vendredi 16 décembre 2022

Montpellier, l'inévitable embrasement ! Gilbert Collard (Reconquête!) le 16 décembre 2022

 

Violences en marge du France-Maroc : le lourd strabisme de la gauche



« Il faut toujours dire ce que l'on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l'on voit », conseillait Charles Péguy. L'extrême  a vu une sorte d'assaut généralisé des nervis d'extrême droite sur le pays, le soir du match France-Maroc. Venues de Philippe Poutou (« Il y a urgence à construire une riposte antifasciste, unitaire et radicale ») à Louis Boyard, qui s’adresse à Marine Le Pen (« Le matin, ces militants votent pour vous. Le soir, ils arpentent les rues pour commettre leurs crimes racistes »), sans oublier Clémentine Autain (« Les milices d'extrême droite ont multiplié ratonnades et charges contre les supporters marocains. La guerre civile est leur projet, la haine leur moteur »), en passant par la une partisane de Libération du 16 décembre (« Extrême droite, nuit bleue peste brune ») ou ce communiqué de presse d’EELV qui demande « une réaction immédiate, forte et concrète de la part de l’État et notamment du ministre de l’Intérieur », la  veut montrer, comme l’écrivait Arnaud Florac, que la vraie violence vient comme d’habitude de l’extrême droite !

Elsa Faucillon, députée NUPES des Hauts-de-Seine, tweete : « Dans plusieurs grandes villes de France, hier, l’extrême droite a commis des ratonnades en attaquant des supporters de l’équipe du Maroc, jusqu’à aboutir à la mort d’un jeune garçon. » L’eurodéputée écologiste Karima Delli pousse le bouchon un peu plus loin avec « la Marseillaise » en interpellant Gérald Darmanin : « Entendez-vous mugir ces féroces soldats ? »

On attend les preuves des milliers de voies de fait et des dégradations de ces masses immenses déferlant sur le pays. Si prompte à dénoncer « cette situation qui n’est plus tenable », la  brille par son silence, en revanche, pour commenter les débordements. S’il n’y avait aucun risque, pourquoi Gérald Darmanin aurait-il déployé 10.000 policiers, dont la moitié à Paris ? Où est la gauche pour s'indigner des tirs de mortiers, des drapeaux français arrachés, des quarante policiers blessés, des 266 interpellations, des insultes ou des crachats ? Les fautifs étaient-ils tous d'extrême droite, vraiment ? Quelques images de supporters marocains démontrent a minima qu'ils ne tenaient pas tous des propos d'une grande hauteur de vue et ne manifestaient pas nécessairement un amour sans faille de la France...

« Vive le Maroc, on vous encule les niçois, nous on est là pour la carte vitale. La France, on vous encule. Notre passeport est rouge. » TOUT VA BIEN nous dit @GDarmanin. Un commentaire les #NupesMarcheDeDupes ? #FRAMAR #FIFAWorldCup pic.twitter.com/oA5TriPdAk

— Benoît AUGUSTE Ⓜ️ (@baugusteaura) December 15, 2022
| #FRAMAR "Vivent les marocains et nique la France ! Bandes de sales salopes !" Hier soir, à l'issue de la #demifinale de la #CoupeDuMonde, un individu insulte et provoque les supporters français aux #ChampsElysees.
#francemaroc #WorldCup #FIFAWorldCup #France pic.twitter.com/53NVUY7DO0

— Jean Bexon (@jean_bexon) December 15, 2022

Certains ont même hurlé leur haine d'Israël en s'attaquant à une journaliste de la chaîne israélienne i24News.

Bien renseigné, le président de LR Éric Ciotti note pourtant, dès le 15 décembre, l'embrasement des villes en France. Les violences urbaines ? C'est l'extrême droite, bien sûr, penseront les macronistes.

À Amiens, Besançon, Troyes, Lille, Lyon, Nice, Toulouse, Paris, Asnières-sur-Seine mais aussi en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, le même scénario se répète : partout, les policiers sont pris pour cible.

À Montpellier, ce n'est pas l'extrême droite mais les communautés gitane et marocaine qui s'affrontent depuis la mort de ce jeune de 14 ans écrasé par une voiture.

