lundi 7 novembre 2022

Affaire Fournas : les Français pas dupes de la NUPES !



L’Assemblée nationale vient d’être le théâtre d’une formidable manipulation stalinienne contre Grégoire de Fournas et le Rassemblement National. Rappelons brièvement les faits. Le député LFI Carlos Martens Bilongo expose sur un ton calme la situation du navire Ocean Viking de l’association SOS Méditerranée, qui a l’habitude de croiser aux limites des eaux territoriales de Libye pour aller recueillir des embarcations de migrants illégaux. Il reprend les arguments émotionnels habituels sur la situation de détresse des pauvres gens et la nécessité de les recevoir dans les ports européens. Chacun sait que ces actions font, depuis des années, le jeu des passeurs et ne sont pas sans arrière-pensées. Alors que M. Martens Bilongo évoquait la détérioration des conditions météorologiques rencontrées par le navire, le député RN Grégoire de Fournas s’exclame : « Qu’il retourne en Afrique » (compte rendu de l’Assemblée nationale). Son adversaire ne s’en émeut pas le moins du monde et se borne à dire : « Pas du tout. » À l’évidence, il ne se sent pas visé car, en effet, il ne l’était pas.

Immédiatement, certains dans le groupe LFI voient le parti à tirer de cette interpellation, mentent de façon éhontée en affirmant que leur collègue était victime d’une odieuse agression verbale raciste, ce que démentent à la fois le compte rendu et les témoignages des huissiers. Mais la machine médiatico-politique s’emballe sur ce mensonge qui fait le tour de la planète. Certes, l’interpellation ne faisait pas dans la nuance et ne répondait pas à la complexité du problème des flux migratoires ininterrompus de l’Afrique vers l’Europe, question sur laquelle l’Union européenne a démontré son impuissance et la convention de Dublin son caractère inadapté. Mais il ne s’agissait que d’un débat à l’Assemblée nationale, pas d’une conférence internationale sur la question. 

La conclusion est connue, le bureau de l’Assemblée a prononcé la sanction la plus lourde alors qu’elle ait pu trouver sous prétexte d'une « manifestation troublant l’ordre ou qui provoque une scène tumultueuse » sans retenir la mise en cause personnelle d’un député. Ce qui valide bien la défense de M. de Fournas. Décision aussi illogique qu’injuste, mais il est vrai que nous sommes dans le droit fil d’un procès stalinien et non dans la recherche de la vérité.

Une fois encore, l’extrême gauche et la gauche ont fait preuve de leur insupportable prétention à incarner la vertu. Dangereuse prétention. Robespierre ne glorifiait-il pas « la terreur sans laquelle la vertu est impuissante » (discours à la Convention du 5 février 1794). Et nous sommes bien dans une logique d’intimidation et de mensonge de nature totalitaire. Cette gauche, ce « camp du progrès », qui se prétend l’incarnation du bien est d’une insondable indécence, elle qui, historiquement, a soutenu, été complice ou a encensé des régimes parmi les plus criminels de l’Histoire humaine : la terreur jacobine, la terreur bolchevique, Pol Pot, Mao, Castro, Hô Chi Minh, et qui ne s’émeut guère de la permanence des régimes communistes totalitaires en Chine, en Corée du Nord, au Vietnam, au Laos ou à Cuba. 

Faut-il leur rappeler le génocide vendéen, les décrets de terreur rouge de Lénine, les crimes de l’Armée rouge de Trotski, le Goulag, la dékoulakisation, Katyń, les purges de Staline, pourtant adulé en son temps, l’écrasement dans le sang de la révolté hongroise, le génocide des Khmers rouges (Le Monde, égal à lui-même, avait titré « la ville est libérée », le 17 avril 1975, quand Pol Pot avait conquis Phnom Penh), les boat people vietnamiens ou cubains. Leurs drapeaux rouges sont aussi imbibés de sang que les drapeaux rouges frappés de la croix gammée et les deux totalitarismes frères ennemis concourent dans le crime de masse. En matière de respect de la personne humaine, cette gauche française néo-marxiste léniniste qui, à l’image de Mélenchon, aime à se réclamer de Robespierre, tyran totalitaire « made in France », criminel contre l’humanité et génocidaire (Jacques Villemain, Génocide en Vendée, 2020), ne devrait que se taire.

