jeudi 1 septembre 2022

La FRANCE est-elle INSIGNIFIANTE à l'international ? VA + Avec François Asselineau (UPR) le 27 août 2022

 

Après Cannes, Venise : le cirque Zelensky, bientôt près de chez vous



Au beau milieu de la Mostra de Venise, entre un Lion d'or d'honneur pour l'immortelle  et la projection du film d'ouverture du festival, soudain, il est apparu. C'était bien, face au public en smoking et robe longue, la même silhouette massive, le même accoutrement militaire que d'habitude ; et, sous ces yeux cernés par les veilles et l'angoisse, cette barbe de prophète armé. C'était lui, en personne, par le miracle de la télévision : Volodymyr Zelensky. Un frisson de plaisir bourgeois, qui n'était autre que celui du courage par procuration, parcourut voluptueusement l'assistance. Ainsi, à Venise aussi, on pouvait "le" voir.

Il parla de la guerre, bien sûr. Qu'il en parlait bien, avec cet air grave et cette tristesse retenue qui étaient désormais son masque habituel ! Il rappela que la guerre ne durait pas 120 minutes, mais qu'elle durait depuis 189 jours. Que c'était bien trouvé ! Suivirent, morbide générique, une liste d'enfants et d'adolescents ukrainiens tués par les bombes. Ça marche toujours bien, les massacres d'innocents. Et ce parallèle avec le générique de fin d'un film : tout en subtilité !

A Venise, on n'en revenait pas. Ainsi donc, on avait réussi à avoir son petit quart d'heure de Zelensky... Le silence qui suivit cette expérience collective, quand l'image du libérateur en 4x3 s'éteignit, c'était encore du Zelensky. Pourtant, au palais des festivals, on ne pouvait pas fournir de canons Caesar, ni de missiles américains. Tout au plus saint Volodymyr de Kiyv, libérateur et voïvode, aurait-il pu envoyer quelques-uns de ses comparses faire la quête, l'air triste et habillés, eux aussi, par le rayon chasse de Decathlon, pour faire plus martial.

Vous souvenez-vous, dans Le tour de Gaule d'Astérix, de ce metteur en scène d'avant-garde, squelettique et enflammé, qui disait, sur la scène d'Avignon, à un public en pâmoison  « Vous êtes laids ! », à quoi les matrones ravies réagissaient en se disant l'une à l'autre : « C'est insupportable de vérité ! » C'est ce  de gifle morale que venait chercher le public repu et trié sur le volet de la Mostra. Inviter quelqu'un pour qu'il vous reprocher de vous amuser : fallait y penser.

On dit que l' est en train de perdre à Kherson. Les États-Unis finiront-ils par lâcher leur marionnette ? Alors Zelensky n'aura plus qu'à retourner au spectacle vivant. Seulement voilà : quand on a été président du plus gentil de tous les pays gentils, et qu'on a tenu tête, sans même prendre le temps de mettre une cravate, au plus méchant de tous les pays méchants, il y a des choses qu'on ne peut plus faire. Avant sa canonisation, saint Volodymyr le Russovore s'était par exemple fait connaître en jouant du piano debout sans les mains, ou en dansant en talons aiguilles. Ensuite, il avait, on le sait, incarné le président de la République dans une série à succès.

Lorsqu'il reviendra à la vie civile, il réjouira petits et grands en incarnant, à la salle Jacques-Villeret d'un quelconque chef-lieu de canton, ou à la quinzaine des fromages à pâte de l'hypermarché du coin, le rôle austère et tendu qui l'a rendu célèbre : mélange improbable et factice de Buster Keaton et de John Wayne. On se souviendra alors avec émotion de l'époque où, dans les grandes soirées mondaines, comme à Cannes ou à Venise, si t'avais pas eu ton mot de Zelensky, t'avais raté ta vie. « Vous vous souvenez, dirons-nous, c'était l'époque où on avait du gaz et de la lumière ».