Rien de tout cela n'a heurté les oreilles sensibles de la  française, bien trop occupée à chasser les milices d'extrême droite qui pullulent, c'est bien connu, sur le territoire français. Le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin leur emboite le pas. Lui aussi a très peur, lui aussi se mobilise contre la vraie, la grande menace. Il demande un "suivi spécifique" des réseaux d'ultra-droite avant les matchs de ce week-end. Toujours en conflit avec la réalité des faits, la  française exploite sa Providence à elle, son indignation en carton et son obsession aveugle : l'immigration, toujours belle et inoffensive, et les bandes brutales de l'extrême droite, si nombreuses, si menaçantes. Les Français seront-ils dupes ?

Par Iris Bridier le 16 déceembre 2022

Boulevard Voltaire

jeudi 15 décembre 2022

Général Desportes: "Poutine ne perdra pas, ou il sera assassiné !", Omerta le 15 décembre 2022

Marion Maréchal (Reconquête!) sur Europe 1 le 15 décembre 2022 : "L'état d'esprit revanchard et anti européen est problématique"

Destruction totale du pays : bienvenue en Ukrai... non ! En France ! - Gilbert Collard (Reconquête!) sur TV Libertés le 15 décembre 2022

"L'invasion de l'Arménie est une catastrophe humanitaire !" - Jean-Christophe Buisson du Figaro sur Radio Courtoisie le 15 décembre 2022

 

Maroc contre Europe: la Coupe du Monde du Choc des civilisations?



La Coupe du monde est-elle l’occasion pour une certaine rivalité amicale entre les nations ou pour l’expression d’attitudes revanchardes voire vengeresses contre l’Occident ? Le président de la FIFA, Gianni Infantino, semble y voir surtout une opportunité pour une grande auto-culpabilisation historique, lui qui a fait la déclaration suivante : « Pour ce que nous, les Européens, avons fait au cours des 3000 dernières années, nous devrions nous excuser pendant les 3000 prochaines années avant de donner des leçons au Qatar ». L’attitude de supporteurs et de joueurs de pays maghrébins, notamment du Maroc, suggère, de différentes manières, qu’à leurs yeux il y a bien une revanche à prendre sur les anciennes nations colonisatrices, comme si eux croyaient moins au « vivre ensemble » prêché par les idéologues immigrationnistes qu’à un véritable choc des civilisations.

Quand la fête se transforme en émeute

Les victoires des « Lions de l’Atlas » face à la Belgique (27 novembre), à l’Espagne (6 décembre) et au Portugal (10 décembre) ont donné lieu à des scènes d’affrontements avec les policiers : aux Pays-Bas, en France et en Belgique, surtout dans l’enclave marocaine de Molenbeek, en banlieue de Bruxelles.

Preuve de l’importance des enjeux géopolitiques, les joueurs et supporters marocains ont fêté leurs victoires en brandissant le drapeau palestinien. Le 6 décembre, aux Champs-Elysées, les supporteurs du Maroc ont fêté leur triomphe aux cris de « Free Palestine ! », et des images ont montré des supporteurs mettant le feu à un drapeau d’Israël. Le même soir, d’autres supporteurs ont installé leur drapeau sur la façade de la Mairie d’Amiens Nord.  En plus de ces épisodes d’importance symbolique, de nombreux autres incidents violents ailleurs en France, comme le pillage de commerces et d’un camion à Avignon, contrastent avec les célébrations sans incident de la communauté portugaise de France, pourtant beaucoup plus nombreuse que la marocaine.

Revanche sur la Reconquista et références islamiques

Sur les réseaux sociaux les supporters du Maroc ont publié de nombreux visuels s’inscrivant dans une perspective historique de revanche notamment contre l’Espagne, considérée coupable d’avoir osé se libérer de sept siècles d’occupation arabe en menant sa Reconquista. Sur internet, tel montage revisite la composition de l’équipe avec les conquérants arabes de l’Espagne, tel autre diffuse une carte d’Al Andalus avec le commentaire, « It’s back ».

« Cette victoire appartient à tout le peuple marocain, tous les peuples arabes, et tous les peuples musulmans du monde », a commenté de son côté le joueur Sofiane Boufal. Difficile d’imaginer l’ampleur du scandale si un joueur de l’équipe nationale d’Italie, de France ou d’Espagne avait revendiqué son succès au nom « de tous les peuples européens, de tous les peuples chrétiens ».