Si cette gauche est indécente, la « Macronie », elle, est écœurante de suivisme et de mauvaise foi. Sans la moindre retenue, elle a fait sienne l’interprétation mensongère de LFI. Le RN est la seule opposition sérieuse à notre pathétique président de la République, tous les moyens sont donc bons pour le diaboliser, y compris une phrase sortie de son contexte et déformée, car la vérité importe peu : « Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose. »

Les LR, comme à leur habitude, ont été affligeants de lâcheté et se sont montrés pour ce qu’ils sont, les supplétifs de la majorité relative de Macron. À la vérité, seuls Nadine Morano, François-Xavier Bellamy et Bruno Retailleau ont sauvé ce qui reste d’honneur à cette formation.

Cette misérable palinodie démontre une fois encore les complicités « naturelles » qui lient les membres de l’oligarchie médiatique et politique pour maintenir un système qui gouverne mal et croit encore se défendre bien. Tout cela n’aura qu’un temps. Comme disait Abraham Lincoln : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » 

Le Rassemblement National vient d’élire Jordan Bardella à sa tête. Il pourrait bien donner du fil à retordre à « l’establishment ».

Par Stéphane Buffetaut, vice-président du CNIP le 6 novembre 2022

Boulevard Voltaire

L’affaire Fournas ou le naufrage de l’anti-racisme, Vincent Trémolet de Villers sur Europe 1 le 7 novembre 2022

Guillaume Peltier (Reconquête !) sur Europe 1 le 7 novemvre 2022

Disneyland Paris fête ses 30 ans d’occupation mentale - Cette année-là - TV Libertés le 6 novembre 2022

samedi 5 novembre 2022

Discours de Jordan Bardella (RN) à Paris le 5 novembre 2022

 

Notre “élite” est-elle seulement incompétente, ou trahit-elle ? (3)



“Gloire aux pays où l’on parle, honte aux pays où l’on se tait.” Cette phrase fut prononcée par Georges Clémenceau devant l’Assemblée. Elle prend un singulier relief aujourd’hui quand des députés trahissent l’Institution à laquelle ils appartiennent et écrivent ainsi un chapitre supplémentaire au livre déjà bien long du naufrage de la Ve République, organisé systématiquement par des flibustiers de la démocratie et les pilleurs d’épaves de la France. Le député De Fournas vient d’être condamné à la peine la plus lourde possible au sein de l’Assemblée, à savoir son exclusion pour une quinzaine des travaux parlementaires et la division de son indemnité de moitié pour une durée de deux mois. Cette sanction rarissime, la seconde seulement au cours de la Ve République, n’a aucun fondement. Elle atteint le coeur même de l’institution parlementaire puisqu’elle censure la parole d’un élu du peuple, détenteur de la fonction tribunicienne qui consiste au sein de l’hémicycle à être pleinement libre de ses propos. 

Il a le droit d’exprimer ce que le citoyen aimerait pouvoir dire sans l’oser, y compris de penser qu’une loi est mauvaise puisqu’il a le pouvoir de la changer. On comprend que l’Assemblée elle-même limite ce pouvoir puisque la Justice ne peut théoriquement juger des discours tenus dans l’enceinte du pouvoir législatif. Bien sûr, l’insulte, l’injure, la diffamation doivent y être sanctionnées suivant les modalités prévues par le règlement intérieur, mais en aucun cas l’expression d’une pensée politique conforme aux idées du groupe auquel appartient l’élu, qui sont justement celles pour lesquelles les électeurs l’ont choisi. Or, dans le cas présent, un procès d’intention idéologique a permis, grâce à la déformation grossière du sens d’une phrase, d’obtenir une condamnation qui frappe notre démocratie plus que le député visé lui-même.

