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dimanche 4 septembre 2022

Affaire Iquioussen : non, Gérald Darmanin n’a pas la main ferme



Le Conseil d’État, que l’on a connu plus libéral, a donc confirmé l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen. Gérald Darmanin a fanfaronné sur cette décision, qui est une bonne nouvelle il est vrai, mais on a le sentiment légitime qu’il ne fait que tenter de suivre l’avis de la majorité des Français, avec mollesse et toujours un temps de retard. Il continue donc de courir derrière le Rassemblement national qui propose des solutions réalistes.

L’action de l’État a toujours un temps de retard dans la lutte contre l’islam radical et le contrôle de l’immigration

D’abord, comment expliquer que cet imam qui sévit depuis des années soit en fuite ? Que n’a-t-il été surveillé en attendant la décision du Conseil d’État ? Quelle passivité incompréhensible et inexcusable ! Cela donne vraiment le sentiment d’un manque de fermeté, d’autant que l’on reste passif devant les dizaines d’autres imams étrangers ou français et que personne n’ose s’en prendre au noyau dur des « frères musulmans » islamistes que sont les « musulmans de France », ex-UOIF, qui a pignon sur rue et continue à parader chaque année dans une grande manifestation au Bourget ! Si l’on remonte en arrière et pour donner quelques exemples de passivité de l’État, il aura fallu attendre deux ans avant que l’État ne dissolve le groupuscule radical islamiste « Forsane Alizza » qui prônait la lutte armée entre 2010 et 2012. L’ONG BarakaCity, nez creux des « frères musulmans » a existé de 2008 à 2020. Pour sa part, le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), les amis de Mélenchon, créé en 2003 n’a été dissout qu’en 2020.

La loi aussi a toujours un temps de retard comme celle de 2021… sur le respect des valeurs de la République, qui intensifie le contrôle de l’État, mais ne lutte pas vraiment contre le séparatisme islamiste. Ce n’est pas la signature facultative d’une charte par les associations musulmanes qui va faire peur aux réseaux islamistes ! L’autorisation du financement étranger des associations à hauteur de 10 000 euros n’est pas non plus à la hauteur de l’enjeu. C’est l’interdiction totale qui fallait voter. Il va falloir remettre l’ouvrage sur le métier… Il en est de même pour ce qui concerne le contrôle de l’immigration : une loi a été votée en 2018 pour une immigration maîtrisée, un droit d’asile effectif et une intégration réussie et Gérald Darmanin en prépare déjà une nouvelle à l’automne !... Cela donne vraiment l’impression de toujours courir derrière le Rassemblement National qui propose des solutions plus abouties sur ces sujets !

Le propre du politique c’est d’avoir toujours un temps d’avance

Le Rassemblement National a déposé en 2021 une proposition de loi visant à combattre les idéologies islamistes, allant de l’interdiction de leur financement à celle des tenues dans l’espace public ainsi qu’à l’accès à la fonction publique. Marine Le Pen a également proposé un référendum constitutionnel sur l’immigration contenant des propositions relatives à la priorité nationale, à l’instauration de quotas ou à un bouclier constitutionnel, refondre l’ensemble du droit applicable aux étrangers et l’abrogation du droit du sol. Comme il se disait il y a peu, les Français préféreront encore plus l’original à la copie.

Par Philippe Franceschi le 3 septembre 2022

Front Populaire

Darmanin regarde ailleurs



Communiqué de presse de André RougéDéputé français RN au Parlement européenDélégué national à l’Outre-mer et membre du Bureau National du Rassemblement National du 2 septembre 2022
Alors que le taux d’homicide est quasiment dix fois plus élevé en Guyane qu’en France métropolitaine, la violence aveugle s’est encore accrue ces derniers temps avec le décès de quatre personnes en deux jours, dont trois dans la même journée du 21 août. Les Guyanais sont chaque jour un peu plus contraints de vivre au rythme des règlements de comptes et de subir la loi des bandes, souvent issues de l'immigration sud-américaine.
L’abandon de l'Outre-mer par l’Etat en termes de criminalité aboutit à un bilan de décès par balles se chiffrant par dizaines depuis le début de l'année à Mayotte, à la Martinique, ou à la Guadeloupe. En Guyane il permet aux groupes criminels de se structurer et contraint les honnêtes citoyens à baisser la tête.
Le ministre de l'Outre-mer, Gérald Darmanin pourtant également ministre de l'Intérieur, semble ne pas avoir à cœur de prendre ces problèmes au sérieux.
La Guyane s’enflamme et il regarde ailleurs
Immigration, zone de non-droit sur 250 kms entre la frontière du Surinam et Iracoubo, trafics de stupéfiants, criminalité, manque de services publics, nos compatriotes de Guyane n'en peuvent plus et sont de plus en plus excédés par la mollesse et la passivité des quinquennats d'Emmanuel Macron. Si les responsables politiques ne prennent pas en compte sérieusement l’inquiétude profonde et la colère qui couvent en Guyane, la situation n’ira qu’en s’empirant, car le ressentiment des Guyanais vis-à-vis de l’Etat viendra s’ajouter aux problèmes migratoires et sécuritaires déjà existants.
André Rougé adresse ses condoléances aux familles et aux proches des personnes décédées ces derniers jours et assure à l’ensemble des Guyanais le soutien sans faille des différents élus du Rassemblement National dans les épreuves qu’ils traversent en ce moment.

