dimanche 18 septembre 2022

Discours de rentrée de Marine Le Pen à Agde le 18 septembre 2022

I-Média 410 Criminalité immigrée : faut-il parler de "francocide" ?, TV Libertés le 15 septembre 2022

Eric Zemmour : Vous êtes l'avenir de Reconquête, (Retour en images sur les quatre jours d'Université d'été qui se sont tenues du 8 au 11 septembre 2022)

En toute vérité - Boualem Sansal : "L'islamisme se répand partout dans le monde", Sud Radio le 18 septembre 2022

 

samedi 17 septembre 2022

L’immigration pour tous



Il faut surmonter le découragement lorsque l’on entend au sommet de l’État des considérations que la réalité contredit inlassablement depuis des années. Emmanuel Macron, devant les préfets, a défendu l’idée d’une meilleure répartition des étrangers, qui pourraient être accueillis dans les «espaces ruraux, qui, eux, sont en train de perdre de la population» et où «nous devrons fermer des classes, vraisemblablement des écoles et des collèges». En clair, l’immigration peut être la solution au déclin démographique de nos provinces. 

La Lozère, la Creuse, l’Ardèche ne perdent rien pour attendre: demain, c’est la Seine-Saint-Denis pour tous! 

Pourtant, cela fait vingt ans que, de livre en livre, Christophe Guilluy décrit l’exode des banlieusards qui s’installent dans la France des campagnes pour échapper aux effets de l’immigration incontrôlée. L’impératif multiculturel a provoqué une révolte démocratique en Suède, il ouvre une autoroute à Meloni en Italie dans dix jours, partout le «vivre ensemble» tourne vinaigre, et c’est ce moment que choisit le chef de l’État pour défendre une politique de repeuplement!

Cette sortie est d’autant plus malheureuse qu’elle vient contredire l’effort fait depuis plusieurs semaines par le ministre de l’Intérieur pour reconnaître les défaillances en chaîne face à la pression migratoire. En une formule - «une part importante de la délinquance vient des immigrés» -, Gérald Darmanin a mis fin à des années d’un déni d’État. En promettant de restaurer la «double peine», il a remis une goutte de bon sens dans l’océan d’absurdité de notre politique migratoire. En commençant à démêler l’écheveau administratif et judiciaire qui permet à un clandestin de s’installer tranquillement en France, il a fait naître le timide espoir d’une reprise en main des pouvoirs publics.

Les mots du chef de l’État jettent le soupçon sur toutes les bonnes intentions affichées par son ministre. Ce que veulent les Français, dans leur grande majorité, ce n’est pas une meilleure répartition des immigrés, mais une maîtrise de nos frontières. C’est un curieux «en même temps» que de s’alarmer de la montée de Marine Le Pen tout en créant les conditions de sa victoire.

Par Vincent Trémolet de Villers le 17 septembre 2022

Le Figaro


Vélizy, orange mécanique : un jeune homme pignardé au drive du Mc Donald par deux délinquants récidivistes

 



Communiqué de presse de la fédération RN de Mayotte du 14 septembre 2022


Communiqué de presse de la fédération RN de Mayotte du 14 septembre 2022

L’absence d’autorité étant contraire aux valeurs françaises, notre pays ne peut abandonner un département aux mains de l’anarchie. Dans le cas de Mayotte, le Rassemblement National ne tolère aucunement la terreur quotidienne que subissent ses habitants, notamment ce week-end à Petite-Terre, Majicavo, Accoua, Mtsapéré, Doujani, Passamainty, Tsoundzou, Gnabadao, Bandrélé, Mgnabani etc.

Des maisons et des véhicules ont été brulés, le tout suivi d’agressions et de barrages. Les Forces de l’Ordre présentes sur l’île sont constamment soumises à de rudes épreuves.

Le Président Emmanuel Macron préfère alimenter ses mondanités en organisant un « dîner de travail » avec des élus ultramarins, plutôt que d’agir concrètement pour l’Outre-Mer, notamment en sauvant Mayotte du chaos.

Aucune réaction de la part des autorités parisiennes ou préfectorales suite à ces atrocités fréquentes. Les Mahorais attendent de réelles mesures suite à la récente visite du Ministre Gérald Darmanin. Mais encore une fois, ce gouvernement ne propose rien de concret sur les priorités attendues. Emmanuel Macron et ses ministres ont choisi de favoriser l’évolution institutionnelle de Mayotte, une modification non désirée par la population locale.

La priorité des Mahorais c’est la sécurité et l’immigration. Marine Le Pen l’a parfaitement compris en proposant des mesures concrètes dans son programme ultramarin.

Le Rassemblement National lance un appel aux ministres Jean-François Carenco et Gérald Darmanin, afin de leur rappeler que tout Français a droit à la sécurité, qu’il soit en Métropole ou en Outre-Mer.