Cette sanction est une infamie. D’abord, elle ne s’explique que par la mauvaise foi de ceux qui l’ont votée. Un député d’origine africaine membre de la France Insoumise, c’est-à-dire de l’extrême-gauche évoque lors d’une question d’actualité un bateau de migrants en Méditerranée qui ne peut accoster en Europe. Il s’agit  d’un navire transportant dans l’illégalité des clandestins suivant le processus habituel : une association s’intègre par idéologie dans le flux migratoire illicite en prenant en charge les passagers abandonnés volontairement au large des côtes par des passeurs. Sous couvert de mission humanitaire, elle est complice de ce trafic mené contre la volonté des Etats européens et de leurs peuples à l’instigation de groupes de pression intolérants qui polluent la démocratie dans toute l’Europe en imposant leurs priorités contre la volonté populaire grâce à une presse de connivence. Très logiquement, le député de Fournas commente à haute voix  : “Qu’il retourne en Afrique”. Il s’agit du bateau, et ce disant le membre du RN exprime le refus de tout laxisme envers l’immigration illégale, en ligne avec les idées de son groupe. Le compte-rendu est précis. Il n’a pas dit : “retourne en Afrique”, comme la triste présidente de l’Assemblée le prétend, et n’a même pas prétendu utiliser le pluriel, suivant l’alternative sémantique proposée par les casuistes de nos médias : si c’est “ils”, ce sont les migrants, si c’est “il”, ce peut être le député noir qui posait la question, et alors c’est raciste. 

Non, c’est “il”, c’est le bateau, et ce n’est pas raciste sauf pour de nombreux “représentants” du Peuple français à commencer par la Nupes et une partie de la macronie qui pensent que toute opposition à l’immigration est raciste. A LFI, c’est donc clair : singulier ou pluriel, c’est raciste, et pour noircir le trait, ils affirment que celui-ci s’adressait au collègue d’origine africaine, et non aux migrants. Cette interprétation ne résiste pas une seconde à l’audition de la séance. L’auteur confirme et clarifie immédiatement son propos tandis que la “victime” n’adhère au sens donné par ses collègues que lorsque ceux-ci l’ont convaincu de l’opportunité politique de la polémique. Que les partisans du pouvoir et plus encore les députés LR dont la lâcheté n’est, hélas, pas nouvelle, aient conforté cette manipulation, ce mensonge collectif et intéressé, est une insulte à l’Assemblée et à leur écharpe.

En effet, on pouvait croire que malgré le laisser-aller vestimentaire, comportemental et langagier de l’extrême-gauche, cette vulgarité affichée qui est une injure au Peuple qu’elle représente, il subsisterait néanmoins des vestiges de la dignité d’un statut prestigieux, un minimum de solidarité avec tous ceux qui partagent cet honneur, un reste de respect de la vérité, dès lorsqu’on la connaît. Non, il fallait au moment où le Rassemblement National élit son président, démontrer que ce parti n’était pas dédiabolisé, qu’il conservait son essence nauséabonde et sulfureuse. Pour le ramassis de la Nupes, triste survivance de 1793, il fallait se refaire une santé sur le dos d’un parti dont l’opposition était plus intelligente, fût-ce au prix d’une manipulation éhontée. Pour le marais macronien, c’était une occasion de rejeter les extrêmes. Pour LR, ce mouvement décérébré et sans épine dorsale, c’était un nouvel étalage de sa vacuité. Ces “députés” ont fait de l’Assemblée Nationale, un instrument de leurs tactiques politiciennes, ont préféré l’efficacité de la manoeuvre à la vérité. La majorité des médias a suivi en titrant toujours sur le “racisme”, en bons spécialistes de la désinformation et de la calomnie.