Par Arnaud Florac le 1er septembre 2022

Boulevard Voltaire

Quand Gérald Darmanin acte le démantèlement de la Police nationale


Tribune libre d’
Aurélia Beigneux
Député français RN au Parlement européenMembre de la Commission environnement du 31 août 2022
 
C’est un nouveau fardeau pour des agents de police déjà à bout : le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, souhaite créer des Directions départementales de la police nationale. Le but théorique est d’unifier tous les services de police d’un même département, de la police judiciaire au renseignement, en passant par la police aux frontières, sous une seule autorité. Le gouvernement justifie ce changement, déjà testé dans des départements comme le Pas-de-Calais, par une volonté de mieux piloter l’action de terrain et de simplifier l’action de la police.
Ces arguments tout à fait officiels cachent une réalité malsaine, car encore une fois, cette réforme s’annonce sans l’accord des premiers concernés : les policiers. Il est vrai que Gérald Darmanin préfère écouter les délinquants plutôt que ses propres administrés. Dans ce cas de figure, ces derniers redoutent que les nombreuses spécificités de la police soient diluées dans une direction unique aux ordres de Paris. Plus grave encore, ils redoutent que la police judiciaire soit désormais constamment épiée par le cabinet du ministre, ce qui pose la question de son indépendance, notamment et surtout dans les affaires qui concernent les élites politiques. Enfin et plus grave, ce projet montre que le ministère de l’Intérieur ne fait plus confiance à ses propres agents de la paix, préférant dissoudre la diversité des services plutôt que de laisser les cadres locaux expérimentés aux manettes.
Les agents de police le savent, cette réforme avait déjà été testée il y a quelques années. Son résultat était un échec complet. Elle avait provoqué la gronde des cadres de la police qui dénonçaient une construction administrative complètement déconnectée de la réalité. 
Pourquoi alors le gouvernement actuel veut-il l’imposer de force, si ce n’est par volonté de provoquer une fois de plus nos forces de l’ordre ?
Le pays brûle depuis 20 ans. Chaque jour, des Français sont victimes d’une incivilité devenue meurtrière, d’une délinquance devenue occupation du territoire et d’un laxisme devenu impunité totale. Plutôt que de lancer un grand programme de reconquête de notre territoire, comme le souhaite Marine Le Pen depuis le début de son engagement, Gérald Darmanin concentre son énergie sur des mesures administratives faisant uniquement les affaires de ses amis du gouvernement.
Dans un climat de guerre civile, cette déconnexion doit cesser. Les sondages montrent que le Rassemblement National est le mouvement le plus crédible sur les questions de sécurité, au-delà même de nos électeurs. Il est plus que temps que les urnes nous donnent les commandes de la situation !

 

"La France a flirté avec des prêcheurs de haine comme Hassan Iquioussen !" - Jean-Frédéric Poisson (Via), Ligne Droite (Radio Cortoisie) le 1er septembre 2022

"Vous avez aimé le passe vaccinal? Vous allez vibrer pour le passe carbone !" - Nicolas Vidal, Ligne Droite (Radio Cortoisie) le 1er septembre 2022

 

mercredi 31 août 2022

Lettre de Marine Le Pen (RN) à Elisabeth Borne au sujet de la crise énergétique le 31 aout 2022

 



Katya Kopylova, diplomate russe : “La réponse en cas d’attaque sera radicale !”, Livre Noir le 31 août 2022

 

Les légèretés de la macronie vont coûter cher aux Français




Comment les prendre au sérieux ? Comme leur faire confiance ? Les dirigeants politiques de ces dernières décennies conduisent le pays à la catastrophe. Le mépris qu’ils portent aux gens ordinaires et au bon sens est proportionnel à leur légèreté et leur manque de discernement. Après avoir, d’autorité, ouvert la France à une colonisation extra-européenne qui met en péril d’unité nationale, après avoir fait de l’Ecole « pédagogique » et « inclusive » un champ de ruine, après avoir endetté les générations futures pour acheter dans l’urgence une paix sociale, voici venu, avec la macronie, le temps des coupures possibles de gaz et d’électricité dès cet hiver. 

Le russe Gazprom, en réplique aux sanctions européennes contre l’offensive Russe en Ukraine, suspendra totalement ses livraisons de gaz à Engie dès ce jeudi. Lundi, le premier ministre, Elisabeth Borne, a menacé les entreprises d’un rationnement : « Si chacun ne prend pas sa part, des coupures brutales pourraient avoir lieu du jour au lendemain, avec de graves conséquences économiques et sociales ». Le prix de l’électricité, qui était il y a un an de 85 euros le mégawattheure, atteint 1300 euros. Il pourrait dépasser les 2000 euros. Or c’est Borne, alors ministre de la transition écologique, qui justifiait en 2019 l’arrêt de 14 réacteurs nucléaires, en vue d’une réduction de la part du nucléaire à 50% en 2035, selon le vœu absurde des écologistes. Elle expliquait, à la suite d’Emmanuel Macron : « Cela ne posera pas en soi un problème de sécurité d’approvisionnement ». Ces gens-là n’entendent pas s’excuser.

