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mercredi 21 septembre 2022

Ursula Von de Leyen, un danger public pour l’Europe !

Je n’ai pas école !



Communiqué de Nicolas Dupont-Aignan, Président de DLF et d'Erick DamaisinDélégué National pour la dignité des personnes en situation de handicap de DLF du 20 septembre 2022

Comme chaque année, ce jeudi 1 septembre, des millions d’enfants ont repris le chemin de l’école.

Mais pas pour des milliers d’enfants en situation de handicap !

Sur les 400 000 enfants en situation de handicap, 18 % n’ont aucune heure de scolarisation par semaine, 33 % en ont entre 1 h à 6h, 22 % entre 6 et 12 h, et 27 % ont plus de 12 h.

Mais comme chaque année, le ministre de l’éducation nous dit que tout va bien, que tout va mieux ! Il dit par exemple qu’ils ont créé des milliers de nouveaux contrats.
Mais comme dirait E. Macron, c’est une entourloupe !

L’entourloupe est très simple : par exemple, si une AESH avait un contrat de 20 h avec un enfant, on lui attribuera désormais 2 enfants – 10h pour chaque enfant – et donc deux contrats. L’Etat comptabilise les contrats en fonction du nombre d’heures allouées par la MDA (Maison Départementale à l’Autonomie), et non en fonction du besoin et du confort de l’enfant. Une AESH est souvent amenée à accompagner jusqu’à 4 enfants. Pour info dans le seul collège de mon fils, il manque en ce début d’année 4 AESH. Au minimum 10 enfants n’ont donc pas d’accompagnement scolaire.

Mais le pire ce sont ces milliers d’enfants handicapés qui ne pourront même pas rejoindre les bancs de l’école !

Pour les élections Présidentielles Nicolas Dupont-Aignan avait anticipé et proposé dans son programme plusieurs mesures constructives et concrètes. Les enfants handicapés et les AESH étaient au cœur du projet.

Agir pour les enfants en situation de handicap

24. Revoir le dispositif d’insertion à l’école des enfants en situation de handicap et garantir une prise en charge par l’éducation nationale dès l’âge de 3 ans
25. Augmenter le nombre d’IME (Institut Médico-Éducatif) pour les enfants en situation de handicap dont la santé ne permet pas d’être scolarisés en milieu ordinaire (1250 IME pour 65 000 places)
26. Encourager le développement de l'apprentissage de la Langue des Signes Française

 28. Simplifier les démarches et les dossiers

➔ Plus de détails sur le programme.

Si les AESH (Accompagnant des Elèves en Situation de Handicap) étaient mieux rémunérées,  mieux formées et mieux considérées, le recrutement serait bien plus performant.

L’UNAPEI (Union Nationale des Associations de Parents de Personnes Handicapées d’Enfants Inadaptés) qui se bat tous les jours pour une société solidaire et inclusive lance la campagne mobilisation citoyenne « J’ai pas école ».

Les témoignages valent tous les discours :

4 ans que Kenzo est sur liste d'attente pour un IME. Toujours pas de place pour septembre. Il a passé 3 ans en grande section avec une instit' formidable qui l'accueillait 20h par semaine. Elle voulait le garder dans sa classe 1 année de plus mais l'académie a refusé. Kenzo est porteur d'une trisomie 15 il est non verbal, pas propre et aucune autonomie. Nous savons donc que le CP n'est absolument pas adapté pour lui. Il n’ira que quelques heures juste pour dire qu'il est scolarisé et le reste du temps il sera à la maison. Je ne sais même pas quand il fera sa rentrée. Nous devons faire une réunion pour organiser tout ça.

Debout La France

jeudi 7 juillet 2022

Nicolas Dupont-Aignan : « La raison d’État, c’est ne pas céder au chantage émotionnel »