RN

« Traduire Poutine en justice » : von der Leyen souhaite-t-elle mener la guerre jusqu’à Moscou ?



Lors de son allocution sur l’état de l’Union européenne, à Strasbourg, le 14 septembre dernier, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, habillée aux couleurs de l’Ukraine, appelait les Européens à faire preuve, vis-à-vis de Vladimir Poutine, « de détermination et pas d'apaisement ». Certes, les mois à venir s’annonçaient difficiles mais il ne fallait pas en douter, Poutine allait échouer et l’ l’emporter.

Quelques jours plus tard, dans une interview au média allemand Bild, elle montait d’un cran en ajoutant : « Il faut que Poutine perde cette guerre et réponde de ses actes, c'est important pour moi. » Elle indiquait qu’un processus de « collectes de preuves » avait été mis en place depuis le début de l’offensive afin de traduire le président russe devant la Justice internationale. Interrogée sur la probabilité de voir cet événement se produire, elle déclarait : « Je pense que c'est possible. »

Pas d’« apaisement », donc, mais une volonté de souffler le plus fort possible sur les braises. Car ces déclarations renouent avec la  de surenchère verbale du printemps dernier, lorsque les dirigeants occidentaux annonçaient une victoire militaire totale, une  mise à genoux et un Vladimir Poutine chassé du pouvoir. Désormais, le plan inclurait sa comparution devant un tribunal.

Joe Biden, qui était allé très loin dans cette rhétorique mêlant insultes et déclarations bellicistes, avait pourtant prudemment rétropédalé, en juin dernier, à l’occasion d’une tribune dans le New York Times« Nous ne recherchons pas une guerre entre l’OTAN et la Russie », avait déclaré le président américain. Il avait également pris soin de préciser : « Les États-Unis n’essaieront pas de provoquer son [de Poutine] éviction à Moscou. »

La récente reconquête par Kiev de grands territoires dans la région de Kharkov a manifestement ranimé l’hybris des dirigeants occidentaux. Les  ne sont pas non plus en reste. En France, le 13 septembre dernier, le magazine Le Point exultait. « Le tsar Poutine est nu », écrivait Luc de Barochez. Le « fiasco russe en Ukraine » allait ébranler en profondeur le régime poutinien car « il n'est pas d'exemple dans l'Histoire dont une défaite militaire d'une telle ampleur n'ait conduit, tôt ou tard, à des bouleversements politiques dans le pays vaincu ».

Le journal Le Monde allait encore plus loin, le 14 septembre, sous la plume de Sylvie Kauffman qui évoquait une conférence ayant eu lieu à Kiev quelques jours plus tôt et au cours de laquelle avait été posée la question de la responsabilité collective du peuple russe.

Un conseiller présidentiel du président Zelensky avait déclaré : « Nous devons gagner pour que les Russes s’engagent sur la voie du repentir. » La conclusion étant qu’il ne faudrait pas seulement un changement de régime en  mais « un changement de société ».

On ne sait s’il faut en rire ou en pleurer. Car cette rhétorique, reprise au plus haut niveau, n’est pas sans conséquences.

La première est d’à la fois légitimer et provoquer la « montée aux extrêmes ». Ce conflit n’est plus une confrontation entre puissances souveraines mais la lutte du bien contre le mal. Il n’est donc pas question de se fixer des objectifs limités (qu’il serait possible de négocier) mais, bien plutôt, semble-t-il, de revendiquer et de mener une guerre totale visant l’éradication de l’adversaire transformé en « ennemi absolu ».

La deuxième conséquence est de donner raison à ceux qui, en Russie, considèrent que Poutine est beaucoup trop modéré et qu’il faudrait recourir à des mesures beaucoup plus radicales. Le Figaro évoquait, le 12 septembre dernier, ces « ultra-patriotes [qui] critiquent la stratégie de Vladimir Poutine ». L'emploi d'une rhétorique de guerre théologico-morale leur permet d’affirmer que l’objectif occidental est bien de détruire la Russie.

La troisième conséquence est la négation du risque nucléaire. Il y a, chez Ursula von der Leyen, une forme d’orgueil et de démesure qui la conduit à sous-estimer le danger extrême de la situation. En mai dernier, le chef du renseignement américain, Avril Haines, avertissait pourtant sur la possibilité que le conflit prenne une trajectoire imprévisible, notamment si Poutine considérait faire face à une menace existentielle. Le recours à l'arme  étant alors, selon elle, un risque à prendre au sérieux.

Ursula von der Leyen ne semble pas y croire. Elle voit déjà Poutine dans le box des accusés de la Cour pénale internationale. En réalité, elle divague au bord de l’abîme.

Par Frédéric Lassez le 17 septembre 2022

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En BRETAGNE, une ville bientôt REPEUPLÉE par des MIGRANTS, Boulevard Voltaire le 16 septembre 2022

Azerbaïdjan, Qatar : ça sent le gaz pour les droits de l'homme !

 

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