jeudi 1 septembre 2022

Quand Gérald Darmanin acte le démantèlement de la Police nationale


Tribune libre d’
Aurélia Beigneux
Député français RN au Parlement européenMembre de la Commission environnement du 31 août 2022
 
C’est un nouveau fardeau pour des agents de police déjà à bout : le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, souhaite créer des Directions départementales de la police nationale. Le but théorique est d’unifier tous les services de police d’un même département, de la police judiciaire au renseignement, en passant par la police aux frontières, sous une seule autorité. Le gouvernement justifie ce changement, déjà testé dans des départements comme le Pas-de-Calais, par une volonté de mieux piloter l’action de terrain et de simplifier l’action de la police.
Ces arguments tout à fait officiels cachent une réalité malsaine, car encore une fois, cette réforme s’annonce sans l’accord des premiers concernés : les policiers. Il est vrai que Gérald Darmanin préfère écouter les délinquants plutôt que ses propres administrés. Dans ce cas de figure, ces derniers redoutent que les nombreuses spécificités de la police soient diluées dans une direction unique aux ordres de Paris. Plus grave encore, ils redoutent que la police judiciaire soit désormais constamment épiée par le cabinet du ministre, ce qui pose la question de son indépendance, notamment et surtout dans les affaires qui concernent les élites politiques. Enfin et plus grave, ce projet montre que le ministère de l’Intérieur ne fait plus confiance à ses propres agents de la paix, préférant dissoudre la diversité des services plutôt que de laisser les cadres locaux expérimentés aux manettes.
Les agents de police le savent, cette réforme avait déjà été testée il y a quelques années. Son résultat était un échec complet. Elle avait provoqué la gronde des cadres de la police qui dénonçaient une construction administrative complètement déconnectée de la réalité. 
Pourquoi alors le gouvernement actuel veut-il l’imposer de force, si ce n’est par volonté de provoquer une fois de plus nos forces de l’ordre ?
Le pays brûle depuis 20 ans. Chaque jour, des Français sont victimes d’une incivilité devenue meurtrière, d’une délinquance devenue occupation du territoire et d’un laxisme devenu impunité totale. Plutôt que de lancer un grand programme de reconquête de notre territoire, comme le souhaite Marine Le Pen depuis le début de son engagement, Gérald Darmanin concentre son énergie sur des mesures administratives faisant uniquement les affaires de ses amis du gouvernement.
Dans un climat de guerre civile, cette déconnexion doit cesser. Les sondages montrent que le Rassemblement National est le mouvement le plus crédible sur les questions de sécurité, au-delà même de nos électeurs. Il est plus que temps que les urnes nous donnent les commandes de la situation !

 

mercredi 31 août 2022

Les légèretés de la macronie vont coûter cher aux Français




Comment les prendre au sérieux ? Comme leur faire confiance ? Les dirigeants politiques de ces dernières décennies conduisent le pays à la catastrophe. Le mépris qu’ils portent aux gens ordinaires et au bon sens est proportionnel à leur légèreté et leur manque de discernement. Après avoir, d’autorité, ouvert la France à une colonisation extra-européenne qui met en péril d’unité nationale, après avoir fait de l’Ecole « pédagogique » et « inclusive » un champ de ruine, après avoir endetté les générations futures pour acheter dans l’urgence une paix sociale, voici venu, avec la macronie, le temps des coupures possibles de gaz et d’électricité dès cet hiver. 