Il n’y a aucun racisme dans l’intervention de De Fournas, sauf à penser que toute opposition à l’immigration est raciste. Il y en a au contraire beaucoup chez ceux qui ont projeté sur autrui leur manière de penser, à savoir qu’un député français noir est un noir avant d’être député. C’est vrai que si de Fournas l’avait cru, il n’aurait sans doute pas évoqué l’Afrique, mais c’est précisément parce qu’il n’est pas raciste qu’il l’a fait. Il a le malheur de privilégier l’intérêt national, et c’est cela qui est devenu impossible sous la pression d’une idéologie dominante, minoritaire dans la population, mais majoritaire dans les médias et dans notre prétendue élite. 

Un Etat qui accorde la suprématie à une idéologie qui va jusqu’à criminaliser les opinions divergentes est plus proche d’un régime totalitaire que d’une démocratie libérale. L’antiracisme est parvenu à faire de la priorité nationale évidemment légitime un crime de la pensée, comme aurait dit Orwell, qui vise à interdire toute résistance au remplacement de population et à l’effacement de l’identité française. C’est à cette entreprise suicidaire que la majorité des députés s’est livrée, mi par idéologie, mi par calcul politicien.

Le pouvoir législatif écrasé par la personnalisation du pouvoir présidentiel, laminé par l’abus du 49-3 qui permet au président de passer outre son absence de majorité dans le pays, s’est aujourd’hui discrédité. Sans séparation des pouvoirs, la France n’est évidemment plus une démocratie digne de ce nom. La macronie l’a trahie et tuée !

Par Christian Vanneste le 5 novembre 2022

Le blog de Christian Vanneste

On décrypte "L'INCIDENT" de l'Assemblée nationale, VA + le 4 novembre 2022

Sécession : Manuel de résistance à l'oligarchie - Eric Verhaeghe dans Le Samedi Politique, TV Libertés le 5 novembre 2022

 

vendredi 4 novembre 2022

Terrorisme intellectuel à l’Assemblée nationale !



A certains moments, on est obligé de se pincer pour se confirmer qu’on ne rêve pas.

Nous venons d’en avoir un nouvelle preuve avec la dernière bouffonnerie qu’a organisée la « représentation nationale », à l’occasion des questions au gouvernement, mercredi 2 novembre.

Un député LFI interpelle le gouvernement à propos d’un bateau de migrants, en provenance d’Afrique, en difficulté pour accoster sur nos côtes du fait d’une mauvaise météo.

Il n’a pas le temps de terminer son intervention qu’un député RN lance « qu’il retourne en Afrique ! ».

Toute personne sensée comprend qu’il s’agit du bateau… qui n’a qu’à rebrousser chemin puisqu’il ne peut accoster, et n’a donc qu’à retourner d’où il vient, l’Afrique.

Mais voilà, il se trouve que le député LFI est… noir.

Les provocateurs de la LFI voient immédiatement comment exploiter la situation et créer un incident notoire.

Ces sinistres membres de la LFI font semblant de comprendre que le « Qu’il retourne en Afrique ! » s’adresse au député « noir » et non au bateau.

C’est donc une épouvantable agression « raciste » contre un membre du parlement.

Scandale… interruption de séance, regroupement de députés face au « perchoir », émoi de l’assistance. Bref, la totale.

Aujourd’hui, le Bureau de l’Assemblée nationale va se réunir. Il est composé de 22 membres, dont 3 membres du RN. A l’ordre du jour : la sanction qu’encoure ce député RN pour sa déclaration « raciste ».

Il y a 4 sanctions possibles dans le règlement de l’Assemblée nationale : Rappel à l’ordre, rappel à l’ordre avec inscription au PV (avec perte d’une partie de l’indemnité parlementaire), la censure (avec exclusion temporaire - quinze jours maximum - de l’Assemblée nationale) et la censure avec exclusion temporaire (jusqu’à deux mois maximum).

