vendredi 10 novembre 2023

Zelensky : lâchage américain imminent ?

ANTISÉMITISME : VITE UN CORDON SANITAIRE CONTRE L'ISLAMO-GAUCHISME !

 

Le FN « antisémite » : Mythes et Réalité


Communiqué de Bruno Gollnisch, Ancien députés , ancien Vice-Président du FN, membre du CN du RN du 10 novembre 2023

La répétition incessante des mêmes éléments de langage finit par accréditer comme une vérité irréfragable que le Front National, et son fondateur et Président Jean-Marie le Pen, auraient été antisémites. Cette propagande finit même par impressionner des commentateurs de bonne foi, ou de jeunes cadres et adhérents du RN, qui n’ont naturellement qu’une connaissance récente du Mouvement auquel ils doivent leur situation actuelle.

Mais cette affirmation est fausse. Être antisémite, ce n’est pas avoir tenu tel ou tel propos -toujours les mêmes, et sortis de leurs contexte- sur l’histoire de la deuxième guerre mondiale ou en réponse à un ministre malveillant. C’est vouloir nuire aux Juifs, les accuser, les discriminer, les combattre, parfois de façon violente voire atroce.

Or, que ce soit dans le programme précis et exhaustif du FN, ou dans les dizaines de milliers de pages que constituent les discours de Jean-Marie Le Pen, des dirigeants du Front National, de ses élus parlementaires nationaux, européens ou locaux, on chercherait en vain la moindre incitation à discriminer les Juifs ou à leur nuire, non plus d’ailleurs qu’à l’encontre de quelque citoyen français que ce soit en fonction de son origine ou de sa religion.

Jean-Marie Le Pen a été volontaire pour combattre aux côtés d’Israël en 1956 (affaire de Suez). Militaire, il a protégé des Juifs en Algérie. Le Front National a manifesté contre la venue de Yasser Arafat à Paris lorsque celui-ci n’avait pas encore renoncé au terrorisme. Plusieurs Compagnons de la Libération, d’innombrables médaillés de la Résistance ou de la Légion d’Honneur étaient membres du FN. Le Front National comportait un Cercle National des Français juifs, fondé par Robert Hemmerdinger, médaille de la Résistance, commandeur de la Légion d’Honneur, Conseiller Régional FN d’Île de France. Il y avait au Front national des Français juifs patriotes parmi les élus, les éditorialistes, et les dirigeants.

Certes, le Front National, diabolisé par intérêt, a été en butte à des calomnies récurrentes, qui ont culminé avec l’incroyable manipulation de Carpentras, où il a été faussement accusé d’avoir profané une tombe au cimetière juif de cette ville. 

Mais la répétition des mêmes mensonges n’en fait pas une vérité. Il est intéressant de constater d’ailleurs que certaines personnalités juives, de gauche ou non, qui attaquaient le FN à cause de sa position restrictive sur l’immigration, tiennent aujourd’hui un discours proche de celui qu’ils vilipendaient naguère.
En cette heure où le sectarisme de certains affaiblit la nécessaire solidarité nationale, il est plus utile que jamais de la renforcer en rétablissant la vérité.

Bruno Gollnisch

Marche contre l’antisémitisme: ira, ira pas?

 


Debout la France

Le monde politique assoupi a-t-il enfin mesuré le danger représenté par l’islam conquérant ? Un manque de courage empêche encore de désigner clairement l’ennemi. Certes, il faut saluer l’initiative de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et du président du Sénat, Gérard Larcher, d’une « grande marche civique », dimanche, « contre l’antisémitisme ». Les deux représentants du parlement expliquent leur démarche ce mercredi dans Le Figaro[1] : ils évoquent « la République en danger » depuis « l’attaque terroriste » du Hamas contre Israël le 7 octobre, qui a suscité en France une multiplication d’actes anti-juifs (plus d’un millier en un mois, soit deux fois plus que durant l’année 2022). Il faut cependant attendre le quatrième paragraphe du texte commun pour lire : « Notre laïcité doit être protégée, elle est un rempart contre l’islamisme ». 

Est-il si compliqué de parler plus directement de « terrorisme islamiste » ? Est-il si dangereux d’appeler à une marche des citoyens en nommant explicitement « les porteurs de haine »? Cela fait quarante ans que la République bonne fille est tétanisée à l’idée d’être accusée d’islamophobie ou de racisme dans la dénonciation des dérives totalitaires de l’islam politique.

Les présidents de l’Assemblée et du Sénat assurent que les parlementaires « ne peuvent se taire » et « doivent résister » : se réjouir de cet engagement. Reste que ce monde politique, qui s’affole des désastres créés par son endormissement, se garde de reconnaître ses graves responsabilités dans l’incrustation d’une judéophobie portée par une immigration musulmane sacralisée par la droite et la gauche.

Jean-Marie Le Pen avait son « détail », Mélenchon a son « prétexte » 

La participation annoncée du Rassemblement national à cette marche citoyenne – « une première », comme l’a rappelé Louis Aliot (RN) mercredi sur Europe 1 – est une autre manière de faire comprendre qui sont les amis d’Israël et des Juifs et qui sont, par leur absence déjà revendiquée, les collaborateurs de la cause islamiste. La nouvelle photographie politique se lira au vide laissé par ceux qui auront choisi, par électoralisme diversitaire, de soutenir fanatiquement la cause palestinienne déshonorée par l’indicible barbarie djihadiste du Hamas. Jean-Luc Mélenchon, non content d’avoir fait sanctionner pour insoumission la députée (LFI) Raquel Garrido[2] comme aux plus belles heures du stalinisme, a ainsi justifié par tweet sa rupture : « Dimanche, manif de « l’arc républicain » du RN à la macronie de Braun-Pivet. Et sous prétexte d’antisémitisme, ramène Israël-Palestine sans demande de cessez-le-feu. Les amis du soutien inconditionnel au massacre ont leur rendez-vous ». 