Le russe Gazprom, en réplique aux sanctions européennes contre l’offensive Russe en Ukraine, suspendra totalement ses livraisons de gaz à Engie dès ce jeudi. Lundi, le premier ministre, Elisabeth Borne, a menacé les entreprises d’un rationnement : « Si chacun ne prend pas sa part, des coupures brutales pourraient avoir lieu du jour au lendemain, avec de graves conséquences économiques et sociales ». Le prix de l’électricité, qui était il y a un an de 85 euros le mégawattheure, atteint 1300 euros. Il pourrait dépasser les 2000 euros. Or c’est Borne, alors ministre de la transition écologique, qui justifiait en 2019 l’arrêt de 14 réacteurs nucléaires, en vue d’une réduction de la part du nucléaire à 50% en 2035, selon le vœu absurde des écologistes. Elle expliquait, à la suite d’Emmanuel Macron : « Cela ne posera pas en soi un problème de sécurité d’approvisionnement ». Ces gens-là n’entendent pas s’excuser.

L’inventaire des bêtises de la pompeuse macronie reste à dresser. Retenons déjà le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire. Il avait déclaré, le 1er mars 22 : « Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe », en riposte à l’agression de Poutine contre l’Ukraine. En réalité, ce sont les Européens, et singulièrement les Français de la classe moyenne, qui vont subir les conséquences de la déraison des va-t-en-guerre, à travers une inflation que le gouvernement va tenter, par des aides financées par l’emprunt, de faire supporter par les générations suivantes. N’oublions pas la propagande mensongère du gouvernement sur les vaccins anti-Covid : « Tous vaccinés, tous protégés » ; « Se faire vacciner, c’est se protéger et protéger les autres ». Les nombreux multi-vaccinés qui ont attrapé le Covid cet été sont en droit de se sentir floués, ainsi que ceux qui ont été contaminés par eux. 

Décernons néanmoins un encouragement à Gérald Darmanin qui, après avoir soutenu le 28 juillet 2020 : « Je suis à 100.000 lieues de faire le lien entre immigration et insécurité » et après avoir nié la responsabilité des racailles de Seine-Saint-Denis dans les violences passées au Stade de France, a admis le 21 août : « Il y a une part importante de la délinquance qui vient de personnes immigrées (…) Nous avons un problème de délinquance étrangère » (48% à Paris, 55% à Marseille). Et si les « élites » politiques commençaient par se remettre en question, ouvrir les yeux et réfléchir au-delà des clichés ?

Par Ivan Rioufol le 31 août 2022

mardi 30 août 2022

Le Conseil d'État donne son feu vert à l'expulsion de l'imam Iquioussen



Gérald Darmanin s'est félicité de ce qu'il a qualifié de «grande victoire pour la République». Et d'ajouter : «Il sera expulsé du territoire national».

Le Conseil d'État a donné mardi 30 août son feu vert à l'expulsion de l'iman Hassan Iquioussen décidée par Gérald Darmanin, rejetant l'argument selon laquelle cette décision constituerait une «atteinte grave et illégale» à sa vie privée et familiale.

Dans un tweet publié juste avant le communiqué du Conseil d'État, le ministre de l'Intérieur a estimé que cette décision était «une grande victoire pour la République». «Il sera expulsé du territoire national», a ajouté Gérald Darmanin. Le 5 août, le tribunal administratif de Paris avait suspendu en référé l'expulsion vers le Maroc de cet imam réputé proche des Frères musulmans, jugeant qu'elle porterait une «atteinte disproportionnée» à sa «vie privée et familiale», mais le ministère de l'Intérieur avait fait appel de cette décision.

«Pression de l'exécutif sur le judiciaire»

Le juge des référés du Conseil d'État estime que «ses propos antisémites, tenus depuis plusieurs années lors de nombreuses conférences largement diffusées, ainsi que son discours sur l'infériorité de la femme et sa soumission à l'homme constituent des actes de provocation explicite et délibérée à la discrimination ou à la haine justifiant la décision d'expulsion. Il considère par ailleurs que cette décision ne porte pas une atteinte grave et manifestement illégale à la vie privée et familiale de Hassan Iquioussen», explique la plus haute juridiction administrative française dans son communiqué.

L'avocate de l'imam, Lucie Simon, a réagi sur Twitter en estimant que cette décision symbolisait «un État de droit affaibli» et déploré «un contexte alarmant de pression de l'exécutif sur le judiciaire». «Le combat judiciaire continue, le Tribunal administratif de Paris sera amené à se pencher sur le fond du dossier prochainement, et Hassan Iquioussen étudie la possibilité de saisir de nouveau la CEDH», a-t-elle ajouté.