La dimension islamique de l’enjeu s’exprime d’ailleurs sous de multiples aspects. Par exemple, les joueurs marocains pratiquent la prière islamique pour célébrer leur victoire ou avant une séance de tir au but et n’hésitent pas à appeler directement à rejoindre l’islam au cri « d’Allah akbar ». Le Hamas a félicité l’équipe marocaine pour sa victoire sur le Portugal.[1]

Sur le site du mensuel marocain francophone Le Courrier de l’Atlas, le journaliste Abdellatif El Azizi analyse la victoire du Maroc dans un article intitulé de manière significative, « Football. La reconquête » : « Bien sûr, nous n’avons pas libéré la Palestine, nous n’avons pas repris nos territoires occupés de Sebta et Mellilia, c’est certain que l’Occident continue de piller nos richesses, mais il y avait du bonheur à regarder ces jeunes joueurs redonner de la joie à des populations dépitées par l’hégémonie sportive des anciens colons ». Il poursuit : « Chez nos ennemis d’hier, ce n’était pas encore la panique mais il semble que déjà̀ une peur sourde gagne le monde occidental. Alors, si le foot est devenu la continuation de la guerre par d’autres moyens, tant mieux […] »Il conclut : « La blessure de l’Andalousie […] n’a jamais été totalement pansée entre ces deux pays qui se regardent en chiens de faïence malgré cette réconciliation de façade. Il n’y a qu’à observer la profusion de vidéos évoquant l’Andalousie ou le chef de guerre Tarek Ibn Ziyad pour s’en convaincre ». Ce dernier étant un des conquérants arabes historiques de la péninsule ibérique, on ne peut pas être plus clair : derrière ce match entre l’Espagne et le Maroc se cachaient ses rancœurs historiques multiséculaires contre l’Occident. Car le monde arabo-islamique ne s’est toujours pas remis de ce qu’il considère comme une humiliation et il entend bien laver l’affront chaque fois qu’il en aura l’opportunité. Une vision que confirme à So Foot l’écrivain marocain Abdellah Taïa : « il se joue dans le parcours des Lions quelque chose de l’ordre du post-colonial. Je suis à El Jadida, une ville fondée par les Portugais. Dans la rue, dans les conversations, j’entendais : « On s’est débarrassés des Portugais, des Espagnols et bientôt des Français ». Le parallèle historique est évident. C’est encore plus fort dans le cas de la France qui conserve une grande influence au Maroc. Il existe donc un sentiment de revanche »

Les risques de limmigration

Dès lors, se pose la question : ne manquerait-t-on pas au principe de précaution en continuant de laisser venir s’installer chez nous par millions des personnes dont au moins un certain nombre pensent qu’ils ont une revanche à prendre sur l’Occident? Faisons le bilan de l’immigration marocaine. En France, la communauté marocaine représentait 1,5 millions en 2015, mais aujourd’hui elle représente probablement 2 millions d’individus sur 3 générations (selon l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, article à paraître dans Causeur). Le Maroc est la première terre d’origine des mineurs non-accompagnés (MNA) dont la généreuse contribution statistique à la délinquance des grandes villes est reconnue. Dans les prisons, les Marocains sont aussi la deuxième nationalité la plus représentée derrière les Algériens et même la première au niveau européen avec près de 12.000 détenus. Avec un taux de fécondité des immigrées marocaines largement supérieur à celui des Françaises natives (3,4 enfants par femme contre 1,9 enfants par femme française native) et 34% des Marocains qui souhaitent émigrer, la pression démographique marocaine est intense. D’autant que chaque année, environ 30 000 primo-visas sont offerts au Maroc, avec un record de 35192 en 2021, et 19% des naturalisations françaises sont accordées à des Marocains. Pourtant, 42,7% des Marocains de plus de 15 ans qui vivent en France étaient chômeurs ou inactifs en 2017.