Si le Bureau de l’Assemblée décide de proposer la sanction la plus lourde, c’est l’Assemblée en séance plénière qui doit la décider par un vote.

Tous les groupes, autres que le RN, demandent la sanction la plus lourde.

Tout le monde l’a compris ce sera donc une vote politique. En fait, pour ou contre le RN !

L’affaire est donc pliée avant même le vote. Ce sera donc certainement la sanction maximum.

Que faut-il retenir de tout cela :

  • Il est interdit de se déclarer opposé à l’immigration
  • Ce crime ayant été commis par ce député RN, il doit être impitoyablement châtié.

Manuel Bompard (LFI) a fait pour sa part une déclaration stupéfiante : « Si cela avait été un député breton, le député RN n’aurait pas dit cela »… En clair, le député LFI concerné n’est pas un député « normal ». Pour Bompard, il est avant tout un homme… noir.

C’est une déclaration clairement raciste. Normal, Bompard est englué dans la « lutte des races » chère à la LFI. Wokiste un jour, wokiste toujours !

Et personne ne trouve à redire à une pareille déclaration.

Rappelons enfin qu’il y a quelques semaines un député macroniste avait fait en séance à l’Assemblée nationale, un salut nazi.

Pour lui la sanction avait été… un simple rappel à l’ordre. Sans inscription au PV (donc sans sanction financière). Et aucun bien-pensant n’avait trouvé à y redire. L’indignation à géométrie variable !

Au final, retenez que tous les coups les plus tordus seront faits aux patriotes… qu’on se le dise.

Le 4 novembre 2022

Synthèse nationale

Incapable d'exécuter les OQTF, Darmanin trouve une parade : le concept de «métier en tension»



Communiqué d'Edwige Diaz, Député RN de Gironde du 2 novembre 2022

Dans un entretien au journal Le Monde, le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a fait part de sa volonté de créer un titre de séjour « métier en tension » visant à régulariser les clandestins qui travailleraient dans des métiers confrontés à une pénurie de main-d’œuvre.

A travers cette manœuvre politicienne très dangereuse, Gérald Darmanin tente de faire diversion depuis ses échecs flagrants en matière de lutte contre l’immigration clandestine, largement mis en évidence par les drames « Lola » et « Roanne ».

Cette proposition aura des conséquences tout à fait contreproductives car elle ouvrira totalement les vannes de l’immigration.

En effet, la liste des « métiers en tension » étant évolutive, il semble évident que les associations immigrationnistes militeront pour l’élargir ouvrant ainsi la voie à des régularisations massives.

De plus, cette décision ne constituera rien d’autre qu’une nouvelle filière d’immigration, car de très nombreux clandestins prétexteront vouloir travailler pour être régularisés. Enfin, elle continuera d’organiser le dumping social, en pesant à la baisse sur les salaires grâce à l’utilisation d’une main-d’œuvre moins coûteuse.

Face à cette annonce, il est utile de rappeler qu’en responsabilité,  le Rassemblement National ne fera jamais miroiter à un clandestin qu’il sera, un jour, régularisé, de manière à le dissuader de venir dans notre pays.

Plutôt que d’encourager le recours à l’immigration pour lutter contre les pénuries de main-d’œuvre, nous inciterons les chefs d’entreprise à revaloriser les salaires de leurs employés en les augmentant de 10%, dans la limite de 3 fois le SMIC, avec une exonération des cotisations patronales.

Puis, nous revaloriserons le travail manuel, en permettant l’accès à l’apprentissage dès 14 ans. Enfin, concernant la formation professionnelle, nous pallierons  l’inadéquation entre la demande des chefs d’entreprise et les formations dispensées par les organismes.

Il semble nécessaire de le rappeler : une personne entrée ou restée sur le territoire en violation de la loi est dans l’illégalité, elle doit donc être expulsée !

RN

« Qu'il retourne en Afrique » : La France Insoumise nous mène en bateau !, Gilbert Collard (Reconquête !) le 4 novembre 2022