Lire la suite sur  Le Figaro

jeudi 25 août 2022

Le Conseil d'Etat se penche sur le cas d'un imam menacé d'expulsion



La plus haute juridiction administrative se penche sur le sort de l’imam Hassan Iquioussen. Le juge des référés du Conseil d’Etat examine vendredi une requête de Gérald Darmanin, qui entend faire annuler une ordonnance du tribunal administratif de Paris suspendant sa demande d’expulsion du prédicateur. Le Conseil d’Etat se réunira à 11 heures. Sa décision est attendue dans les 48 heures.

Le ministre de l’Intérieur avait annoncé le 28 juillet l’expulsion d’un prédicateur du Nord, Hassan Iquioussen, réputé proche des Frères musulmans, pour des appels à la haine et à la violence contre la communauté juive notamment. Dans un arrêté ministériel que l’AFP a pu consulter, le ministère de l’Intérieur justifiait cette expulsion par le fait que l’imam, né en France il y a 58 ans mais de nationalité marocaine, diffusait « auprès d’un large public depuis le début des années 2000 (…) un discours prosélyte émaillé de propos incitant à la haine et à la discrimination et porteur d’une vision de l’islam contraires aux valeurs de la République ».

L’imam est fiché S depuis dix-huit mois

Le ministère reprochait notamment à l’imam « un discours à teneur antisémite particulièrement virulent » et de prôner la « soumission » des femmes « au profit des hommes ». L’arrêté d’expulsion dénonçait également l’encouragement « au séparatisme » et le « mépris de certaines valeurs républicaines telles que la laïcité et le fonctionnement démocratique de la société française ».

Gérald Darmanin a également indiqué début août que M. Iquioussen était fiché S (pour sûreté de l’Etat) par la DGSI « depuis dix-huit mois ». « C’est à la justice de décider de l’éloignement » de M. Iquioussen avait réagi son avocate Me Lucie Simon après l’annonce de l’arrêté d’expulsion. « Le droit au recours effectif est garanti par la Constitution, l’expulsion de M. Iquioussen ne saurait avoir lieu avant qu’un juge impartial ne se prononce sur sa légalité », avait insisté l’avocate en estimant que son client « ne représente aucune menace grave pour l’ordre public » .

M.F.  avec  AFP le 25 août 2022

Lire la suite sur 20 Minutes

mercredi 13 juillet 2022

L'ennemi aurait frappé ?


Terrible, l'ennemi désigné par le ministre en charge de notre sécurité Gérald Darmanin la semaine passée est passé à l'action ? 

Non, tout simplement,Renaissance, le parti d'Emmanuel Macron et ses alliés ont appris ce qu’était la démocratie. En effet les députés ont supprimé un article d'un texte examiné en première lecture au Palais Bourbon  lors d'un vote dans la nuit de mardi à mercredi par 219 voix contre 195. Cet article prévoyait la possibilité, si nécessaire, de rétablir le Pass sanitaire pour les voyages  hors de France, depuis ou vers l'étranger. 

"L’heure est grave. En s’alliant pour voter contre les mesures de protection des Français face au Covid LFI, les LR et le RN empêchent tout contrôle aux frontières face au virus.Passée l’incrédulité sur ce vote, je me battrai pour que l’esprit de responsabilité l’emporte au Sénat."

Elisabeth Borne, Premier ministre sur Twitter


Steph FG

mardi 5 juillet 2022

Le ministre de l'Intérieur désigne l'ennemi...

 


Le ministre de l'Intérieur d'Elisabeth Borne donc d'Emmanuel Macron a cru bon d'insulter les 13 288 686 millions d'électeurs et d'électrices qui ont choisis de voter le 24 avril dernier pour Marine Le Pen et les quasi quatre millions qui ont fait la même chose en portant 89 députés du Rassemblement National à l'Assemblée nationale le mois dernier. 

En effet invité d'Appoline de Malherbe sur BFM-TV et RMC en ce mardi 5 juillet Gérald Darmanin a gentiment traité d'ennemis les parlementaires RN et pour faire bonne figure les députés LFI tout en qualifiant les élus de LR et du PS  du terme beaucoup plus nuancé d'adversaires.

C'est assez clairement la politique que s'apprête à mener madame Borne car qui va apporter un soutien à son gouvernement sinon les adversaires socialistes et leurs cousins Républicains ? Les élus de la gauche répondants aux sirènes sociétales d'un Macron aux antipodes des volontés nationales et les LR votant toutes les lois imposées par l'Union européenne. 

Tout cela ne manque pas de piquants lorsqu'on se rapelle les propos de l'actuel locataire de l'Elysée qui avait dit de Jean-Luc Mélenchon en 2018 à Marseille "On a des confrontations politiques mais ce n'est pas mon ennemi"...

