samedi 15 octobre 2022

Carburant, parlement, école : l'autorité en panne sèche !, Gilbert Collard (Reconquête !) le 14 octobre 2022

Marion Maréchal (Reconquête !) sur France Info le 13 octobre 2022

Rémi Tell (Peuple Libre) dans Le Samedi Politique le 15 octobre 2022

Myocardites, vaccins bivalents, mes questions à l’OMS, Virginie Joron (RN) au Parlement européen le 14 octobre 2022

vendredi 14 octobre 2022

Guillaume Peltier (Reconquête !) sur Sud Radio le 11 octobre 2022

La Mayenne plutôt que l'Ukraine, ou comment un milliardaire ukrainien plume l'aviculture française, François Asselineau (UPR) le 13 octobre 2022

Nicolas Dupont-Aignan (DLF) sur Cnews le 14 octobre

Avec VOX, travaillons ensemble au redressement de notre continent, Marion Maréchal (Reconquête !) le 13 octobre 2022

 

Crise de la pompe à essence : « On a merdé ». Sans blague !



« On a merdé… » Sans blague ! Franceinfo rapporte les confidences d’une conseillère ministérielle à propos de la gestion de la  par le gouvernement. « Retard à l’allumage », « un train de retard », manque d’anticipation, mauvaise appréciation de la situation sur le terrain, communication mal gérée, etc. Bref, sous couvert de l’anonymat, ça se lâche dans les coursives du pouvoir pendant que le capitaine pérorait sur France 2, mercredi soir, exposant son beau profil aux embruns de la grande histoire et des  du monde.

Le « on a merdé » est révélateur. « On », comme on dit, est un c…

Pardon de raconter mes campagnes, mais ça me rappelle farouchement une histoire personnelle remontant à un quart de siècle. Alors en opération extérieure, venant d’apprendre par hasard qu’une bonne centaine de militaires avait été oubliée dans la prise en compte de leur solde OPEX et que cela allait entraîner de sérieux retards dans le paiement de ce qui leur était dû, je déboule un beau matin dans le bureau de l'administratif, responsable de ce raté. Le brave officier des détails, benoîtement, me répond en haussant les épaules et levant les yeux au ciel, un peu résigné : « Désolé, on a merdé ! ». Et je lui réponds tout de go, un peu agacé, d’autant que j’étais dans la centaine d'oubliés : « Non, c’est pas ‘‘ON a merdé’’ mais ‘‘VOUS avez merdé’’ ».

C’est un peu le même problème avec ce gouvernement, comme avec les précédents du règne Macron : c’est jamais leur faute. D’ailleurs, Emmanuel Macron a vraiment trouvé le job qui lui convient à la perfection : président de la République, vu que le chef de l’État est irresponsable. Constitutionnellement parlant. Mais chez Emmanuel Macron, vous l’aurez noté, politiquement aussi. Quand il y a des erreurs, il a une fâcheuse tendance à passer à un « nous » qui n’a rien de majesté et qui permet de diluer sa part de responsabilité. Cela dit, sur cette affaire du blocage des raffineries, il n’y est pas pour grand-chose. Que l’État n’ait pas vocation à résoudre tous les conflits sociaux, comme l’a dit, en gros, Emmanuel Macron, dans son interview, mercredi soir, on peut le comprendre. Mais il y a tout de même des secteurs stratégiques qu’il convient peut-être de surveiller plus particulièrement et pas le nez sur l’obstacle. Cela s’appelle justement l’anticipation. Heureusement que nous ne sommes plus, ou pas encore, en guerre, car, paraît-il, les chars ne fonctionnent pas encore à l'énergie éolienne…

Autre confidence d’un conseiller ministériel, toujours révélée par franceinfo : « On ne retient pas les leçons. Dès que ça touche l’essence, il faut se saisir du sujet à la seconde ». Encore une fois, sans blague ! La crise des  n’aurait donc pas servi de leçon. Nous ne ferons pas les mêmes erreurs - ou presque -, nous en ferons d'autres ! Effectivement, il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne leur a pas dit ?