Au Pays-Bas, la « Mocro Mafia » marocaine qui gère le trafic de drogue fait régner la terreur dans le pays. Une centaine de morts dans des règlements de compte, des attaques au lance-roquette et à la voiture-bélier contre des médias trop curieux (Panorama et De Telegraaf), l’assassinat d’un journaliste et la mise sous protection rapprochée de la princesse et du Premier ministre suite à des tentatives d’enlèvement ont bouleversé la tranquillité du pays des tulipes.

Enfin, en Belgique, le pays est au seuil du basculement démographique : 20% de la population est d’origine étrangère, principalement marocaine.  A Molenbeek-Saint-Jean, l’épicentre des célébrations des victoires du Maroc dans le pays, une scène a d’ailleurs provoqué le malaise sur les réseaux sociaux : le procureur du Roi des Belges Yassine Sellika, a été surpris apparemment en train de célébrer la victoire du Maroc face à la Belgique. Cette ville de 80.000 habitants est devenue la base arrière du djihadisme en Europe. C’est là qu’avait trouvé refuge Salah Abdeslam. La contribution de l’immigration marocaine au terrorisme islamique fait d’ailleurs frémir. Le meurtrier de Thomas Monjoie, policier belge égorgé il y a 15 jours à Schaerbeek dans la banlieue de Bruxelles ? Yassine Mahi : belgo-marocain. Le terroriste du Thalys, condamné cette semaine à la perpétuité ? Ayoub El Khazzani : français d’origine marocaine. Les terroristes du 13 novembre 2015 ? Les frères Abdeslam et Bilal Hadfi : français d’origine marocaine, et Abdelhamid Abbaoud : belgo-marocain. Et ceux des attentats de Bruxelles et Zaventeen de mars 2016 qui sont jugés ce mois-ci ? Mohammed Abrinni, Khalid et Ibrahim El Bakraoui : belges d’origine marocaine, et Najim Laachraoui : belgo-marocain. L’assassin des policiers égorgés à Magnanville ? Larossi Abbala : français d’origine marocaine. Et le terroriste qui a tué le gendarme Arnaud Beltrame à Trèbes ? Radouane Lakdim : Français d’origine marocaine.

Le match de ce mercredi sera-t-il donc un épisode du choc sportif des civilisations, celui d’une revanche historique contre l’ancien colonisateur teintée de prosélytisme islamique ? Pour cette mission, les joueurs du Maroc peuvent compter sur le soutien de tous les pays arabo-musulmans qui rêvent autant de voir l’un des leurs en finale du Coupe du Monde que d’humilier les Français. Victoire ou défaite, faut-il craindre le pire pour cette soirée ?

[1] Les victoires du Maroc seraient même fêtées par les brigades armées du Hamas.

Par Damien Rieu, Reconquête! le 14 décembre 2022

Causeur

mercredi 14 décembre 2022

RN : le sondage qui effraie le « camp du Bien »



Quarante pour cent des Français estiment que le Rassemblement National (RN) a « la capacité de participer à un gouvernement », un niveau jamais atteint, selon le baromètre annuel de l'image du RN réalisé par Kantar Public-Epoka pour France Info et Le Monde, dévoilé mardi 13 décembre. Un coup de tonnerre réel ou des émanations d’un système jouant à se faire peur et à faire peur à l’opinion ? « On a bien la confirmation de l’émergence d’une force d’alternance », se félicite Jérome Sainte-Marie. Le sondeur, proche conseiller du RN et instigateur principal de l’école des cadres du RN voulue par le président du parti Jordan Bardella, ne cache pas sa satisfaction. Car, en plus de reconnaître l’incontestable et régulier progrès du parti à la flamme, ce sondage démontre que « "l’échec" de la présidentielle et des élections législatives d’avril et juin dernier n’a pas été ressenti comme tel ». « Évidemment, multiplier son nombre de députés par dix, c’est un échec encourageant » ironise Sainte-Marie.

Plafond de verre repoussé mais pas encore brisé ?

