samedi 25 novembre 2023

Des raids d’extrême droite sur AlloCiné ?

 


Stupeur et tremblements dans le petit monde du cinéma. Comme nous le disait hier Jany Leroy, la Société des réalisateurs de films français (SRF) tire la sonnette d’alarme : la menace fasciste plane sur le septième art. « Nous assistons à une offensive résolue, massive et coordonnée de l'extrême droite sur le terrain culturel, dont le cinéma, art populaire par excellence, est une cible privilégiée. »

Pour illustrer son propos, la SRF évoque le bide du film Avant que les flammes ne s’éteignent, de Mehdi Fikri, ode militante et caricaturale à Assa Traoré. « Le film est actuellement l’objet d’une violente campagne de dénigrement relayée par la chaîne CNews et les réseaux sociaux, en particulier sur la plate-forme AlloCiné où sa "note spectateur" a brutalement chuté à 1,4, le mercredi 15 novembre au matin, jour de sa sortie en salles, avant même la première séance de 9 h […] Nous dénonçons ces manœuvres d’intimidation car elles cherchent en réalité à pratiquer une censure de fait qui ne dit pas son nom. Elles portent ainsi atteinte à la liberté de création des cinéastes et à la libre diffusion des œuvres. »

Autrement dit : si vous n’aimez pas les pires bouses décoloniales, vous êtes un dangereux fasciste d’extrême droite.

Une victimisation malhonnête et borgne

Analysons plus en détail ce communiqué teinté de complotisme. Pour commencer, la SRF reproche aux internautes d’avoir détesté le film avant même de l’avoir vu. C’est parfaitement hypocrite. Pourquoi devrait-on absolument s’enfiler les 96 minutes du film avant d’avoir le droit d’en critiquer le parti pris idéologique et le violent propos anti-police quand ceux-ci sont revendiqués par le réalisateur dans toutes ses interviews ainsi que dans sa bande-annonce ? Le public est également en droit d’émettre un avis sur le thème choisi (les pseudo « violences policières ») lorsque celui-ci a déjà fait l’objet, récemment, de plusieurs autres longs-métrages tout autant dispensables.

Passons maintenant à la « campagne de dénigrement » qu’aurait lancée CNews contre le film. Faut-il comprendre que la SRF est opposée à la liberté de la presse, l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques ? Cela constituerait une position digne des pires chemises brunes… Si nos chers amis metteurs en scène s’indignent de voir un film étrillé par les médias, pourquoi ne se sont-ils pas indignés lorsque le film Vaincre ou mourir , inspiré d’un spectacle du Puy du Fou, a été la cible des flèches empoisonnées de LibérationTélérama et L’Humanité ? S’ils s’inquiètent d’une « censure qui ne dit pas son nom », pourquoi ne se sont-ils pas inquiétés quand des élus d’extrême gauche ont remis en cause le financement public accordé au même film ?

La propagande gauchiste ne passe plus

En réalité, la SRF ne défend pas sa « liberté de création » mais son entreprise de rééducation. La critique virile d’un film ne l’indigne que lorsque celui-ci est de son bord politique. Le cinéma français veut continuer son œuvre de propagande et vit très mal la contestation de son magistère moral. Ce qu’il ne comprend pas, c’est que ce n’est pas « l’extrême droite » qui se mobilise dans l’ombre, c’est le peuple français qui n’en peut plus et qui commence à le faire savoir. Ce dernier en a assez de payer 10 euros la séance pour se faire cracher au visage et s’entendre dire que sa police est raciste, que ses ancêtres sont esclavagistes, que son pays doit tout à l’immigration.

La meilleure preuve en est l’échec patent du film Avant que les flammes ne s’éteignent : malgré une intense promotion assurée par le service public, le navet subventionné n’a pas dépassé les 2.200 entrées le jour de sa sortie, soit une moyenne de… 18 spectateurs par cinéma. Une gifle. Et comme on dit dans le métier, le public a toujours raison.

Par Jean Kast le 25 novembre 2023

Boulevard Voltaire


vendredi 24 novembre 2023

🔴 CRÉPOL : CE QU'ILS NE VEULENT PAS QUE L'ON DISE !

