vendredi 15 juillet 2022
Les Etats-Unis vers la sécession ? - Le Zoom - Georges Clément - TV Libertés le 14 juillet 2022
Interview du 14 Juillet : Macron-Vulcain nous promet un froid sibérien, grrr…
Le Président vibrionne. Lors de cette traditionnelle interview, l'hôte de l'Élysée ne semble nullement émoussé par la succession de mauvaises nouvelles qui tombent en avalanche depuis quelques mois : mauvaise campagne présidentielle, échec aux législatives, patinage dans le dossier ukrainien, bilan économique désastreux, image et cote de popularité en berne… On en passe.
Bien plus que l’ancien comédien Reagan ou l’ancien amuseur Zelensky, Macron est un acteur. Un acteur qui ne se voit pas en Jupiter, donc, mais en... Vulcain, le dieu de la forge, occupé à frapper le fer dans la fournaise. Logiquement, notre Macron-Vulcain n’a pas peur de la guerre : il la prépare, dans le cyberespace, dans le maritime et dans l’espace. « Le budget des armées ne va pas diminuer, au contraire, lance-t-il. On doit pouvoir produire plus vite, plus fort. »
Il met les gaz, le Président ! On pense à la mine déconfite de nos pacifistes qui nous ont expliqué, durant tant d’années, que l’armée, cette machine à tuer inutile, ne servait qu’à remplir les poches des méchants industriels de la Défense. Retour de la France forte à l’abri d’une armée puissante ? Hélas, Macron reste Macron. Le Président se lance aussi sec dans une explication… gazeuse. Selon lui, l’Europe vient en « renforcement » de ce que fait la France dans le domaine militaire, et en « complémentarité » avec ce que fait (ou ne fait pas ?) l’OTAN. À moins que ce ne soit l’inverse. Les méandres d’un cerveau mondialiste…
OTAN, Europe ou pas, ce qu’on a compris clairement, en revanche, c’est que « l’été et le début de l’automne seront très durs ». Le président de la République et son gouvernement nous avaient bien expliqué que l’hiver serait terrible, mais pour… les Russes. Ils allaient voir ce qu’ils allaient voir, les Russes, avec les sanctions françaises ! Fini de rigoler, dans l’Oural !
Nos supermarchés Auchan étaient priés de revenir fissa. On n’allait pas nourrir les Russes, quand même ! Qu’ils meurent de faim ! Quant à leur gaz, ils pouvaient se le garder pour faire bouillir le samovar. De toute façon, on allait couper le robinet : hors de question de signer des chèques à Poutine ! Battus à plate couture en Ukraine, sortis à coup pied du Donbass, leur gazoduc sur l’oreille et leur rouble en chute libre, ils demanderaient grâce, les Russes, et viendraient en chemise et la corde au cou supplier Macron et ses alliés américains et européens d’épargner leurs familles.
Changement de décor. Il semble que le vent sibérien ait tourné du mauvais côté.
Notre Président évoque, en ce jour de la fête nationale qui célèbre l’orgueil français, « la décision russe de couper le gaz » qui transite par le gazoduc Nord Stream 1. Figurez-vous que Poutine veut « utiliser le gaz comme un élément de cette guerre », nous explique Macron. Les Russes ont de ces idées ! Nous allons donc acheter du gaz ailleurs qu’en Russie, en Norvège, au Qatar, en Algérie, poursuit le Président. Il ne l’a pas dit mais il en profitera surement, en signant son chèque au pouvoir algérien, pour exiger que ce pays reprenne ses nombreux ressortissants condamnés en France ou titulaires d’obligations de quitter le territoire français (OQTF). À toute chose malheur est bon. On peut rêver…
Ce qu’a dit Macron, en revanche, c’est que les Français vont devoir se serrer la ceinture. Là non plus, rien n’est clair. Mais le Président parle de « sobriété », comme si les Français s’enivraient de pétrole russe jusqu’au délire. Il évoque des économies sur l’éclairage, le soir. Il y a clairement de l’eau dans le gaz russe. Tout cela sent la chasse au gaspi chez ces cochons de la classe moyenne, car les plus aisés s’en fichent et les moins aisés seront aidés. « L’État ne peut pas prendre pour tout le monde », explique Emmanuel Macron, qui glisse que l’Élysée sera chauffé par la géothermie. On verra peut-être cet hiver des ministres bleus de froid en doudounes dans leurs bureaux gelés façon Sibérie orientale. La forge de Vulcain n’est plus ce qu’elle était.
Par Marc Baudriller le 15 juillet 2022
Italie : le président de la République refuse la démission de Draghi
Le président italien Sergio Mattarella a refusé la démission du Premier ministre Mario Draghi, a annoncé la présidence de la République dans un communiqué.
"Le président de la République n'a pas accepté la démission du président du Conseil et l'a invité à se présenter au parlement (...) afin qu'ait lieu une évaluation de la situation" créée par la non-participation d'un parti de sa coalition à un vote de confiance au Sénat, a-t-elle précisé.
