés



Un prêtre âgé de 57 ans et une femme de 72 ans ont été blessés à l'arme blanche dans une église de Nice. L'agresseur a été neutralisé et la piste terroriste a été écarté. D'après les services de police, l'homme est "manifestement bipolaire".

Un homme "manifestement bipolaire" a agressé dimanche matin un prêtre, le blessant légèrement, dans une église de Nice, mais son geste "n'a pas de caractère terroriste a priori", a-t-on appris de source policière. L'agresseur a également blessé une religieuse qui tentait de s'interposer entre l'auteur des faits et le prêtre. 

L'agression a été annoncée par le ministre de l'Intérieur, dans un tweet. "Une agression a eu lieu ce matin dans une église de Nice. Le prêtre est blessé. Pas de pronostic vital engagé. Solidarité avec les paroissiens et merci aux forces de l'ordre qui ont interpellé rapidement l'auteur. Le Préfet est sur place", a écrit Gérald Darmanin.

L'enquête a été confié à la Sûreté Départementale

L'auteur de l'agression, prénommé Kevin, né en 1991 à Fréjus, de nationalité française, est domicilié à Nice. Il est inconnu des services, a-t-on précisé de source policière. Il est suivi pour des problèmes psychiatriques à Nice.

Il est "manifestement bipolaire" et son geste n'a "pas de caractère terroriste. "Il a spontanément déclaré aux effectifs de police qu'il était de confession juive et qu'en ce jour d'élection, il voulait tuer Emmanuel Macron et qu'il s'était finalement rabattu sur une église", a-t-on ajouté de même source policière.

L'enquête a été confié à la Sûreté Départementale. 

Le 24 avril 2022