 

Insécurité :de Paris à Crépol (500 habitants - Drôme), Pplus aucun territoire n'est épargné !


Tribune libre de Jordan Guitton, député RN de l'Aube du 22 novembre 2022

À Crépol, dans un petit village de 500 habitants de la Drôme, lors d'une fête de village, où règne normalement un esprit champêtre et festif, des racailles en bande s'en sont pris sauvagement à des adolescents faisant 1 mort et 20 blessés.

La criminalité gangrène désormais l'ensemble du territoire français, jusqu'au plus petit village rural. L'odieux raid meurtrier de ce week-end témoigne de l'étendue de l'insécurité : elle tue partout.

Le Rassemblement National adresse son soutien à l'ensemble des habitants du village de Crépol, aux victimes et à leurs proches.

La justice doit agir rapidement et fermement face à ces criminels qui attaquent la France en son coeur, en ses dernières zones de tranquillité et en son art de vivre.

Dans l’ensemble des territoires français, dont mon département de l’Aube, l’insécurité grandiloquente gangrène toujours plus, et ce jusqu’au plus petit village rural. La presse régionale expose, d’ailleurs, tous les jours ces tristes événements.

Ce qu’il s’est passé dans la Drôme n’est donc pas un fait isolé et les chiffres du ministère de l’Intérieur en 2022 soulignent cet ensauvagement : +15 % de coups et blessures volontaires, +11 % de violences sexuelles +11 % de cambriolages de logements.

Le constat est clair et sans appel : désormais, plus aucun territoire français n'est épargné par l’insécurité !

Il y aujourd’hui dans notre pays 120 attaques au couteau par jour !

D’ailleurs, selon un article du Figaro « Pour l'année 2022, le nombre de cambriolages par habitant, est désormais plus important dans les aires urbaines de 5.000 à 10.000 habitants que dans celles de 10.000 à 50.000 habitants ».

L’insécurité, bien souvent assimilée aux grandes villes et aux quartiers difficiles, dépasse largement ces frontières géographiques.

Les actes criminels et l’ensauvagement de notre pays ne font que se succéder sans actes concrets de la part du Gouvernement, qui fait preuve d’un immobilisme consternant. Pourtant, des mesures simples permettraient d’assurer la sécurité de nos compatriotes :

Tolérance zéro vis-à-vis des crimes et délits envers les personnes,

  • Certitude des poursuites et effectivité de la peine.

  • Majorité pénale à 16 ans en supprimant l’excuse de minorité qui permet à de trop nombreux mineurs délinquants d'être jugés avec faiblesse.

  • Expulsion des délinquants étrangers.

  • Présomption de légitime défense pour nos forces de l'ordre.

  • Nous voulons que la France retrouve ses prérogatives républicaines et qu’elle replace l’autorité et l’ordre dans l’ensemble de son territoire.

Les 20 000 communes qui ont placé Marine Le Pen en tête lors de l'élection présidentielle de 2022 l’ont compris : désormais une seule personne peut garantir la tranquillité publique partout : Marine le Pen.


RN



Une nouvelle épidémie en Chine…



Vous avez bien gardé quelque part une boîte de masques, un flacon de gel hydroalcoolique, peut-être même un reliquat d’attestations de sortie dérogatoire en blanc ? Vous avez peut-être bien fait - « principe de précaution » aidant ! - parce que la Chine connaît actuellement un scénario qui rappelle clairement les débuts du covid.

L’alerte a été lancée par la Société internationale des maladies infectieuses, et l’OMS n’a pas tardé à s’inquiéter : dans des villes chinoises distantes de centaines de kilomètres éclosent des  foyers de pneumonies, touchant surtout les enfants, et dans toute la population on constate une augmentation générale des maladies respiratoires.

Afflux aux portes des hôpitaux pédiatriques, longues attentes aux urgences, fermetures de classes ici et là, le tableau classique se met en place. Mais pour l’instant, aucun décès n’a été déclaré par les autorités. On peut leur faire confiance, la Chine est une maison de verre, et la transparence sa religion...