Nicolas Dupont-Aignan réagit au discours de politique générale d'Élisabeth Borne, ce mercredi 6 juillet, à l'Assemblée nationale. L'occasion d'évoquer avec lui la question du rapatriement des enfants et épouses de djihadistes.
Marc Eynaud : Vous sortez de l’Hémicycle et vous avez écouté le discours d’Élisabeth Borne ainsi que des principaux groupes d’opposition. Ce jour-là, nous avons appris aussi que des épouses de djihadistes et plusieurs enfants seront rapatriés en France. Ce gouvernement est-il à même de régler cette question parmi tant d’autres ?
Nicolas Dupont-Aignan : Le discours de Mme Borne était pathétique. Elle a prononcé le discours qu’elle aurait prononcé si Macron avait eu une majorité absolue. Il n’y a donc aucune volonté de tendre la main aux représentants de l’opposition pour gouverner en prenant en compte le vote du 19 juin.
Ces décisions sont totalement contraires à l’intérêt national, comme celles de rapatrier les familles de djihadistes. Comme si, aujourd’hui, la priorité de la France était de rapatrier des djihadistes. C’est une pure folie. On marche sur la tête. On se demande si ces gens sont sérieux et ont compris ce qui allait se passer.
La raison d’État est de ne pas céder au chantage émotionnel. La situation est liée à la décision des djihadistes. Ils sont responsables de leur famille. Arrêtons cette façon de procéder. Je crois que l’enjeu est d’éviter tout djihadiste sur le sol français. Voilà pourquoi j’avais proposé que ceux qui étaient en prison ne reviennent pas de si tôt.
M. E. : Élisabeth Borne a très brièvement parlé d’insécurité qui empoisonne la vie des Français. Elle a aussi parlé de la planète et de beaucoup d’autres sujets.  Le sujet de l’insécurité est-il présent au gouvernement ?
N. D.-A. : C’est une figure de style, car à l’exception de nouveaux moyens pour la police, il faudra voir la réalité de ses promesses. Il n’y a pas de compréhension d’Élisabeth Borne. À partir du moment où Dupond-Moretti néglige les victimes et reste garde des Sceaux, comment voulez-vous que cela change.
Or, le problème de fond de l’insécurité en France est la politique pénale laxiste.
M. E. : Comment espérez-vous peser dans cette législature ?
N. D.-A. : Toujours de la même façon. J’ai toujours dit que je gardais mon indépendance. La preuve est que je vais voter une motion de censure alors que, d’après ce que j’ai compris, le RN ne déposera pas de motion. Mme Borne n’ayant fait aucun geste, j’estime qu’il faudrait déposer une motion de censure. Le fait de n’être dans aucun groupe me permet d’être libre et de me prononcer en fonction de ce que je crois être l’intérêt national. Je pense qu’on a besoin de liberté et de diversité politiques.
M. E. : Vous nous informez que vous voterez pour la motion de censure déposée par la NUPES.
N. D.-A. : Ce n’est pas le fait qu’elle soit déposée par la NUPES qui compte, mais de de prendre nos responsabilités. Je ne fais aucun compromis avec un discours de politique générale indigent et mensonger, sans aucune ouverture vers les oppositions. N’ayant pas de groupe, je n’ai pas les moyens de déposer une motion de censure. J’aurais préféré voter une motion de censure du RN ou de LR, mais ils n’en déposent pas. Par conséquent, je vote la motion de censure qui est devant moi.
Entretien réalisé par Marc Eynaud le 6 juillet 2022

dimanche 26 juin 2022

Législatives : seul élu Debout La France, Nicolas Dupont-Aignan siègera en indépendant



Réélu pour un sixième mandat consécutif, dimanche 24 juin dans la 8e circonscription de l’Essonne, Nicolas Dupont-Aignan ne rejoindra aucun groupe parlementaire avant la rentrée des députés, le 28 juin prochain. 

Si le président de Debout la France l’avait affirmé dès le soir de son élection, la décision a été confirmée samedi 25 juin, à l’issue d’un conseil national de son parti. Ce dernier « a arrêté à l’unanimité le principe d’indépendance de Debout la France à l’Assemblée nationale », relate Europe 1.

Dans son communiqué, le bureau national de DLF constate que « l’abstention des dernières élections a démontré une crise morale et une perte de confiance des Français envers le monde politique ». Une situation qui fait dire à la formation souverainiste qu’elle souhaite, plus que jamais, « offrir aux Français l’alternative crédible qui manque ». En conséquence, DLF demande « à son président de ne rallier aucun mouvement »

Jusque-là, le nom de Nicolas Dupont-Aignan était cité, avec celui d’Emmanuelle Ménard, comme ceux de personnalités susceptibles de rallier le groupe du Rassemblement National.

Lire la suite sur Valeurs actuelles