C’est un autre motif de satisfaction pour le RN. La proportion des Français qui considèrent que le RN représente « un danger pour la démocratie » poursuit sa baisse amorcée depuis cinq ans : 46 % en décembre 2022, contre 58 % en février 2017. Plus de quatre Français sur dix considèrent également que le Rassemblement National s'est « modéré » ces dernières années, et notamment par rapport au Front National. Un jugement que les accusations de Gerald Darmanin à l’encontre de Marine Le Pen l’accusant de mollesse et l’émergence du phénomène Zemmour auront sans doute concouru à cet adoucissement. « Bien davantage que ses chats », ironise un fidèle du Z. En tout cas, il suffit de voir les autres sondages pour trouver un début d’explication au succès du RN. Ainsi, le 6 décembre, sondage paraissait un sondage de l’Institut CSA pour CNews, et révélait que 7 Français sur 10 (70 %) jugent que la France doit durcir sa politique d’immigration. Donc quasi un électeur sur deux de gauche.

Le ripolinage à l’extérieur, le jeu de l’Hémicycle à l’intérieur

Il faut le dire. Les 89 députés du RN étaient scrutés, épiés, moqués. Tout était compté jusqu’à la cravate. Pourtant, si l’on excepte l’affaire Fournas qui s’est bien vite révélée comme une pantalonnade bruyante de la NUPES, le RN propose un visage lisse, soigneux, une image de bon élève bosseur. Assidus dans l’Hémicycle et dirigés, presque couvés, par une Marine Le Pen pas émoussée qui, de l’aveu même de ses proches, prend très au sérieux son travail de parlementaire. Un job qui aura l’avantage d’une part d’achever l’institutionnalisation du parti, mais qui a aussi pour objectif de faire taire définitivement les accusations d’amateurisme.

Ses adversaires pris au piège

C’est une donnée du fameux sondage qui ne manquera pas de faire sourire les stratèges du groupe RN à l’Assemblée nationale : « 56 % des sympathisants de la NUPES considèrent que les députés de la coalition devraient voter avec ceux du RN s'ils présentent un texte avec lequel ils sont d'accord », nous apprend France Info. Comme en écho à la proposition de loi de la députée insoumise Caroline Fiat souhaitant réintégrer les soignants non vaccinés, reprise par le RN puis abandonnée par la NUPES pour ne pas donner l’impression de faire le fameux jeu de l’extrême droite. Une position aux antipodes de celle du groupe de Marine Le Pen qui assume de voter pour tous les textes présentés qui seraient dans le sens de l’intérêt général sans discrimination de groupe. « J’ai personnellement voté plusieurs textes de députés insoumis sans me boucher le nez », nous confie le député des Bouches-du-Rhône Emmanuel Taché de La Pagerie. Au fond, le RN applique la ligne de conduite que les sympathisants de la NUPES voudraient faire accepter à cette dernière. « Pour autant, est-ce que ce sondage annonce une défaite ou une victoire de Marine Le Pen dans quatre ans ? Bien évidemment que non », tempère le sondeur Sainte-Marie. Disons que les étoiles s’alignent.

Par Marc Eynaud le 14 décembre 2022

Boulevard Voltaire

"Les minorités chrétiennes sont chasées de Turquie par l'administration turque !" - Grégor Puppinck sur Radio Courtoisie le 13 décembre 2022

 

mardi 13 décembre 2022

Notre réaction à l'affaire de corruption qatarie au sein du Parlement européen

 


Communiqué de Jean-Paul Garraud, président de la délégation RN au Parlement européen du 12 décembre 2022

Depuis plusieurs jours, l’Europe de Bruxelles est secouée par une affaire de corruption à grande échelle en son sein par le Qatar. Doha aurait soudoyé des eurodéputés, notamment du groupe des Socialistes et Démocrates, et des ONG, pour que l’institution adopte une position favorable vis-à-vis du Qatar.

Cette affaire gravissime illustre la politique hypocrite de Bruxelles à l’égard Qatar, qui donne des leçons de morale à la terre entière alors qu’elle est elle-même corrompue au plus haut niveau.

En ce lundi 12 décembre, les députés du Rassemblement National au Parlement européen ont voté en faveur de la tenue d’un débat et de la mise au vote d’une résolution sur ce sujet.

En attendant que la Justice fasse son travail, nous demandons la suspension des dossiers à l’étude liés au Qatar et la mise en place d’une commission d’enquête. Nous le devons aux peuples européens, dont la méfiance pour nos institutions et la démocratie ne cesse de croître.

RN


Le nouveau Passé-Présent : Des taupes soviétiques dans les services secrets britanniques - TV Libertés le 13 décembre 2022