Pour l’heure ces atteintes pulmonaires sont attribuées a mycoplasma pneumoniae, petite bactérie connue depuis quatre-vingts ans et répandue partout dans le monde, et plus densément en Chine. Mais on ne parle pas de virus, ce qui devrait nous épargner la saison 2 des ébats du pangolin et de la chauve-souris en club échangiste.

Des immunités assoupies ?

Outre la recrudescence saisonnière classique des infections respiratoires, cette flambée pourrait être la conséquence paradoxale de la drastique politique « zéro-covid » mise en place en Chine à l’époque. Avec un confinement prolongé - proche d’une détention carcérale à l’isolement -, joint à la désinfection des rues, des appartements, des personnes, des animaux et même des aliments, les systèmes de défense se seraient en quelque sorte assoupis, et devenus inaptes à réagir rapidement à une attaque microbienne après la levée d’écrou.

Un phénomène proche de celui qui expliquerait selon certains, l’augmentation du nombre des allergiques : l’hygiène moderne (voire son excès). En effet, les enfants exposés à des microbes dès leur plus jeune âge semblent moins susceptibles de développer des allergies.

Il est trop tôt pour prédire un avenir mondial à ce nouvel épisode sanitaire chinois, et si nous aurons encore à subir la litanie de croquemort du 20h d’un nouveau Jérôme Salomon, ou les talents hors pair du bonimenteur et ci-devant ministre de la Santé Olivier Véran, ou pire encore - horresco referens -, ceux d’une Sibeth Ndiaye nouvelle version ?

Karl Marx l’a dit, l’histoire se répète toujours deux fois, « la première fois comme une tragédie, la seconde fois comme une farce »...

Par Richard Hanlet le 24 novembre 2023

Boulevard Voltaire


mercredi 22 novembre 2023

François Asselineau (UPR) sur Omerta le 22 novembre 2023

 

Crépol : ce que la terreur idéologique cherche à taire



Le traitement médiatique, occulté par la gauche, du drame de Crépol (Drôme) dévoile l’ampleur du fanatisme diversitaire. Pour la presse progressiste, porte-plume de la fiction du vivre ensemble, l’assaut ethnique dont a été la cible, ce week-end, le bal populaire de ce village rural (532 habitants) n’existe pas. Tout juste s’agirait-il d’une rixe, d’un « ensauvagement » (Gérald Darmanin) entre deux bandes. La mort de Thomas Perotto, 16 ans, tué au couteau par un « Français » né à Romans-sur Isère il y a 20 ans, relèverait du fait divers. 

Cette agression est d’ailleurs comparée, par les militants de la tête dans le sable, à la violence raciste dont Mourad, jardinier de 29 ans, a été victime vendredi de la part d’un sexagénaire armé d’un cutter, qui l’a traité de « sale bougnoule » avant de le blesser à la gorge. Il y a, certes, une filiation raciste entre ces deux événements répugnants. Mais l’attaque contre la salle des fêtes, menée par une dizaine de « jeunes » armés de couteaux, appréhendés mardi par le GIGN alors qu’ils tentaient de rejoindre l’Espagne ou le Maghreb, révèle aussi un mimétisme dans sa terreur conquérante. Elle laisse voir la haine portée contre les Français par la contre-société. « On est là pour planter des Blancs », a rapporté un témoin, tandis qu’un autre a tenté de justifier la razzia en rappelant le « nettoyage ethnique »  à Gaza. Or, plutôt que d’analyser cette fracture civilisationnelle, les dénégationnistes préfèrent gloser sur « l’indécence » des indignés et la « récupération politique » qu’en ferait « l’extrême droite ».

La terreur ethnique, menée par ces bras armés de la nouvelle insécurité diversitaire, n’est pas moins grave que la terreur idéologique qui empêche depuis des décennies de s’accorder sur les faits. C’est en effet une terreur idéologique, un terrorisme intellectuel, qui interdisent de voir ce que l’on voit. Une large partie des médias est perméable à ce rejet du réel ou du contradicteur, quand ils viennent à contrarier le récit officiel sur les bienfaits de la société ouverte et multiculturelle. Comme l’écrit Gustave Thibon (1) : « Quelle que soit la résistance des faits, il faut que l’idée entre de force dans le réel. Pas assez de vertu pour incarner l’idéal ? On fera régner la vertu par la terreur. Que le résultat soit radicalement opposé au principe, le fanatique n’en a cure (…) ». 