Par Georges Michel le 13 octobre 2022

Boulevard Voltaire

jeudi 13 octobre 2022

Le chef de la diplomatie de l’UE parle « d’anéantir l’armée russe » en cas de frappe nucléaire en Ukraine


Le 13 octobre 2022

Si, à plusieurs reprises depuis le début de la guerre en Ukraine, le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, a laissé entendre qu’il pourrait avoir recours à l’arme nucléaire, la doctrine russe en la matière, revue en 2020, prévoit une telle éventualité en cas « d’informations fiables sur le lancement de missiles balistiques attaquant le territoire de la Russie et [ou] de ses alliés », « d’utilisation d’armes nucléaires ou d’autres armes de destruction massive par l’ennemi et ses alliés », d’un « impact d’une attaque ennemie sur les installations critiques et militaires du pays au point que la capacité de riposter avec des armes nucléaires est perturbée » et d’une « agression avec des armes classiques susceptible de menacer l’existence même de l’État ».

D’ailleurs, les forces ukraniennes ont mené plusieurs attaques en territoire russe [ou considéré comme tel par Moscou] sans que cela ait – fort heureusement – déclenché le feu nucléaire. En outre, la Russie peut mettre des moyens autres que nucléaires pour répondre à des menaces qu’elle jugerait inacceptables. La destruction du satellite Cosmos-1408 par un missile ASAT, en novembre 2021, rappelle, par exemple, que Moscou pourrait porter un coup rude aux économies occidentales, de plus en plus dépendantes de l’espace.

Quoi qu’il en soit, il n’en reste pas moins qu’il faut prendre au sérieux la rhétorique nucléaire russe. Cependant, et comme l’ont souligné plusieurs responsables occidentaux, aucun changement n’a été observé, à ce stade, dans la posture nucléaire de la Russie.

« Nous n’avons aucune indication pour le moment que la Russie a changé sa posture nucléaire, mais nous la surveillons 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 », a ainsi indiqué Lloyd Austin, le chef du Pentagone, le 12 octobre. Même le président Biden, qui avait dit redouter une « apocalypse nucléaire », est revenu sur ses propos dans un entretien accordé à CNN, estimant que son homologue russe n’ira pas jusqu’à utiliser l’arme nucléaire en Ukraine. « Je ne pense pas qu’il le fera », a-t-il dit.

De son côté, n’ayant pas non plus constaté de changement dans la posture des forces stratégiques russes, le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a répété que les « menaces nucléaires voilées du président Poutine sont dangereuses et irresponsables ». Et d’ajouter : « La Russie sait qu’une guerre nucléaire ne peut être gagnée et ne doit jamais être menée ».

Aussi, les propos tenus ce 13 octobre par Josep Borrell, le Haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de de sécurité, auront été quelque peu « détonants ».

Lire la suite sur Zone Militaire

L’immigration clandestine en Europe au plus haut depuis 2016



Communiqué de Nicolas Bay, Vice-Président de Reconquête !, député au Parlement européen du 13 octobre 2022

C’est un cri d’alarme que pousse l’agence européenne Frontex : dans son tout dernier rapport, publié jeudi, elle indique que les arrivées clandestines sont 70% plus nombreuses que l’an dernier au cours de la même période. Le nombre de migrants sur la « route des Balkans » a quasiment triplé ! Au total, environ 230 000 clandestins sont arrivés dans l’UE entre janvier et septembre, le plus haut nombre depuis 2016. Et il ne s’agit-là que de ceux qui ont été détectés…

Il n’est évidemment pas question des réfugiés ukrainiens : ceux-ci passent par les procédures légales de demande d’asile et, pour certains, commencent déjà à rentrer chez eux.
À l’inverse, ces 230 000 migrants clandestins proviennent généralement de pays d’Afrique et du Moyen-Orient qui ne sont pas en guerre et comptent bien s’installer durablement en Europe : Turcs, Afghans, Tunisiens, Égyptiens, Nigérians, Algériens, Soudanais... Ils viennent chercher en Europe, et surtout en France un eldorado qui n’existe pas.
C’est à une potentielle nouvelle vague migratoire de très grande ampleur et à des conséquences dramatiques qu’il faut nous préparer. Il est indispensable de protéger fermement nos frontières, d’expulser systématiquement tous les clandestins, de réviser complètement notre politique d’asile en revenant à l’esprit original de la convention de Genève débarrassée du protocole de New-York de 1967 et de faire pression, économiquement et diplomatiquement, sur les pays de départ.

La sécurité des Européens et leur droit à demeurer eux-mêmes doivent primer !

Page Facebook de Nicolas Bay