Jean-Marie Le Pen avait son « détail », Mélenchon a son « prétexte » : de mêmes signaux qui entretiennent l’antisémitisme d’atmosphère constitué désormais, presque exclusivement, par la haine anti-juive de la culture islamique. Ceux du chœur des effarés qui ont  accusé les « populistes » d’antisémitisme ont en réalité craché sur des lanceurs d’alerte. Honte à eux.


[1] https://www.lefigaro.fr/vox/politique/l-appel-de-gerard-larcher-et-yael-braun-pivet-pour-la-republique-et-contre-l-antisemitisme-marchons-20231107

[2] https://www.causeur.fr/raquel-garrido-sanction-lfi-jean-luc-melenchon-269321

Par Ivan Rioufol le 10 novembre 2023

Causeur

jeudi 9 novembre 2023

Comment nous avons basculé dans le totalitarisme - Ariane Bilheran sur Tocsin le 9 novembre 2023

Islamisation, wokisme : ces parents qui résistent à la propagande de l'école - Agnès Marion

Il y a 53 ans disparaissait le général Charles de Gaulle et une partie de notre souveraineté

 


Guerre à LFI : on découvre enfin le vrai visage de Mélenchon ! - Juliette Briens sur Radio Courtoisie le 9 novembre 2023

Vers un big bang électoral ? – Grand entretien avec Jérôme Fourquet, Front Populaire le 9 novembre 2023

 

Qui est Sophie Pommier, l’arracheuse des portraits d’otages israéliens ?



Sophie Pommier. Son nom n’est pas connu du grand public, mais son visage s’affiche sur tous les réseaux sociaux. Mardi 7 novembre, vers midi, cette femme a été filmée en train d’arracher les portraits d’otages israéliens qui avaient été placardés rue du Sentier, dans le IIe arrondissement de Paris. On la voit avec de nombreuses affiches à la main, répétant « Israël assassin ! » face aux passants indignés. La personne qui filme la scène tente de s’interposer avant de lui lancer, en anglais : « Des gens ont été assassinés, des femmes ont été violées. Vous devriez avoir honte ! » Sous les quolibets, Sophie Pommier finit par quitter les lieux, non sans arracher d’autres portraits sur son chemin.

Un CV bien garni

Si ladite vidéo est devenue virale, c’est parce que cette Sophie Pommier n’est pas n’importe qui. Un simple coup d’œil sur ses différents comptes permet de cerner le personnage. On apprend, par exemple, sur sa page LinkedIn – supprimée à la hâte – qu’elle a œuvré à Sciences Po, à l’ambassade de France en Égypte, mais aussi pour le compte du ministère des Affaires étrangères. Rien que ça. On y voit, également, qu’elle travaille pour Orient XXI, un journal à la ligne pro-palestinienne assumée. Très active dans les médias, celle qui se présente comme un « expert confirmé en géopolitique arabe » signe régulièrement des papiers dans Le Monde diplomatique et participe à de nombreux podcasts sur Radio France . Elle était encore invitée à une émission de France Culture sur le Moyen-Orient, le 18 octobre dernier…

Mais c’est à Instagram que Sophie Pommier réserve ses meilleures expertises. On découvre ainsi, sur son compte personnel, un post effarant daté du 8 octobre 2023, soit au lendemain du pogrom commis par le Hamas, dans lequel elle semble prendre la défense des terroristes et les comparer à Jean Moulin : « Des décennies d’occupation et d’humiliations, d’injustice, de provocation des colons… Le monde occidental bien installé dans son petit confort s’émeut de voir les Palestiniens prendre les armes. Mais quelle autre solution leur a-t-on laissé ? La résistance chez nous, c’était magnifique, mais quand il s’agit des Palestiniens, c’est du terrorisme ? »

Les condamnations n’ont pas tardé

Face au tollé, ses employeurs ont rapidement pris la parole. « Nous condamnons fermement les propos et actes tenus dans cette vidéo », a déclaré Sciences Po, précisant que Mme Pommier n’enseignait plus au sein de l’institut depuis 2014. De son côté, le Quai d’Orsay a publié un communiqué des plus éloquents : « Une ancienne collaboratrice contractuelle du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères a été identifiée arrachant le portrait d’otages israéliens à Gaza. […] Nous avons désormais connaissance d’autres publications comparant notamment les attaques terroristes du Hamas à la résistance française contre l’occupation nazie. Ils entrent probablement dans la définition de l'antisémitisme adoptée par l'Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah, endossée par la France en février 2019. 

Il reviendra à la Justice de déterminer s'ils justifient en outre des poursuites pénales. La vidéo diffusée ce jour montre une attitude, un comportement et des propos totalement indignes qui disqualifient entièrement cette personne pour entretenir la moindre relation de travail avec le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. Bien que cette personne n’ait plus de relations contractuelles avec ce ministère depuis l’été dernier, une enquête administrative sera diligentée à partir de ce jour à la demande de la ministre Catherine Colonna sur les conditions de son recrutement. » Comme le dit le député Meyer Habib, il est grand temps de nettoyer les écuries d’Augias du Quai d’Orsay.

Par Jean Kast le 9 novembre 2023

Boulevard Voltaire