C’est ainsi que les idéologues de l’antiracisme, qui ont fait profession de défendre les minorités ethniques coûte que coûte, ne trouvent rien à redire quand leurs protégés rejettent l’altérité, qu’il s’agisse des Juifs, des Chrétiens, des Blancs ou des Français. Les belles âmes subventionnées sont muettes devant l’antisémitisme autant que devant le racisme anti-Blancs. Thomas Perotto n’aura, en conséquence, par droit au sort de Nahel, 17 ans, dont la mort en juin par le tir d’un policier avait suscité une minute de silence à l’Assemblée nationale, saluant une « forte émotion nationale ». 

Ce mercredi, Thomas, victime trop française, n’aura droit qu’à une marche blanche.

Par Ivan Rioufol le 22 novembre 2023

Le Blog d'Ivan Rioufol

(1) Propos d’avant-hier pour après-demain, Mame

CRS, SS! Étudiants, diants diants!



Il fut un temps où le monde était binaire : il y avait le jour et la nuit, les hommes et les femmes, les professeurs et les élèves, les innocents et les coupables : le jour, le soleil éclairait l’activité humaine, la nuit, la lune baignait les dormeurs de sa veilleuse ; les hommes plantaient la petite graine et les femmes la transformaient en bébés ; les professeurs enseignaient et les élèves apprenaient ; les innocents étaient protégés et les coupables punis. Mais ça, c’était avant le progrès.

À l’ère woke, les progressistes cassent la nuit ce que les contribuables fabriquent le jour, les hommes prétendent faire pousser les bébés dans un organe qu’ils n’ont pas, les femmes peuvent exiger que l’on rende la langue incompréhensible pour ajouter une quéquette alphabétique aux adjectifs qui les décrivent, les étudiants enseignent aux professeurs leurs délires quotidiens, que ceux-ci récitent les mains jointes et les yeux baissés et les coupables de pogromes sont qualifiés de résistants, pendant que leurs victimes sont soupçonnées de fake news.

Le niveau des études baisse, mais l’éveil des étudiants s’élève proportionnellement

Plus le classement PISA de la France s’effondre, plus la conscience révolutionnaire atteint des hauteurs stratosphériques parmi les étudiants. Et plus l’école ou l’université est prestigieuse, plus la distance avec le réel s’accroît.

C’est ainsi que Sciences-Po Lyon n’autorise les « débats » qu’entre débatteurs du même avis, c’est-à-dire le leur. Sciences-Po Paris supprime les cours de danse de salon au motif que le professeur indique les pas de danse aux « hommes » et aux « femmes », qui sont des notions obsolètes. Science-Po Menton met des piquets de grève devant sa fac pour lutter contre « la censure de la Direction sur la Palestine » au nom de la « liberté d’expression ». 

Soyons précis, plus précis que la Direction de l’école et que les syndicalistes pro-palestiniens : il s’agit, pour ces incultes, de défendre « les victimes » du « colonisateur[1]», alias Israël qui, à la méconnaissance de ces étudiants, est le seul « colonisateur » de la planète. 

Du côté de la réalité

Ladite colonisation n’a jamais répondu à la définition d’une colonie, qui est la mainmise d’un État par un autre État ultramarin plus puissant, qui exploite la population et les matières premières du plus faible.

Bien sûr, utiliser les mots en fonction de leur sens est un conformisme qui sent son privilège blanc à plein nez. Les étudiants dûment woke n’ont pas ce travers. Eux attribuent aux mots leurs propres qualités. Il existe donc des mots non binaires et d’autres qui ont transitionné de leur définition originelle à un sens contraire, ou flou, voire à aucun sens, mais qui sont quand même utilisés pour leur sonorité agréable.