Le 14 juillet 2022 avec AFP
Fiasco du Stade de France : un rapport "accablant" du Sénat dénonce les défaillances des autorités, le 15 juillet 2022
jeudi 14 juillet 2022
Allocution de Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale le 14 juillet 2022
mercredi 13 juillet 2022
Y a-t-il un pilote dans l'avion ?
Emmanuel Macron aura déjà fait assez fort lors de son premier mandat, notamment en invitant à l'Elysée les pitres Carlito et Mc Fly qui ont fait quelques pirouettes dans le parc de la Présidence en ridiculisant notre pays, le deuxième mandat risque de se passer sur le même mode.
On savait déjà que le Chef de l'Etat adorait se déguiser - il aura déjà mis une tenue de mécano des armées, celle de sous-marinier sans oublier le bleu des footballeurs - là il a enfiler la combinaison de pilote de la Patrouille de France en arborant, selon BFM-TV - une chaîne de télévision au parfum..- un joli écusson "Président de la République" créé pour l'occasion.
Le Président est-t-il rattrapé par la patrouille ?
Steph FG
Retour sur le vote du projet de loi sanitaire à l'Assemblée nationale - Marc Doyer, Sonia Delahaigue sur Radio Courtoisie le 13 juillet 2022
Le gars Bruno propose de geler les classes moyennes
Après ce triomphe évité de justesse, le ministre de l'Économie revient sur le devant de la scène. Face à François Lenglet, le stratège de Bercy est venu dévoiler son plan d'action pour lutter contre l'explosion des prix du gaz et de l'électricité. Avant d'entrer dans le vif du sujet, rappelons que le bouclier tarifaire mis en place depuis octobre 2021 a permis de limiter la casse. Le gars Bruno n'est pas peu fier : « Le prix du gaz, il aurait dû augmenter de 50 %, les Français ont vu zéro. C'est l'État qui l'a pris à sa charge. » La victoire sur le retour de manivelle des sanctions à l'égard de la Russie est totale : le contribuable paiera la facture. Même solution miracle pour l'électricité qui n'a augmenté que de 4 % malgré les +30 % du marché. La fibre du « quoi qu'il en coûte » habite le prodige macronien.
Toute solution paradisiaque ne pouvant durer éternellement, à partir du 1er janvier 2023, en plein réveillon, dès les douze coups de minuit, bonne année bonne santé et radiateurs sur 2 pour les moins pauvres : « À partir du 1er janvier, [...] il faudra faire passer un certain nombre de hausses en fonction du niveau de revenus », énonce doctement le père Le Maire. Les cerveaux de Bercy ont surchauffé : « ...il faut aussi qu'il y ait des augmentations pour ceux qui peuvent se permettre ces augmentations ». Dans les files d'attente aux caisses d'allocations de ceci et cela, des cris de joie se font entendre. « Les travailleurs au congélo, les assistés aux fourneaux ! » Des mots d'ordre galvanisants sont lancés par la foule.
Près de sa chaudière à gaz, le consommateur attend la définition exacte de « ceux qui peuvent se permettre ces augmentations ». Les nababs bénéficiaires de salaires exorbitants allant parfois au delà de 1.500 € mensuels seront-ils appelés à soutenir l'élan de solidarité nationale ? Attendu l'explosion des tarifs, le futur frigorifié a compris ce que le ministre exprime à demi-mots : tout le monde paiera sauf une poignée de veinards vivant sous le seuil pauvreté. Après des année de désindustrialisation massive des territoires, le fin limier économiste en appel aux survivants pour sauver les victimes de cette politique mondialiste. Chacun de s'imaginer la suite du procédé : baguette à 10,50 € pour les uns, 0,60 pour les autres, en pièces d'or pour les plus nantis. Loyers, alimentation, santé, transports sur le même modèle... Après des dizaines d'années de politique mondialiste, le gars Bruno arrive et présente la note aux classes moyennes. L'impôt Poutine, la taxe sur le Vladimir... Diverses appellations aideront les plus naïfs à passer l'hiver.
Par Jany Leroy le 12 juillet 2022
L'ennemi aurait frappé ?
Terrible, l'ennemi désigné par le ministre en charge de notre sécurité Gérald Darmanin la semaine passée est passé à l'action ?
Non, tout simplement,Renaissance, le parti d'Emmanuel Macron et ses alliés ont appris ce qu’était la démocratie. En effet les députés ont supprimé un article d'un texte examiné en première lecture au Palais Bourbon lors d'un vote dans la nuit de mardi à mercredi par 219 voix contre 195. Cet article prévoyait la possibilité, si nécessaire, de rétablir le Pass sanitaire pour les voyages hors de France, depuis ou vers l'étranger.
"L’heure est grave. En s’alliant pour voter contre les mesures de protection des Français face au Covid LFI, les LR et le RN empêchent tout contrôle aux frontières face au virus.Passée l’incrédulité sur ce vote, je me battrai pour que l’esprit de responsabilité l’emporte au Sénat."
Elisabeth Borne, Premier ministre sur Twitter
Steph FG