Faudrait également sonner le rappel en direction de l'héritier de Sarkozy : les députés RN sont autant que ceux de Renaissance des représentants du peuple et les insulter ainsi et contraire aux valeurs, pourtant distribuées à tous les vents, de la République. 

Steph FG



samedi 11 juin 2022

Tarn : la lycéenne qui a interpellé Emmanuel Macron interrogée par les gendarmes



Emmanuel Macron a été vivement interpellé, lors d’un déplacement à Gaillac (Tarn), jeudi 9 juin, par une jeune femme : "Vous mettez à la tête de l’État des hommes qui sont accusés de viol et de violences pour les femmes, pourquoi ?", a-t-elle demandé en tenant la main du Président jusqu’à ce qu’il lui réponde. Elle faisait référence à Gérald Darmanin et Damien Abad. Le chef de l'État avait alors soutenu la libération de la parole, tout en défendant la présomption d’innocence.

Au lendemain de cette altercation, Laura, âgée 18 ans, a eu la surprise de recevoir la visite des gendarmes dans son lycée, rapporte La Dépêche. “Ils m’ont interrogée pendant 10 minutes", raconte cette jeune "féministe".


En marge de son échange avec Emmanuel Macron, la lycéenne avait avoué avoir été victime d’une agression sexuelle. "Ils m’ont demandé si je voulais porter plainte, mais ça a été très bref", dit-elle au Parisien. Puis, ils en sont rapidement venu à l’échange avec Emmanuel Macron. Une conversation proche de l'"intimidation", selon elle : "Ils m’ont demandé ce que j’avais voulu faire. Puis la gendarme m’a dit : 'C’était pas à faire'. Son collègue a ajouté que si j’avais voulu interpeller le président de la République, alors j’aurais dû passer par des voies hiérarchiques."

Lire la suite sur RTL

vendredi 3 juin 2022

La France au stade de la honte !

 

Désastre du Stade de France : les Dupond-Dupont de la gauche soupçonnent Poutine


Pour e
xpliquer le fiasco du Stade de France, la macronie a lancé ses deux plus fins limiers sur le terrain. Tintin bénéficiait du flair imparable de Dupond et Dupont, Emmanuel  dispose de Brice Couturier et Thomas Huchon. L'un et l'autre rompus aux affaires les plus complexes. Alors que la platitude de la terre est sur le point d'être démontrée par les plus grands scientifiques des réseaux sociaux, la piste d'un complot fomenté par le pouvoir russe est actuellement explorée par ces deux professionnels du cold case.

Au lendemain des événements, dès les premières lueurs de l'aube, alors que les supporters anglais se remettaient difficilement des violences qu'ils avaient subies, l'inspecteur Couturier avait un pressentiment. Sous le chapeau melon, la machine se mettait en marche. Pour se venger de la finale prévue initialement à St Saint-Pétersbourg, Poutine pouvait avoir eu l'idée machiavélique de saboter l'événement. Le chaos portait possiblement la signature de Moscou. Le 31 mai, n'y tenant plus, il décide de révéler au monde entier les soupçons qui planent sur le Kremlin.

Dressant un constat identique, son alter ego Dupond-Huchon déclarait « je dirais même plus » : L’idée qu’il y ait une forme de bordélisation voulue par les Russes doit être présente dans nos esprits.

L'affaire avait été rondement menée. L'absence totale de preuves relevée par le second enquêteur désignait le coupable potentiel. Toute crédibilité mise à part, le OSS 117 de la Seine St Denis révélait les éléments qui l'avaient amené à cette conclusion : « Mais la crédibilité de quelque chose, ce sont des éléments factuels. Pour l’instant, il n’y a pas d’éléments factuels ».

Récemment reconverti dans le roman policier, Huchon voit dans « Ce type d’histoire un vrai potentiel pour prendre de l’ampleur, car elle apporte une réponse très simple à une question très compliquée, à laquelle nous n’avons pas d’autre réponse ».

L'aveu est tout à l'honneur du romancier. À défaut d'examiner la réalité, la sphère marcronienne est en quête d'une bonne histoire. Seule la nomination de Steven Spielberg au poste de ministre de l'Intérieur serait en mesure de d'apporter ce que le pouvoir macronien cherche à faire gober aux Français. Les fictions sont l'affaire de professionnels du genre.

Par Jany Leroy le 3 juin 2022

EMEUTES DU STADE DE FRANCE : EXIGEONS LA VERITE ET LE RETOUR DE l’ORDRE !, Jordan Bardella (RN) le 30 mai 2022