L’inventaire des bêtises de la pompeuse macronie reste à dresser. Retenons déjà le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire. Il avait déclaré, le 1er mars 22 : « Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe », en riposte à l’agression de Poutine contre l’Ukraine. En réalité, ce sont les Européens, et singulièrement les Français de la classe moyenne, qui vont subir les conséquences de la déraison des va-t-en-guerre, à travers une inflation que le gouvernement va tenter, par des aides financées par l’emprunt, de faire supporter par les générations suivantes. N’oublions pas la propagande mensongère du gouvernement sur les vaccins anti-Covid : « Tous vaccinés, tous protégés » ; « Se faire vacciner, c’est se protéger et protéger les autres ». Les nombreux multi-vaccinés qui ont attrapé le Covid cet été sont en droit de se sentir floués, ainsi que ceux qui ont été contaminés par eux. 

Décernons néanmoins un encouragement à Gérald Darmanin qui, après avoir soutenu le 28 juillet 2020 : « Je suis à 100.000 lieues de faire le lien entre immigration et insécurité » et après avoir nié la responsabilité des racailles de Seine-Saint-Denis dans les violences passées au Stade de France, a admis le 21 août : « Il y a une part importante de la délinquance qui vient de personnes immigrées (…) Nous avons un problème de délinquance étrangère » (48% à Paris, 55% à Marseille). Et si les « élites » politiques commençaient par se remettre en question, ouvrir les yeux et réfléchir au-delà des clichés ?

Par Ivan Rioufol le 31 août 2022

"Sandrine Ruisseau est une marathonienne de la connerie !" - François Bousquet, Ligne Droite (Radio Cortoisie) le 31 août 2022

Guerre des trafiquants de drogue à Besançon : stoppons l’impunité des criminels !




Communiqué des élus régionaux RN de Bourgogne-Franche-Comté Olivier Damien, Géraldine Grangier, Jacques Riccadietti, Nathalie Fritsch et Thomas Lutz du 31 août 2022

En cette fin de mois d’août, le quartier de la Planoise à Besançon vient d’être le théâtre d'un nouveau règlement de compte entre trafiquants de stupéfiants. Deux adolescents de 16 et 15 ans ont ainsi été victimes des tirs d'une bande rivale.


Cette situation qui devient endémique dans la cité bisontine est le fruit d'une dégradation profonde des conditions de sécurité que connaît notre région, à l'instar de l’ensemble de notre pays.

Les solutions de circonstances apportées par l'envoi de forces mobiles sur place ne résoudront en rien ces problèmes de délinquance qui sont aujourd’hui solidement installés dans nos quartiers.

C’est en effet une solution globale qu’il faut désormais envisager pour que la sécurité revienne dans nos villes et nos villages. D’abord, en sanctionnant lourdement les criminels interpellés par la police. En donnant ensuite aux forces de l’ordre les moyens matériels et juridiques nécessaires pour lutter efficacement contre ce fléau. En déterminant enfin au niveau national une vraie politique de sécurité publique seule à même d’endiguer le développement du crime et de la violence auquel nous assistons aujourd’hui.

Face au laxisme des pouvoirs en place, le Rassemblement National est porteur de propositions concrètes et efficaces pour que les françaises et les français puissent enfin retrouver la paix et la sécurité. Il est grand temps qu’il soit entendu. 

Page Facebook du RN Bourgogne-Franche-Comté

mardi 30 août 2022

La Cour de justice de l’UE au soutien des navires pro migrants des ONG



Communiqué de  Jean-Paul GarraudDéputé français au Parlement européenPrésident de la délégation du Rassemblement National au Parlement européen du 30 août 2022

Après avoir récemment restreint les conditions des contrôles aux frontières, la Cour de justice de l’UE a, le 1er août dernier, durci les conditions de contrôles et d’immobilisation de ce type de navires par les autorités portuaires d’États membres les accueillant.

Saisie par un tribunal italien à l’occasion d’une affaire impliquant deux navires de l’ONG Sea Watch, bien connue pour débarquer des milliers de migrants sur le continent, la Cour a exigé que le contrôle par l’État concerné ne soit possible que si cet État démontre, de façon concrète et circonstanciée, l’existence d’indices sérieux d’un danger pour la santé, la sécurité, les conditions de travail à bord.

Ainsi, le nombre de personnes à bord, même largement supérieur à celui autorisé, ne permet pas, à lui seul, un contrôle par les autorités.

Toujours selon la justice européenne, l’immobilisation d’un navire n’est justifiée que s’il existe un danger manifeste.

Face à cette légalisation de l’immigration clandestine, les États membres doivent résister.

RN