Seuls, les intégristes qui attribuent aux mots le sens que leur donne l’Académie française, peuvent comprendre pourquoi « Juifs » (synonyme : « israélites ») et « colonisateurs d’Israël » sont incompatibles. Pour commencer, les Juifs n’ont jamais possédé d’autre État que les royaumes juifs d’Israël, aussi prétendre que cet État a lancé depuis l’outre-mer une opération de « colonisation » sur un autre pays, plus faible, est absurde, faute de colonisateur. Que cet État plus puissant, dont la seule matière première est la matière grise de ses citoyens, ait exploité les « ressources en matières premières » du second est une hypothèse que les étudiants seraient bien en peine de démontrer. 

D’autre part, en 1967, Israël avait pris Gaza à l’Égypte, qui a refusé de récupérer ce territoire lors de la signature du traité de paix entre les deux ex-adversaires, en 1979. De plus et c’est fondamental, il n’a jamais existé, sur la planète Terre, un État palestinien qui eût pu prétendre être colonisé. D’où la chute du deuxième terme de l’équation, faute de combattus.

Enfin, et c’eût été de nature à justifier un non-lieu, cette « colonisation » s’est terminée quand les Israéliens se sont retirés sans contrepartie de Gaza en juillet 2005, avant la naissance des ignorants mentonnais qui se haussent du col. L’embargo militaire, lui, existe depuis 2007, quand le Hamas a renversé l’Autorité palestinienne, tuant des centaines de Palestiniens membres du Fatah-frère-ennemi et transformant la Bande en base militaire.

Croire ou savoir, il faut choisir

Pourquoi la Direction de Science-Po Menton a-t-elle dû préciser que « aucun slogan antisémite ne sera toléré ». Assimile-t-elle l’antisionisme à l’antisémitisme ? De fait, l’antisémitisme a fait 6 millions de morts en 1939-45 et le programme de l’antisionisme est d’en faire 7 millions de plus « du fleuve à la mer », c’est-à-dire en éradiquant l’État juif qui s’y trouve.

Le programme des grévistes, pour l’instant, se réduit à« Nous devons continuer à boycotter, à démunir et à sanctionner Israël ». Leur spécialité étant les sciences politiques, ils déploient le sens des nuances que demandent ces études pour expliquer leur action : « l’attaque récente est une conséquence directe de la violence qu’Israël inflige quotidiennement aux Palestinien·nes en Cisjordanie et à GazaLes peuples opprimés recherchent toujours la liberté et lorsque tout le reste échoue, ils se tournent vers la violence. Nous devons soutenir la Palestine.[2] »

La Direction de l’établissement possédant, apparemment, le cerveau qui fait défaut à ses élèves, comprend bien qu’un tel programme est justifié concernant l’agresseur, mais qu’il cumule bêtise et méchanceté s’il vise l’agressé. Les étudiants qui ont inversé les rôles ont le choix entre le déshonneur d’avouer qu’ils l’ont fait exprès et la guerre contre les profs pour avoir la moyenne. Ils auront les deux. On remarque au passage qu’ils ne sont pas meilleurs en maths, puisque les factions pro-palestiniennes accusent sempiternellement Israël de génocide, confondant la division et la multiplication : la population « palestinienne » a été multipliée par près de dix depuis 1948, pas divisée par un génocide ! Mais qu’importe le réel, quand on a l’ivresse de l’antisémitisme multipliée par le fla-con de l’ignorance !

[1] www.lefigaro.fr/nice/des-etudiants-de-sciences-po-menton-organisent-un-blocage-contre-la-censure-de-la-direction-sur-la-palestine-20231116

[2] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/menton/guerre-entre-le-hamas-et-israel-le-campus-de-sciences-po-menton-ebranle-par-les-publications-d-une-organisation-pro-palestinienne-2853872.html

Par Lilianne Messika le 20 novembre 2023

Causeur

Le racisme anti-Blancs a tué Thomas à Crépol, Marion Maréchal (R!) le 21 novembre 2023

Stanislas Rigault sur BFM-TV le 21 novembre 2023